Au Maroc,[1] beaucoup
de personnes continuent d’alimenter et d’entretenir des dégâts.
Elles cultivent par exemple, depuis des lustres, des
pratiques et des discours stériles, creux, vides, mensongers.
Les
combines et les magouilles n’épargnent aucun domaine.
Cette
attitude est tellement ancrée qu’elle est même transmise comme un
« savoir », un « capital », une « richesse », un
« patrimoine ».
C’est
du « tribalisme » et du « clanisme » qui maintiennent des
dysfonctionnements partout.
Du « tribalisme »
et du « clanisme » qui se parent de n’importe quoi pour que n’émerge
pas ce qui est caché, dissimulé, enfoui, camouflé, masqué, travesti.
Les
personnes attachées à ce « tribalisme » et à ce
« clanisme » s’appuient sur le faux, qu’elles veulent faire passer
pour du vrai.
Les
codes et les rituels qui sous-tendent ces agissements sont présentés comme une « force »,
alors qu’il s’agit de profondes désagrégations.
Et comme le Maroc, est dit « pays
musulman », ces personnes n’ont aucune gêne à se référer à ce qui est
appelé « l’islam » pour essayer de « justifier » des
agissements que l’Islaam rejette, dénonce, condamne et combat.[2]
BOUAZZA
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