Il y
a des mariages au sein desquels des conjoints cherchent du « plaisir »
dans ce qui déplaît.
Ces
comportements blâmables sont par ailleurs vécus comme « valorisants »
par ces conjoints qui, ayant du mal à saisir l’éthique du mariage, estiment que
dans ce cadre, rien ne doit les empêcher d’agir ainsi.
Les
caprices, les entêtements, les oppositions stériles et autres, ne manquent pas.
Et
bizarrement, parmi ces conjoints, il y a qui changent complètement de registre en
dehors du couple, et adoptent parfois une manière d’être totalement autre, faite
d’acceptation de tout et de n’importe quoi, voire de soumission, dans une sorte
de recherche incompréhensible de « compliments », pour entretenir un curieux
nombrilisme !
Généralement,
il n’est pas difficile, dès le début du mariage, de diagnostiquer ce genre de
pathologie.
Ce
qui est difficile, c’est de lui trouver un traitement.
Mariages
« pour le meilleur et pour le pire ».[1]
BOUAZZA
[1]
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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