La
Birmanie est le pays où les musulmans sont considérés depuis toujours, comme
des déchets dont il faut se débarrasser.
Après
de nouveaux massacres et de nouvelles horreurs ces dernières années, des
centaines de milliers de musulmans[1] ont
trouvé refuge, dans des conditions effroyables, au Bangladesh.
La
Birmanie pour des médias c’est « la star » Aung San Suu Kyi.
Lauréate
du « prix Nobel de la paix » en 1991,[2] décorée
pour son action en faveur des « droits de l’homme » et de la
« démocratie », installée à la tête de « l’État » après des
années en résidence surveillée, elle est reçue et fêtée par divers pays, avec
« tout le tralala ».
Cette
femme, présentée comme « symbole de l’opposition à la dictature
militaire »,[3]
ne s’est jamais souciée de l’horrible condition des moslimiine[4] et des
moslimaate[5] de
Birmanie.[6]
Aujourd’hui,
lundi 1er février 2021, les militaires qui n’ont jamais cessé de veiller sur
les intérêts de leur employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, ont
écarté des fauteuils moelleux « la star » et son ancien chauffeur
nommé président de la République.[7]
Des
médias parlent de « coup d’État ».[8]
BOU’AZZA
[1]
Un million.
[2]
Selon le calendrier dit grégorien.
[3]
Toujours aux commandes, pour veiller sur les intérêts des décideurs au niveau
international.
[4]
Musulmans.
[5]
Musulmanes.
[6] Concernant
la haine de l’Islaam, elle est alimentée et entretenue partout dans le monde.
[7]
Comme presque partout, c’est la République.
[8]
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com 
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