Le
massacre des croyants et des croyantes[1] en
Birmanie se poursuit.
Pour
la Birmanie, ils sont des déchets dont il faut se débarrasser.
Et comme ailleurs, chaque fois qu’il s’agit de
s’attaquer à l’ISLAAM,[2] Les
vexations, les hostilités, les insultes, l’arrogance, le mépris, la haine et
autres sont d’actualité.
L’invraisemblable est soutenu.
Les
coups les plus inimaginables sont montés.
Les
manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les
mensonges les plus éhontés sont servis.
Les
agressions ne se comptent plus.
Les hostilités, ne s’arrêtent pas.
La
désinformation ne recule devant rien.
Les
amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la
règle.
Et
les pires tromperies sont à l’oeuvre.
La
Birmanie pour le tapage médiatique, c’est « la star » Aung San Suu
Kyi.
Lauréate
du « prix Nobel de la paix » en 1991,[3] décorée
pour son action en faveur des « droits de l’homme » et de la
« démocratie », membre du « parlement » de la dictature
militaire, après des années en résidence surveillée, elle est reçue et fêtée
par divers pays, avec « tout le tralala ».
Cette
femme « symbole de l’opposition à la dictature militaire »,[4] non
seulement ne se soucie pas de l’horrible condition des moslimiine[5] et des
moslimaate[6] de
Birmanie, mais fait partie du gouvernement qui les assassine, et se charge de
« justifier » l’INJUSTIFIABLE.[7]
Comme
d’autres, elle récite ce que ses maîtres du système
colonialo-impérialo-sioniste, lui ordonnent de réciter contre « le péril
islamiste ».
Les
imposteurs, à l’œuvre depuis des lustres, ont toujours usé d’une diarrhée
verbale concernant leurs crimes.
Des
mots qui alimentent, entretiennent le faux, et continuent de faire jouir les
applaudisseurs !
Des
salariés de magnats de médias dont ils exécutent les ordres, déversent encore
et toujours leurs ordures, des mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés,
contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds pour
grossir le flot des maux qui dégoulinent de partout, entretenir les ténèbres,
la conne science universelle,[8] en
ignorant la RÉSISTANCE que mènent des populations attachées à l’ISLAAM, partout
dans le monde, et dont les « ROHINGYAS »[9] de
Birmanie constituent une partie intégrante de la MATRIE.[10]
Les
croyants et les croyantes n’ont pas oublié, n’oublient pas, n’oublieront jamais
et leur RÉSISTANCE en Birmanie et ailleurs continuera, avec l’aide d’Allaah,
jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
« Et
l’avenir est à la piété ».[11]
BOUAZZA
La peinture
qui illustre ce texte est de moi : Elle représente la Maison Sacrée
d’Allaah, Bayte Allaah Alharaame, Alka’ba à Makka, la Kaaba à la Mecque.
[1]
Almouminoune wa almouminaate.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes
(almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message
d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane
est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah
‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna
a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix.
Lorsqu’on
parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été
rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur
lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane
n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna
procède d’Alqoraane.
L’Islaam
se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité)
qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la
Prière (assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur (azzakaate), le
jeûne du mois de ramadaane (assawme) et le pèlerinage (alhajj) à la Maison
Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise Alka’ba, la Kaaba à
Makka, à la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait
(alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses
Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier (la Résurrection) et à la Prédestination
qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le
voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu
de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe
rapporté dans ″Sahiih Moslime″ (Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les
croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les
endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs
d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens
de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les
invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il
n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son
Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon
d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un
égarement évidentʺ.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et
aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des
lustres, l’État (ou une institution semblable, appelée autrement) des
croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les
ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques,
les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations
arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations
répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les
propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes,
les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les
entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour
entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[3]
Selon le calendrier dit grégorien.
[4]
Toujours aux commandes, pour veiller sur les intérêts des décideurs au niveau
international.
[5]
Musulmans.
[6]
Musulmanes.
[7] Peter Popham, dans une biographie de ʺla starʺ,
rapporte qu’elle a été furieuse d’avoir été interviewée par une journaliste
musulmane, sur les horreurs auxquels font face les musulmans et les musulmanes
en Birmanie.
ʺLa starʺ furieuse a déclaré, hors caméra :
ʺPersonne ne m’a dit que j’allais être interviewée par
une musulmaneʺ.
(The lady and the generals, Aung San Suu Kyi and
Burman’sstruggle for freedom (la dame et les généraux, Aung San Suu Kyi et la
lutte de la Birmanie pour la liberté).
Interviwée
en octobre 2013 selon le calendrier dit grégorien par Mishal Husain,
présentatrice Pakistano-britannique de la BBC).
[8]
Ne pas confondre avec conscience universelle.
[9]
C’est ainsi que sont désignés Almouslimoune et Almouslimaate de Birmanie.
[10]
ALOMMA.
LA COMMUNAUTÉ.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire