Ils
sont « originaires » de colonies dites « arabes », sont
installés en France, dans d’autres pays d’Europe et ailleurs, et se considèrent
« sifilisii ».[1]
Un
« cul-tivé »[2] parmi
ces « musulmans » de sirfiis[3]
passe, de temps za autre[4] à la
« tilifizioun »,[5] pour
répéter ce qui plaît aux maîtres des métropoles :[6]
─
« Voyez-vous, la broublimatiic[7] de
lisse-lame[8] est à
situer dans le con-texte[9]
économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les
caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et
autres.
Sou
finoumiin[10] où tout s’enchevêtre et
où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li
broumii digrii[11] se divise en trois points
qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le
premier degré du premier point dans la première catégorie, souliif[12] ce
que le con-frère appelle, en usant d’une sémantique conne-nue,[13] li
hachchachiin, les assassins, c'est-à-dire les tirs ou riist »[14].
La
conne-sœur aux charmes plus lucratifs que les siens, même s’il est très
demandé, entretient, avec diverses chaînes,[15] son
image de « femme libérée ».[16]
Les
maîtres ne lui demandent pas de renier « la cul-ture de là-bas »
qu’il leur arrive d’apprécier.
Ils
ne lui demandent pas non plus de se détacher de ce qu’ils désignent par
« l’islam de tolérance » qu’ils assimilent aux maisons du même nom.[19]
BOUAZZA
[1]
Civilisés.
[2] La
riche iirch lixciite (la recherche l’excite).
[3] De
service, de srbiice.
[4] De
temps à autre.
[5] Á la
télévision.
[6] La contraction des mots "colonies" et
"métropoles" donne ʺcolopolesʺ, et permet de dénoncer, encore et
encore, tout ce qui est fait pour alimenter et entretenir la domination.
[7] La problématique.
[8] De l’islam.
[9] Contexte.
[10] Ce phénomène.
[11] Le premier degré.
[12] Soulève.
[13] Connue.
[14] Les terroristes.
[15] Chaînes de télévision.
[16] Ouverte.
[17] Manger épicé.
[18] Le cul-inaire exotique
permet de varier les plaisirs, n’est-ce pas ?
[19] Pour alimenter et entretenir l’imposture, les
imposteurs recourent à d’innombrables moyens.
Ils n’hésitent pas à utiliser des mots comme arme de
destruction massive.
C’est ainsi qu’il recourent, par exemple, à ce qu’ils
appellent « l’islam de tolérance » qu’ils assimilent aux maisons du
même nom.
Ils déversent le plein d’ordures en utilisant des mots
salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, trahis, dénaturés,
nauséabonds pour grossir le flot des maux par lesquels ils pensent pouvoir
noyer les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate).
« L’islam de tolérance », appellation mise
sur le marché par les imposteurs, permet à ceux-ci de répandre les massacres,
les destructions, la terreur, et autres horreurs, afin d’éradiquer l’Islaam, qui
n’a rien à voir avec leur « islam de tolérance ».
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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