Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
En
s’appuyant sur ce qui a trait au « cinéma », des « pays
développés » subventionnent largement des « protégés » des
« pays sous-développés », pour faire des films qui permettent
« de jouir de bienfaits condamnés par les rétrogrades musulmans ».
Ainsi,
des subventionnés de ce mécanisme, dits « cinéastes », contribuent,
au Maroc, par exemple, à déverser des ordures pour grossir le flot des maux qui
dégoulinent de partout et par lesquels ils rêvent, avec d’autres, d’éradiquer
ce qui leur déplaît.
Des
« cinéastes » indigènes, friands de subsides, « explorent »
donc le cul-turel, « afin de démasquer l’obscurantisme musulman »,
précisent des scribouillards.
Dans
les métropoles occidentales, ou dans certaines cités « ensoleillées »
des colonies, des « films » de « cinéastes » de service exhibent
des « os-cars ».[1]
Des
« acteurs », des « actrices » et autres sont alors promenés
dans les métropoles pour répéter ce qui leur est dicté sur « les menaces
dans ce travail cul-turel que des populations arriérées, à cause de l’islam, ne
peuvent pas comprendre ».
Il
leur est dicté aussi d’insister sur « les atteintes à l’honneur des
artistes traités de débauchés, alors que ce sont des hommes et des femmes qui
combattent pour la liberté».
Des médias[2] les
portent aux nues !
Les
« femmes libérées », très ouvertes comme il se doit, sont alors
exposées dans certaines « grandes réceptions », afin de représenter
« le combat des femmes opprimées pour la liberté ».
Ces
« artistes » apprécient bien entendu les veillées alcoolisées, le
sexe sans frontières, la baise pour tous et pour toutes « sans
discrimination », l’adultère et autres.[3]
BOUAZZA
[1] Oscars.
[2]
Qu’ils soient de droite, de gauche ou autres, les médias appartiennent
généralement à des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés par des
individus dits décideurs, qui alimentent et entretiennent ce qui sert leurs
intérêts dans le cadre d’une institution, d’un régime, d’un système, ou autres.
C’est
dire que les journalistes, et autres personnels des médias, sont des employés
tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le
discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe
que ceux et celles qui le veulent bien.
[3] Tout
ce que le système colonialo-impérialo-sioniste leur offre dans les colonies et
dans les métropoles où il installe parfois les unes et les autres qui ont
besoin d’un suivi rapproché !
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus
d’une fois.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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