samedi 6 février 2021

DES CRIMINELS DES « ÉTATS ARABO-MUSULMANS »

Dans des pays dits « arabo-musulmans »,[1] des populations font face aux multiples visages de l’horreur.
Avec « l’indépendance dans l’interdépendance »[2] et autres mensonges, des criminels sont installés à « la tête des États » par le système colonialo-impérialo-sioniste.
Des dévoyés qui dégoulinent d’argent sale, de vices, de trahisons, commettent ce qu’il y a de plus abominable, de plus nauséabond, recourent à la torture sous toutes ses formes, sodomisent et massacrent des hommes, violent, méprisent, humilient, et tuent des femmes, maltraitent, et font disparaître des enfants, pratiquent au quotidien la tyrannie, la dépravation, la censure, l’usurpation, la falsification, le trafic, la tromperie, la tricherie, l’enlèvement, la séquestration, l’emprisonnement, le supplice, la liquidation, la tuerie, et autres à des degrés inimaginables.
Dans des lieux des ténèbres, ses assassins rassemblent des corps dénudés, des pieds transformés en bouillie par les coups, des têtes enfoncées dans l’eau, des anus, des vagins avec des goulots de bouteilles.
Les tortures se poursuivent inlassablement.
Parfois, des torturés sont livrés à des chiens dressés pour les violer.
Les corps complètement abîmés, ils sont transportés dans le « bureau » du « commissaire » qui récite qu’un procès[3] va avoir lieu et qu’ils seront jugés pour « atteinte à la sûreté de l’État ».
Avec son air maussade, il met les torturés en garde contre tout ce qui peut pousser « les forces de l’ordre », dans le cadre de la « légitime défense », à faire usage de leurs armes.
Des torturés[4] meurent, d’autres sont atteints de maladies graves, deviennent handicapés physiques et mentaux, cassés, ravagés, délabrés, usés, détruits.[5]
Mais les criminels n’arrivent pas à empêchent la résistance de continuer. 
 
BOU’AZZA

[1] Et ailleurs.
[2] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[3] Les « puissances dominantes » tiennent à ce que des procès aient lieu pour soigner la vitrine de leurs pions et disserter sur le « droit » des accusés garanti par la présence des ʺavocatsʺ.
[4] De divers lieux de détention disséminés partout.
[5] Parmi les survivants, certains deviennent des ʺpersonnalitésʺ assoiffés d’argent et de ʺnotoriétéʺ, au service de ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ. 


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