mercredi 30 septembre 2015

IL ÉTAIT UNE FOI

Passé, présent et avenir.
Alislaam.
L’Islaam depuis Aadame[1] sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes[2] où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.[3]
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix,[4] a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite,[5] cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
L’Islaam se résume dans le témoignage[6] qu’il n’y a d’Ilaah[7] qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la Prière,[8] l’acquittement du prélèvement purificateur,[9] le jeûne du mois de ramadaane,[10] et le pèlerinage[11] à la Maison Sacrée d’Allaah,[12]  que symbolise la Kaaba à la Mecque.[13]
À cela, il faut lier la Foi,[14] et le Bienfait.[15]
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier,[16] à la Prédestination qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.[17]
« Les musulmans et les musulmanes, les croyants et les croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un égarement évident ».[18]
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État[19] des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les « États » qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté[20] des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.[21]
  
BOUAZZA



[1] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
[4] Sallaa Allaah ‘alayh wa sallame.
[5] Hadite, hadiith, hadith.
[6] Achchahaada.
[7] Divinité.
[8] Assalaate, assalaa.
[9] Azzakaate.
[10] Le ʺrʺ roulé, Assawme, assiyaame.
[11] Alhajj.
[12] Bayte Allaah alharaame.
[13] Alka’ba à Makka.
[14] Aliimaane.
[15] Alihçaane.
[16] La résurrection.
[17] Contenu de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe rapporté dans ″Sahiih Moslime″, Recueil authentique de Moslime).
[18] Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et aayate 36 (verset 35 et verset 36).
[19] Ou la même institution appelée autrement
[20] Alomma, la matrie.
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà exposé plus d’une fois.

mardi 29 septembre 2015

LE MANQUE DE CONFIANCE

« Et si Allaah te touche d’un mal, nul ne peut l’écarter en dehors de Lui, et s’il te veut  un bien, nul ne peut détourner Sa générosité ».[1]
Les croyants et les croyantes[2] font ce qu’ils peuvent pour suivre la Voie d’Allaah., et avoir pleinement confiance en Lui.
Comment se fait-il alors que parfois, des épreuves ébranlent cette confiance ?
La faiblesse de la foi traduit, entre autres, l’attachement à l’éphémère, et entraîne le manque de confiance en Allaah.
Achchaytaane,[3] l’ennemi évident, est à l’oeuvre et fait tout pour détourner les croyants et les croyantes de la Voie d’Allaah.
« Et s’il t’arrivait d’être aiguillonné par quelque sournoise inspiration d’achchaytaane, cherche refuge auprès d’Allaah.[4] Il est Audiant,[5] Omniscient ».[6]
Qu’Allaah nous aide à ne pas manquer de confiance en Lui.
Qu’Il déverse sur nous Sa miséricorde, et nous aide à faire de notre mieux pour l’Adorer, comme Il le demande.
Qu’Il nous guide sur le droit chemin, le chemin de ceux qu’Il a comblés de bienfaits, non de ceux qui ont encouru Sa colère, ni des égarés.[7]
Qu’Allaah fasse que nous soyons parmi ceux et celles qui suivent Sa Voie, pour mériter d’être cette âme sereine dont Il dit :
« Ô âme sereine. Retourne à ton Seigneur satisfaite et donnant satisfaction.[8] Entre parmi Mes serviteurs. Et entre dans Mon Paradis ».[9]
  
BOUAZZA



[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 10 (chapitre 10), Youns, Jonas, aayate 107 (verset 107).
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] Se traduit par satan.
[4] Ista’ide billaah.
[5] Samii’e.
[6] Alqoraane (Le Coran), sourate 41 (chapitre 41) Fossilate, aayate 36 (verset 36).
[7] Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre 1), Alfaatiha, aayate 6 et aayate 7 (verset 6 et verset 7).
[8] Raadiya mardiya (les r roulés).
[9] Alqoraane (Le Coran), sourate 89 (chapitre 89), Alfajr (le r roulé), L’Aube, aayate 27 à aayate 30 (verset 27 au verset 30).
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

lundi 28 septembre 2015

« RACES »

« Ô humains ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle et avons fait de vous des peuples et des tribus[1] afin que vous vous entreconnaissiez.[2] Le plus noble d’entre vous auprès d’Allaah est le plus pieux ».[3]
Les croyants et les croyantes[4] font de leur mieux pour mieux saisir le Sens et renforcer le Lien.
Mais d’innombrables personnes, partout, rejettent le Vrai et s’attachent au faux.
Concernant les humains, elles épiloguent, encore et encore sur « les races qui composent l’humanité », se lancent dans des théories erronées, se perdent dans des discours absurdes, répandent des sornettes, prennent des vessies pour des lanternes, alimentent et entretiennent le blâmable.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres ne peuvent en rien, modifier ce que Allaah a décidé.
« Et dis : ʺLe vrai est venu et le faux a disparu. Le faux est destiné à disparaîtreʺ ».[5]

BOUAZZA




[1] Qabaail.
[2] Lita’aarafou (le "r" roulé), afin que vous vous connaissiez entre vous.
[3] Alqoraane (le Coran), sourate 49 (chapitre 49), Alhojoraate (le "r" roulé), Les chambres, aayate13 (verset13).
[4] Almouminoune wa almouminaate.
[5] Alqoraane (Le Coran), sourate 17 (chapitre 17), Alisraa-e (le ʺrʺ roulé), Le Voyage Nocturne, aayate 81 (verset 81).
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

dimanche 27 septembre 2015

« IL VAUT MIEUX ENTENDRE « ÇA » QUE D’ÊTRE SOURD »

 La corruption, pratique quotidienne que les imposteurs « minimisent » tout en continuant d’agir pour consolider ce pilier qui leur est indispensable, ne cesse de s’étendre.
Á la tête de la FIFA,[1] Joseph[2] Blatter, en dépit des mille et une entourloupettes et autres, n’est pas arrivé à camoufler la pourriture qui dégouline de partout dans les instances du football au niveau international.[3]
Á la tête de l’UEFA,[4] Michel Platini,[5] con-fortablement installé dans le système, tente de faire admettre qu’il n’est pas concerné par cette puanteur : Il est soutenu dans cette « besogne » par Manuel Valls, le premier ministre de François Hollande.[6]
Et voilà que le « comité d’éthique »[7] de la FIFA...
Oui, c’est « ça » : Le co-mi-té d’é-thi-que de-la-FI-FA.
C’est « incroyable », mais ce n’est pas « nouveau ».
Le « comité d’éthique » donc, annonce qu’il va se réunir pour « étudier » les cas de Blatter et de Platini.
Comme dirait « l’autre » :[8] Il vaut mieux entendre « ça », que d’être sourd ![9]
  
BOUAZZA




[1] Fédération Internationale de Football Association.
[2] Sepp.
[3] Les autres ʺportsʺ ne sont pas épargnés bien sûr.
[4] Union of Europeen Football Association (Union des Associations Européennes de Football).
[5] Qui cherche à être placé à la tête de la FIFA, pour remplacer Blatter.
[6] Le figurant socialiste, révolutionnaire de gauche, installé sur le trône du Palais de l’Élysée au mois de mai 2012 pour cinq ans, en remplacement de son alter ego, le figurant, révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.
[7] Ou ʺcommission d’éthiqueʺ.
[8] Qui dit beaucoup de choses.

POUTINE EN SÉRIE

Une lecture rapide du titre peut prêter à « confusion », et faire croire qu’il s’agit de « Poutine en Syrie », puisqu’en ce moment, le Président de Russie fait beaucoup parler de ce qu’il entreprend pour le maintient « au pouvoir », du criminel[1] dit Président de Syrie.[2]
Mais ce n’est pas de « ça » qu’il s’agit.
Il s’agit d’un plat répandu au Canada, dans la Province de Québec :[3] Poutine en série.
La poutine, à base de frites, de fromage et de sauce, dont il est beaucoup question en ce moment ![4]
  
BOUAZZA



[1] Qui poursuit la destruction de Souriyaa (le ʺrʺ roulé), et les massacres des populations, hommes, femmes, et enfants, par centaines de milliers.
[2] Bachar El Assad, fils du criminel Hafez El Assad (transcription des prénoms et des noms d’après les médias en France), installé et maintenu ʺau pouvoirʺ, comme son père jusqu’à sa mort, par le système colonialo-impérialo-sioniste.
[3] Le Canada, devenu le pays des descendants et des descendantes des exterminateurs et des exterminatrices des Populations Autochtones, des Indiens, des Indigènes.

samedi 26 septembre 2015

LA MOBYLETTE DU FILS DU GARDIEN

C’était dans les années soixante,[1] pas longtemps après l’octroi au Maroc[2] de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[3] par le colonialisme français.[4]
Mon père était magistrat du parquet à Meknès,[5].
Il avait acquis une maison en ville nouvelle, dans un quartier où résidaient des familles de France.[6]
Auparavant, la maison était occupée par des français qui avaient regagné la métropole.
La rue portait, et porte encore, le nom d’un militaire français[7] qui s’était illustré dans les massacres des populations par le colonialisme.[8]
Derrière la maison passait une autre rue qui se confondait avec la première pour former une sorte de place que nous utilisions beaucoup pour jouer au football.
La circulation des véhicules n’était pas dense, et notre terrain goudronné nous permettait de pratiquer, parfois pendant des heures, ce sport que j’ai toujours apprécié.
Les chutes n’étaient pas que bénignes, mais l’attachement au ballon rond les rendait supportables.
Le soir,[9] un petit groupe de gardiens marocains des maisons des familles françaises qui étaient en métropole pour des vacances, préparait ce qu’il fallait pour la veillée, en étendant une longue natte sous un olivier dans un champs en face d’une rangée de maisons, dont celle acquise par mon père, et en installant un « brasero »[10] pour le feu de braises nécessaire au thé à la menthe.
Le père de l’un de nos amis de jeu, gardien, restait à l’écart de ce petit groupe.
Un jour, en début de soirée, cet ami, le plus âgé d’entre nous, est arrivé sur une mobylette neuve, rutilante, d’un jaune lumineux, et nous n’avions d’yeux que pour l’engin qu’aucun autre au quartier ne possédait, et qui à l’époque, n’était pas courant.
Nous n’avions pas de vélo non plus, mais nous savions en faire,[11] et nous avons dû être persuasifs car assez rapidement, nous avons convaincu notre ami de prêter sa mobylette à chacun de nous à tour de rôle, pour l’étrenner.
Nous étions certainement encore jeunes pour un tel exercice, mais l’effectuer dans la rue de notre quartier ne nous paraissait pas compliqué.
Notre ami qui nous aimait bien ne s’est pas fait trop prier pour accepter.
Quelques explications plus tard, chacun a fait son tour sans problème.
Il restait le tour du fils aîné de ma belle-mère,[12] plus jeune que la majorité d’entre nous.
Il m’est déjà arrivé de parler de lui pour dénoncer ses comportements et ses pratiques blâmables.
Aussi loin que remontent mes souvenirs le concernant, je l’ai toujours connu dans « la toute puissance »[13] comme disent les « psy ».
Et il s’obstine à continuer dans cette voie.
Il ramène toujours tout à lui et obtient, par des mensonges, des tricheries, et autres, beaucoup de ce qu’il convoite.[14]
Sur la mobylette, en fanfaron, il s’est trouvé très vite éjecté.
La mobylette a été endommagée.
Je revois la scène comme si elle venait d’avoir lieu.
L’engin n’avait pas été très abîmé, mais quelques dégradations étaient visibles, et la crainte par notre ami de la réaction de son paternel était grande.
Mon père était à la maison avec des invités, et notre ami a décidé d’aller le voir pour demander de quoi effectuer les réparations.
Nous étions avec lui lorsqu’il a sonné.
Mon père, croyant que c’était un de ses invités qui arrivait, est venu ouvrir lui-même.
Du haut du perron, il a demandé à notre ami ce qu’il voulait, et lorsque celui-ci a fini de présenter sa requête, mon père lui a demandé de déguerpir et de s’estimer heureux qu’il ne lui administre pas une correction pour avoir mis son fils en danger.[15]
Un demi-siècle après cet événement, je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi mon père a refusé d’aider notre ami, fils d’un gardien pauvre qui a dû s’imposer mille et une privations afin de payer une mobylette à son fils.
Mon père pouvait faire « la morale » à notre ami bien sûr, mais pas refuser de l’aider.
En pensant à cet ami, je sens encore une grande gêne, mêlée à une sorte de profonde tristesse.
Que s’est-il passé ensuite ?
Son père lui a confisqué la mobylette pendant une certaine période, et lui a surtout interdit de fréquenter les enfants des familles comme la nôtre.[16]
  

BOUAZZA




[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Lmghrib (le ʺrʺ roulé).
[3] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au Maroc, colonie française dite ″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le sultan, protégé, est alors devenu roi au service de ce système.
[4] Et par le colonialisme espagnol.
[5] Mknaas, ville au nord-est du Maroc.
[6] Les villas de ʺhmriaʺ (le ʺrʺ roulé) commençaient à être occupées par plus de marocains qu'avant ce qui a été appelé ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ.
Des gens de l’ancienne ville appelaient ces marocains ʺnçaaraa jdaadʺ, les nouveaux nazaréens, les nouveaux français, parce qu’auparavant, ces demeures étaient celles de colonialistes français
[7] Rue Bugeaud.
[8] C’est le cas pour beaucoup d’autres rues, boulevards, places, et autres.
[9] Pendant l’été.
[10] Mjmaar (le ʺrʺ roulé).
[11 Je ne me souviens pas quand est-ce que j’ai appris à en faire.
[12] La troisième épouse de mon père.
Avec mon père, en plus de ce fils, elle a eu sept autres enfants (quatre garçons qui, comme l’aîné, pour trois d'entre eux principalement, se sont accaparés de beaucoup de choses, et se sont arrogés des droits sur  ce qui ne leur appartient pas, et trois filles).
[13] La Toute Puissance appartient à Allaah.
L’expression utilisée par les "psy" s’applique à la personne atteinte de la pathologie qui consiste à "s’auto-glorifier" quoi qu’il arrive.
[14] En usurpateur, il s’est accaparé d’énormément de choses du vivant de mon père, et principalement d’une maison qu’il a vendue en évinçant sa mère, après le décès de mon père.
[15] Mon père avait souligné que si ses enfants n’avaient ni vélo ni mobylette, c’est justement afin qu’ils ne soient pas exposés aux accidents comme celui qui a eu lieu à cause de l’engin de notre ami qui de ce fait, était responsable de ce qui est arrivé.

vendredi 25 septembre 2015

L’INTÉGMILÉ ET L’INTÉGMILÉE

D’origine dite « arabo-musulmane », issus du processus migratoire, ils sont fiers d’être intégmilés,[1] de con-tribuer[2] à con-solider[3] « lalla cité »,[4] et à con-forter[5] la Ré-pub-lique.[6]
─ « Voyez-vous, la broublimatic[7] de lisse-lame[8] est à situer dans le con-texte[9] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et autres.
Sou finoumiine[10] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumii digrii[11] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[12] ce que le con-frère[13] appelle, en usant d’une sémantique connue, les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes ».[14]
Pendant qu’un « cifilizi »[15] débite ces inepties, sa conne-sœur[16] aux charmes plus lucratifs que les siens, même s’il est très demandé, salive devant les caméras sur le mariage des homosexuels et des lesbiennes, bienfait octroyé par le président socialiste,[17] pour la progression de l’humanité, récite- t-elle.
Dans des émissions télévisées, des femelles de ces « spécimens », « femmes libérées » comme il se doit, sont exposées sur les plateaux, prêtes à tout pour con-vaincre les téléspectateurs et les téléspectatrices, de leur évolution cul-turelle et de leur large ouverture.
Des chro-niqueurs[18] et chro-niqueuses[19] sexe-tasient.[20]
Les patrons de ces émissions,[21] « des français de souche »,[22] brandissent comme des trophées, ces « beurettes »[23] des colonies, des ghettos, [24] bonnes à tout faire, intégmilées, à qui la métropole, « généreuse », a permis de « réussir ».[25]

BOUAZZA



[1] Contraction des mots "intégrés" et "assimilés".
Intégmilation : Contraction des mots intégration et assimilation.
[2] Contribuer.
[3] Consolider.
[4] Dame cité, la laïcité.
[4]  Le terme ʺlaïcitéʺ dans l’histoire de France, renvoie à la lutte entre ʺle clergéʺ et les tenants de l’idéologie dite ʺanti-cléricaleʺ.
Cette lutte a débouché sur ʺla séparation de l’Église et de l’Étatʺ pour signifier que ʺles institutions religieusesʺ n’ont pas d’influence sur ʺles autres institutionsʺ.
L’idéologie dite ʺlaïqueʺ continue d’alimenter et d’entretenir des politiques un peu partout.
Le terme est ʺaccommodéʺ à toutes les sauces pour agresser l’Islam, les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate).
[5] Conforter.
[6] Du mot ʺRépubliqueʺ, institution dont se réclament pratiquement tous les ʺÉtatsʺ du monde, mais qui est présentée comme un immense privilège réservé à la France!
Cette Ré-pub-lique dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles, doit à Jean Pierre Chevènement par exemple, d'avoir été conjuguée à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de l’époque ʺglorieuseʺ de son ʺtontonʺ François Mitterrand qui soutenait que l’Afrique du Nord c’est la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman selon les canons de sa loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Le ʺtontonʺ installé sur le trône du Palais de l’Élysée pendant quatorze ans, était, bien entendu, un défenseur ʺdes valeurs sacrées de la Ré-pub-liqueʺ, dont se réclament la droite, la gauche et leurs ʺvariantesʺ.
[7] Le ″r″ roulé, la problématique.
[8] L’Islaam.
[9] Contexte.
[10] Ce phénomène.
[11] Les r roulés, le premier degré.
[12] Soulève.
[13] Confrère.
[14] Les r roulés, terroristes.
[15] Civilisé.
[16] Consoeur.
[17] Franàois Hollande, le révolutionnaire de gauche, installé sur le trône du Palais de l’Élysée en mai 2012 (selon le calendrier dit grégorien), en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.
[18] Chroniqueurs.
[19] Chroniqueuses.
[20] S’extasient.
[21] Et d’autres.
[22] Installés en France, pour certains, avant les intégmilés ʺarabo-musulmansʺ.
[23] Femelles d’origine de pays dits arabo-musulmans, appelées ainsi pour faire oublier les mots "arabe" et Islaam.
Beurs pour les mâles.
Le mérite de cette "trouvaille" (s’appuyant sur le soi-disant "verlan") revient à la gauche, aux socialistes du temps de leur ʺtontonʺ François Mitterrand, et de l’équipe de propagande sioniste dite "touche pas à mon pote" (S.O.S. racisme).
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes, toutes les armes sont mobilisées depuis des lustres et les mots sont une arme de destruction massive.
Dans la guerre livrée à l’Islaam, les vocables beurs et beurettes, supposés vouloir dire arabes en verlan, visent en fait à participer à la destruction dans la métropole, de la mémoire des personnes issues du processus migratoire, originaires de la colonie.
[24]Cités de banlieue où sont parquées en majorité des populations originaires d’Afrique du Nord et du reste de l’Afrique, issues du processus migratoire.
″Cités de rebut, de désagrégation, de décomposition et  autres.