jeudi 21 avril 2016

« POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE »

Il y a des mariages au sein desquels des conjoints cherchent du « plaisir » dans ce qui déplaît.
Ces comportements blâmables sont par ailleurs vécus comme « valorisants » par ces conjoints qui, ayant du mal à saisir l’éthique du mariage, estiment que dans ce cadre, rien ne doit les empêcher d’agir ainsi.
Les caprices, les entêtements, les oppositions stériles et autres, ne manquent pas.
Et bizarrement, parmi ces conjoints, il y a qui changent complètement de registre en dehors du couple, et adoptent parfois une manière d’être totalement autre, faite d’acceptation de tout et de n’importe quoi, voire de soumission, dans une sorte de recherche incompréhensible de « compliments », pour entretenir un curieux nombrilisme !
Généralement, il n’est pas difficile, dès le début du mariage, de diagnostiquer ce genre de pathologie.
Ce qui est difficile, c’est de lui trouver un traitement.
Mariages « pour le meilleur et pour le pire ».[1]

BOUAZZA

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