Dans
des pays dits « arabo-musulmans »,[1] des
populations font face aux multiples visages de l’horreur.
Avec
« l’indépendance dans l’interdépendance »[2] et
autres mensonges, des criminels sont installés à « la tête des
États » par le système colonialo-impérialo-sioniste.
Des
dévoyés qui dégoulinent d’argent sale, de vices, de trahisons, commettent ce
qu’il y a de plus abominable, de plus nauséabond, recourent à la torture sous
toutes ses formes, sodomisent et massacrent des hommes, violent, méprisent,
humilient, et tuent des femmes, maltraitent, et font disparaître des enfants,
pratiquent au quotidien la tyrannie, la dépravation, la censure, l’usurpation,
la falsification, le trafic, la tromperie, la tricherie, l’enlèvement, la
séquestration, l’emprisonnement, le supplice, la liquidation, la tuerie, et
autres à des degrés inimaginables.
Dans
des lieux des ténèbres, ses assassins rassemblent des corps dénudés, des pieds
transformés en bouillie par les coups, des têtes enfoncées dans l’eau, des anus,
des vagins avec des goulots de bouteilles.
Les
tortures se poursuivent inlassablement.
Parfois,
des torturés sont livrés à des chiens dressés pour les violer.
Les
corps complètement abîmés, ils sont transportés dans le « bureau » du
« commissaire » qui récite qu’un procès[3] va avoir
lieu et qu’ils seront jugés pour « atteinte à la sûreté de l’État ».
Avec
son air maussade, il met les torturés en garde contre tout ce qui peut pousser
« les forces de l’ordre », dans le cadre de la « légitime
défense », à faire usage de leurs armes.
Des torturés[4] meurent,
d’autres sont atteints de maladies graves, deviennent handicapés physiques et
mentaux, cassés, ravagés, délabrés, usés, détruits.[5]
Mais
les criminels n’arrivent pas à empêchent la résistance de continuer.
BOU’AZZA
[1] Et ailleurs.
[2]
Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est
traduit dans les colonies par la multiplication des "États"
supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de
servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
[3] Les
« puissances dominantes » tiennent à ce que des procès aient lieu
pour soigner la vitrine de leurs pions et disserter sur le « droit »
des accusés garanti par la présence des ʺavocatsʺ.
[4] De divers lieux de
détention disséminés partout.
[5] Parmi
les survivants, certains deviennent des ʺpersonnalitésʺ assoiffés d’argent et
de ʺnotoriétéʺ, au service de ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ.
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