samedi 9 septembre 2017

AU DELÁ DES MAUX


Le massacre des croyants et des croyantes[1] en Birmanie se poursuit.
Pour la Birmanie, ils sont des déchets dont il faut se débarrasser.
Et comme ailleurs, chaque fois qu’il s’agit de s’attaquer à l’ISLAAM,[2] Les vexations, les hostilités, les insultes, l’arrogance, le mépris, la haine et autres sont d’actualité.
L’invraisemblable est soutenu.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Les agressions ne se comptent plus.
Les hostilités, ne s’arrêtent pas.
La désinformation ne recule devant rien.
Les amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la règle.
Et les pires tromperies sont à l’oeuvre.
La Birmanie pour le tapage médiatique, c’est « la star » Aung San Suu Kyi.
Lauréate du « prix Nobel de la paix » en 1991,[3] décorée pour son action en faveur des « droits de l’homme » et de la « démocratie », membre du « parlement » de la dictature militaire, après des années en résidence surveillée, elle est reçue et fêtée par divers pays, avec « tout le tralala ».
Cette femme « symbole de l’opposition à la dictature militaire »,[4] non seulement ne se soucie pas de l’horrible condition des moslimiine[5] et des moslimaate[6] de Birmanie, mais fait partie du gouvernement qui les assassine, et se charge de « justifier » l’INJUSTIFIABLE.[7]
Comme d’autres, elle récite ce que ses maîtres du système colonialo-impérialo-sioniste, lui ordonnent de réciter contre « le péril islamiste ».
Les imposteurs, à l’œuvre depuis des lustres, ont toujours usé d’une diarrhée verbale concernant leurs crimes.
Des mots qui alimentent, entretiennent le faux, et continuent de faire jouir les applaudisseurs !
Des salariés de magnats de médias dont ils exécutent les ordres, déversent encore et toujours leurs ordures, des mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds pour grossir le flot des maux qui dégoulinent de partout, entretenir les ténèbres, la conne science universelle,[8] en ignorant la RÉSISTANCE que mènent des populations attachées à l’ISLAAM, partout dans le monde, et dont les « ROHINGYAS »[9] de Birmanie constituent une partie intégrante de la MATRIE.[10]
Les croyants et les croyantes n’ont pas oublié, n’oublient pas, n’oublieront jamais et leur RÉSISTANCE en Birmanie et ailleurs continuera, avec l’aide d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
« Et l’avenir est à la piété ».[11]
  
BOUAZZA



La peinture qui illustre ce texte est de moi : Elle représente la Maison Sacrée d’Allaah, Bayte Allaah Alharaame, Alka’ba à Makka, la Kaaba à la Mecque.
[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
L’Islaam se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité) qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la Prière (assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur (azzakaate), le jeûne du mois de ramadaane (assawme) et le pèlerinage (alhajj) à la Maison Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise Alka’ba, la Kaaba à Makka, à la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait (alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier (la Résurrection) et à la Prédestination qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe rapporté dans ″Sahiih Moslime″ (Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un égarement évidentʺ.
Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État  (ou une institution semblable, appelée autrement) des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[3] Selon le calendrier dit grégorien.
[4] Toujours aux commandes, pour veiller sur les intérêts des décideurs au niveau international.
[5] Musulmans.
[6] Musulmanes.
[7] Peter Popham, dans une biographie de ʺla starʺ, rapporte qu’elle a été furieuse d’avoir été interviewée par une journaliste musulmane, sur les horreurs auxquels font face les musulmans et les musulmanes en Birmanie.
ʺLa starʺ furieuse a déclaré, hors caméra :
ʺPersonne ne m’a dit que j’allais être interviewée par une musulmaneʺ.
(The lady and the generals, Aung San Suu Kyi and Burman’sstruggle for freedom (la dame et les généraux, Aung San Suu Kyi et la lutte de la Birmanie pour la liberté).
Interviwée en octobre 2013 selon le calendrier dit grégorien par Mishal Husain, présentatrice Pakistano-britannique de la BBC).
[8] Ne pas confondre avec conscience universelle.
[9] C’est ainsi que sont désignés Almouslimoune et Almouslimaate de Birmanie.
[10] ALOMMA.
LA COMMUNAUTÉ.
[11] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.

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