« Une
autre vague vient par-dessus la première et fulgure. Etincelle et ruisselle
d’une vie nouvelle. Sans nombre, débordant par-delà les rives du temps, de
l’éternité à l’éternité d’autres vagues naissent et meurent, se couvrant et se
renouvelant, ajoutant leur vie à la vie. D’aussi loin qu’on les entende, toutes
ont la même voix, répètent le même mot : paix, paix, paix … »[1]
[1] Driss Chraïbi, La
Civilisation ma Mère !..., Paris, Editions Denoël, 1972, p. 14.
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité plus
d’une fois.
Voir :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire