lundi 19 mars 2018

AU MAROC, PAR EXEMPLE


Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
En s’appuyant sur ce qui a trait au « cinéma », des « pays développés » subventionnent largement des « protégés » des « pays sous-développés », pour faire des films qui permettent « de jouir de bienfaits condamnés par les rétrogrades musulmans ».
Ainsi, des subventionnés de ce mécanisme, dits « cinéastes », contribuent, au Maroc, par exemple, à déverser des ordures pour grossir le flot des maux qui dégoulinent de partout et par lesquels ils rêvent, avec d’autres, d’éradiquer ce qui leur déplaît.
Des « cinéastes » indigènes, friands de subsides, « explorent » donc le cul-turel, « afin de démasquer l’obscurantisme musulman », précisent des scribouillards.
Dans les métropoles occidentales, ou dans certaines cités « ensoleillées » des colonies, des « films » de « cinéastes » de service exhibent des « os-cars ».[1]
Des « acteurs », des « actrices » et autres sont alors promenés dans les métropoles pour répéter ce qui leur est dicté sur « les menaces dans ce travail cul-turel que des populations arriérées, à cause de l’islam, ne peuvent pas comprendre ».
Il leur est dicté aussi d’insister sur « les atteintes à l’honneur des artistes traités de débauchés, alors que ce sont des hommes et des femmes qui combattent pour la liberté».
Des médias[2] les portent aux nues !
Les « femmes libérées », très ouvertes comme il se doit, sont alors exposées dans certaines « grandes réceptions », afin de représenter « le combat des femmes opprimées pour la liberté ».
Ces « artistes » apprécient bien entendu les veillées alcoolisées, le sexe sans frontières, la baise pour tous et pour toutes « sans discrimination », l’adultère et autres.[3]
  
BOUAZZA



[1] Oscars.
[2] Qu’ils soient de droite, de gauche ou autres, les médias appartiennent généralement à des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés par des individus dits décideurs, qui alimentent et entretiennent ce qui sert leurs intérêts dans le cadre d’une institution, d’un régime, d’un système, ou autres.
C’est dire que les journalistes, et autres personnels des médias, sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[3] Tout ce que le système colonialo-impérialo-sioniste leur offre dans les colonies et dans les métropoles où il installe parfois les unes et les autres qui ont besoin d’un suivi  rapproché !
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

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