Omar[1] Brouksy[2]
continue, avec son deuxième livre[3] qui
vient d’être édité en France, de se pencher sur certaines pratiques de la
monarchie installée au Maroc, et de la République de France.
Dans la préface de ce livre, Alain Gresh[4] note que
le royaume du Maroc « bénéficie en France d’une mansuétude singulière,
aussi bien de la part des politiques que d’un certain nombre de médias, une
complaisance qui ne doit rien au hasard. Elle est le résultat de la lente
édification d’un réseau dense de relais, à coup d’invitations, de juteux
contrats, de pots-de-vin, que nous décrit avec force détails et révélations
Omar Brouksy dans son livre ».[5]
« Tous ces thuriféraires du régime marocain, le
livre de Brouksy en dresse une liste, d’Élisabeth Guigou à Bernard Henri Lévy,
de Jean Glavany à Jack Lang, du couple Balkany à Dominique Strauss-Kahn, de
Dominique de Villepin à Nicolas Sarkozy, de Najat Vallaud-Belkacem à Rachida
Dati. Tous et chacun sont l’objet de délicates attentions, invités réguliers de
la Mamounia, ce palace de luxe mythique de Marrakech,[6]
propriétaires de riads dans cette ville, traités généreusement par le
palais ».
« Le
gouvernement (socialiste) français ira jusqu’à réviser la convention de
coopération judiciaire franco-marocaine pour mettre à l’abri les responsables
du régime de toute poursuite ».[7]
« Les dernières révélations sur les rapports
entre le nouveau président français Emmanuel Macron et divers intérêts
marocains[8] n’est
pas fait pour rassurer sur l’avenir, d’autant que le chef de l’État a consacré
une de ses premières visites à l’étranger, qualifiée étonnamment de
« personnelle »,[9] à
Mohammed VI son ami le roi ».[10]
Dans l’avant-propos, Omar Brouksy écrit :
« Ils sont journalistes, patrons de presse ou de
grandes entreprises, artistes ou encore hommes politiques, ils appartiennent à
une élite influente auprès des médias français. Leur point commun ? Ils
entretiennent des rapports de proximité avec la monarchie marocaine, et
agissent en parfaits obligés du royaume en le présentant devant l’opinion
française sous les meilleurs auspices ».[11]
Parmi les laudateurs, il y a de tout.
Y compris Tahar Ben Jelloun.
Et Jamel Debbouze.
« De ses obligés, le royaume attend une loyauté
sans faille et des renvois d’ascenseurs à la mesure de son hospitalité ».[12]
« Ce livre ne porte pas sur les relations entre
le Maroc et la France. C’est un voyage dans les réseaux français du palais
royal, à travers cette élite politique, médiatique et financière dont la principale mission est de tresser les lauriers de
Mohammed VI[13]
et de son entourage ».[14]
Le
roi est aussi « un homme d’affaires prospère qui contrôle le plus grand
groupe financier du pays : la Société nationale d’investissement (SNI).[15]
Après
l’avant-propos, la pénétration se prolonge dans les réseaux français du palais
royal, que Omar Brouksy décrit clairement.
Avant
le décès de Hassan II,[16] l’image
de la monarchie, dont la France s’est toujours préoccupée, va prendre une
importance de plus en plus grande.
André
Azoulay va s’imposer par ce biais.
« Né
en 1941 à Essaouira,[17] une
ville au style portugais face à l’Atlantique, dans le sud-ouest du royaume,
André Azoulay commence son parcours au Maroc dans le journalisme. M ais il
quitte rapidement son pays natal pour la France et intègre, à partir de 1967,
le département « affaire publiques » au sein du groupe bancaire
Paribas. En 1991, un an après la parution du livre de Gilles Perrault,[18] Hassan
II fait appel à lui pour le poste de conseiller économique ».[19]
« Même
s’il était surtout l’homme d’Hassan II dans le Tout-Paris financier et
politico-médiatique, André Azoulay[20] n’a pas
été complètement marginalisé par « M6 ».[21] Certes
il ne fait plus partie de son cercle rapproché, mais il active chaque fois son
carnet d’adresse lorsque celui-ci peut servir l’image de la monarchie en
France ».[22]
Les
obligés de la monarchie « se retrouvent à la droite de l’échiquier
politique français mais aussi dans les rangs de ce qu’on appelle la gauche
caviar[23] ».[24]
Depuis
le premier livre de Omar Brouksy,[25] édité
en 2014,[26]
le même régime continue de sévir au Maroc.
Les
écrits qui dénoncent ce régime, ne l’affaiblissent pas, mais comme je l’ai déjà
écrit,[27] il a du
mal à tolérer que quelqu’un du Maroc, ose ne pas se plier à son arrogance, à sa
mégalomanie, ose le défier, l’irriter en étant irrévérencieux, et en faisant
preuve d’insoumission.
C’est
dire, encore une fois, que des auteurs, comme Omar Brouksy,[28]
prennent d’énormes risques[29] en
osant exposer des pratiques condamnables que ce régime tient à masquer.
Le
deuxième livre de cet auteur, continue donc dans ce qui déplaît au monarque.[30]
Il y
a lieu de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler, qu’avec
« l’indépendance dans l’interdépendance »,[31] ce
régime perfide, obscène, dépravé, cynique et autres, considère que tout lui est
permis, s’autorise le pire, ne recule devant rien pour piétiner la dignité,
humilier, écraser des populations qu’il ne voit que serviles.[32]
Veillant
sur les intérêts de ses employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste,
cette monarchie alimente et entretient la mascarade dite
« politique », voulue par ses maîtres.
Elle
impose à quiconque veut s’approcher des « effluves du palais », de se
livrer à la danse lascive, qui peut permettre l’accès au « harem »,
ne serait –ce que pour un bref instant.
Ce
jeu « sacralisé » semble immuable.
Bien
sûr, il y a le discours trompeur qui a fait, qui continue de faire et qui fera
des victimes sans nombre, dans tous les domaines, mais « chchiikha »[33]
n’arrête pas sa danse.
La
monarchie jouit selon ses règles imposées, et s’amuse à corrompre, à asservir,
à assujettir, à soumettre, à réprimer, à éliminer tout ce qui ne lui convient
pas.
Elle transforme à sa guise les clans dits partis
« politiques » en coquilles morcelées,[34] vides,
domptées pour se prosterner, alimenter, entretenir l’idolâtrie.
Les références à l’Islaam[35] servent
à nourrir la confusion.
« Et
c’est ainsi que Nous[36] avons
mis dans chaque cité, ses grands criminels afin qu’ils y trament leurs ruses,
mais ils ne rusent que contre eux-mêmes et ils n’en sont pas conscients ».[37]
Dans sa traduction du Qoraane,[38] Salaah
Addiine Kachriid[39]
note que quand le mérite se base uniquement sur la piété et la vertu, la
société est dirigée par les plus vertueux et c’est ainsi que règnent la
propreté et la justice.
Mais quand le mérite se base sur la force brutale et
sur la puissance d’argent sans aucune considération pour les valeurs morales,
l’élite d’une telle société se trouve être sa pègre et ses escrocs et c’est le
règne de la pourriture et de l’injustice sous toutes ses formes.
Tel un virus, le régime répand la contamination parmi
les populations auxquelles il inocule tous les vices, comme l’alcoolisme,[40] le sexe
débridé, et autres, dont l’ampleur des dégâts est inimaginable.
S’agissant du sexe débridé par exemple, la fornication
bat son plein, l’adultère est partout, la prostitution fait rage, la pédérastie
est enracinée, la sodomie est courante, le lesbianisme bien implanté, et les
pédophiles n’ont que l’embarras du choix.
Au
Maroc, le débauché est roi.
La monarchie, établie et soutenue par ses maîtres du
système colonialo-impérialo-sioniste, dispose de personnel dans divers réseaux :
Omar Brouksy offre aux lecteurs et aux lectrices, une virée dans « le bazar
franco-marocain ».[41]
Partant d’événements relatés par des médias, il dévoile
des entrelacements d’individus,[42] plus
méprisables les uns que les autres, dont regorge, depuis des lustres, ce« bazar »
de la turpitude.[43]
BOUAZZA
[1]
‘omar (le ʺrʺ roulé), la première lettre du prénom en arabe est la lettre
ʺ’aïneʺ représentée par le signe ‘.
[2]
Le ʺrʺ roulé.
[3] Omar
Brouksy, La République de sa majesté, France-Maroc, liaisons
dangereuses, Nouveau monde éditions, Paris, 2017.
[4]
Directeur du journal en ligne Orient XXI.Info, ancien rédacteur en chef du Monde
diplomatique.
[5]
Page 6.
[6] Il m’est
arrivé de parler de leur rrakech (marrakech), de la mamounia, le palace
où sont accueillis des voleurs, des usurpateurs, des fraudeurs, des truands,
des mafieux, des faussaires, des proxénètes, des trafiquants de tous bords, des
imposteurs et autres malfaisants des ʺ grandes puissancesʺ, qui côtoient des
ʺindigènesʺ assez ʺifouloui i coul-tifiʺ (évolués et cul-tivés).
Des
ʺpersonnalitésʺ de gauche, du centre de droite et autres des ʺgrandes
puissancesʺ se ʺressourcentʺ et ʺréfléchissentʺ.
Des
ʺreprésentantsʺ de divers pays, des ʺcongressistesʺ, des ʺartistesʺ, toutes
tendances confondues, se concertent.
Dans
divers autres palaces, résidences et autres, des dévoyés, pervers et pourris de
pays dits ʺmusulmansʺ, qui dégoulinent d’argent sale, de vice, de trahison et
de puanteur, viennent depuis longtemps, contribuer à conserver au Maroc
corrompu sa place de bordel où le débauché est roi.
ʺLes
représentantsʺ des métropoles, comme ceux de la France, apprécient
ʺl’hospitalité du Marocʺ.
C’est
ainsi que leur rrakech fait partie des lieux où ils aiment se vautrer, et où
ils sont accueillis dans les règles de la soumission.
[7]
Page 11.
[8]
ʺMacron et la SNIʺ, Économie et Entreprises, juin 2017, citant
l’hebdomadaire français Le Point.
[9]
ʺVisite familialeʺ souligne quant à lui le palais.
Épilogue, page 303.
[10]
Page 13.
[11]
Page 15.
[12]
Page 18.
[13]
Le roi au Maroc.
[14]
Pages 18 et 19.
[15]
Pages 19-20
[16]
Le père de Mohammed VI.
[17]
Assaouira (le ʺrʺ roulé), dite Mogador dans le passé.
[18] Gilles
Perrault, ʺNotre ami le roiʺ, Éditions Gallimard, Paris, 1990 (livre de
dénonciation du régime).
[19]
Brouksy Omar, op.cit, pages 26-27.
[20] Sa fille, Audrey Azoulay était conseillère et
ministre de la culture de François Hollande, le socialiste révolutionnaire de
gauche, installé de mai 2012 à mai 2017, sur le trône du Palais de l’Élysée, en
remplacement de son alter ego de droite, Nicolas Sarkozy, comme Président de la
République.
Au mois d’octobre 2017, elle sera peut-être installée
sur le fauteuil moelleux de direction de l’UNESCO (Organisation des Nations
Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture).
[21]
Mohammed VI.
[22]
Brouksy Omar, ibid, page 58.,
[23]
Cacaviar.
Avec à sa tête le parti socialiste.
[24]
Brouksy Omar, ibid, page 70.
[25] ‘Omar
Brouksy, ʺMohammed VI derrière les masques, le fils de ʺnotre amiʺʺ,
Nouveau Monde Éditions, Paris 2014.
[26]
Selon le calendrier dit grégorien.
[27]
ʺLe fils de son pèreʺ, (compte rendu du livre de ‘Omar Brouksy),
internet, 2014
[28]
Installé au Maroc.
[29] Que
n’encourent pas ceux et celles, en France par exemple, qui dénoncent
l’arrogance, les mensonges, l’imposture et autres pratiques condamnables du
ʺrègneʺ de la personne installée sur le ʺtrôneʺ du palais de l’Élysée.
[30]
Et à d’autres bien sûr.
[31]
ʺl’indépendance nationaleʺ, ʺla révolution populaireʺ ou autres supercheries
inséparables du statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste.
Statut
qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États"
supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de
servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur
l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice,
la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression,
l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de
l’être humain.
Au
Maroc, occupé par la France, l’Espagne, et autres, occupation dite
″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat
moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le
sultan, protégé, est alors devenu roi, au service de ce système.
Les colonies restent pour les employeurs des réserves
de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des
points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des
armements, des lieux de pédophilie et autres ʺloisirs pour touristesʺ, des
dépotoirs multiples et variés et des décharges d’immondices.
Ces colonies sont dotées de moyens pour opprimer,
mâter, briser, terroriser et massacrer ceux et celles qui résistent.
[32]
Op.cit, internet, 2014
[33] La pute participant par des danses lascives et des
chants vulgaires, à entretenir la débauche en de multiples occasions.
[34]
Segmentées.
[35] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du
Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane
est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah
‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna
a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix.
Lorsqu’on
parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été
rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur
lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane
n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna
procède d’Alqoraane.
L’Islaam
se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité)
qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la
Prière (assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur (azzakaate), le
jeûne du mois de ramadaane (assawme) et le pèlerinage (alhajj) à la Maison
Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise Alka’ba, la Kaaba à
Makka, à la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait
(alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses
Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier (la Résurrection) et à la Prédestination
qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le
voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu
de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe
rapporté dans ″Sahiih Moslime″ (Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les
croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les
endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs
d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens
de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les
invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il
n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son
Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon
d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un
égarement évidentʺ.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et
aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des
lustres, l’État (ou une institution semblable, appelée autrement) des
croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les
ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques,
les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations
arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations
répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes
malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les
amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises
de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et
maintenir la confusion, l’imposture.
[36]
Allaah.
[37]
Alqoraane (Le Coran), sourate 6 (chapitre 6), Alan’aame, Les Bestiaux, aayate
123 (verset 123).
[38]
Le ʺrʺ roulé.
Salaah
Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran),
Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii,
cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 183.
[39]
Le ʺrʺ roulé.
[40] Intervenant partout, d’une avidité sans limite, le
monarque, Mohammed VI, est l’un des premiers ʺdébiteursʺ de boissons
alcoolisées.
Omar
Brouksy, ʺMohammed VI derrière les masques, le fils de ʺnotre amiʺʺ,
Nouveau Monde Éditions, Paris 2014, P. 83.
[41]
L’expression est de l’auteur.
[42]
Des hommes et des femmes.
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