samedi 30 janvier 2021

vendredi 29 janvier 2021

DES ZOMBIES QUE LE RIDICULE NE TUE PAS

Ils ont été installés à la tête de « États » de « l’indépendance dans l’interdépendance », statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, qui s’est traduit dans les colonies, et autres, d’Afrique et d’ailleurs, par la multiplication des « États » supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces « États » sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Leurs employeurs les autorisent à s’attribuer des titres de maréchal, de général, et autres, de paraître dans des tenues militaires fabriqués par ces employeurs, et de parader avec des médailles qui couvrent les vestes des uniformes.
Des zombies que le ridicule ne tue pas.[1] 
 
BOU’AZZA

[1] Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com 


jeudi 28 janvier 2021

PAS LES POULES

Confortablement installés sur le siège arrière d’une voiture conduite par « un héros de la résistance contre le colonialisme », deux cadres d’un « parti de la révolution », rejouent ce qu’ils destinent aux paysans d’un douar[1] où ils sont attendus afin de parler du « socialisme de l’État mis en place pour servir le peuple ».
Après un repas que les paysans ne pouvaient pas ne pas « offrir », l’un des deux cadres s’est lancé, en fixant un « fellah »[2] en face de lui, dans ce qu’il appelle « la pédagogie militante » :
- Si tu as deux maisons, tu gardes une et tu donnes l’autre à quelqu’un qui n’a pas de maison.
Compris ?
- Compris.
- Si tu as deux voitures, tu gardes une et tu donnes l’autre à quelqu’un qui n’a pas de voiture.
Compris ?
- Compris.
Content de lui, il a passé la parole à son « camarade » qui s’impatientait pour « participer à la consolidation de la conscientisation des masses », et qui a poursuivi :
- Si tu as deux poules, tu gardes une et tu donnes l’autre à quelqu’un qui n’a pas de poule.
Compris ?
- Pas les poules.
Ici, il n’y a pas de maison, il y a des gourbis.
Il n’y a pas de voiture, il y a des mulets.
Et il y a des poules.
J’en ai deux.
Je les garde.
[1] Le ʺrʺ roulé, d’un hameau.
[2] Fallaah, paysan. 

lundi 25 janvier 2021

UN RETOUR AUQUEL PERSONNE NE PEUT ÉCHAPPER

J’ai appris le décès de Jm’a le vendredi 8 janvier 2021,[1] par un texto[2] d’une nièce, la fille de l’une de mes soeurs[3] au Maroc.
Jm’a était installée en France où elle avait débarquée dans les années quatre vingt, pour des études universitaires.
Après avoir été divorcée par mon père, ma mère a épousé en secondes noces son cousin, paysan à ‘iicha[4] Mllouk[5], en périphérie de Tiddaas.[6]
Ce cousin avait déjà une épouse.
Jm’a était l’une des enfants du mari de ma mère et de cette épouse.
En France, Jm’a venait à la maison, et avec mon épouse, nous l’apprécions beaucoup.
Puis nous nous sommes perdus de vue.
Lorsque nous nous sommes revus, elle était avec son mari et leurs deux enfants.[7]
Les retrouvailles furent courtes, les contacts téléphonique épisodiques, de plus en plus espacés, puis inexistants.
Et un jour, peut-être en 2014-2015, nous avons eu sa visite pour une semaine, avec sa fille lycéenne.
Elle était fatiguée, mais contente d’être parmi nous avec sa fille.
Jm’a avait souvent eu des problèmes de santé.
Après cette visite, nos contacts téléphoniques ont repris.
Le dernier texto reçu de sa part date de quelques jours avant son décès.[8]
Les démarches pour l’enterrement au Maroc ont nécessité plusieurs jours.
Le corps a été rapatrié le mercredi 20 janvier 2021.
L’enterrement a eu lieu le lendemain jeudi.
Le vendredi, un neveu[9] m’a adressé par « mail » quelques mots sur les funérailles :
« Nous avons assisté hier aux funérailles de ma tante Jemaa[10] que Dieu ait son âme.
Le corps, accompagné par le fils, la fille et leur père, ainsi que par une tante, est arrivée le mercredi soir à l’aéroport de Casablanca.[11]
Le jeudi, nous sommes allés à Taghlyast,[12] lieu de naissance de Jemaa, pour l’inhumation.
Après la prière funéraire,[13] l’enterrement a eu lieu vers 15 heures.
Nous avons présenté nos condoléances aux deux enfants, à leur père, à la tante, et nous les avons accompagné afin qu’ils fassent la connaissance d’autres membres de la famille.
Le soir, nous nous sommes rassemblés chez un oncle[14] à Tiddas afin d’écouter le Coran,[15] de faire des invocations, de dîner.
Le dimanche inchaallah[16] les enfants de Jemaa, leur père, et leur tante s’envoleront pour la France ».
Nous sommes à Allaah et à Lui nous retournons.[17]
Un retour auquel personne ne peut échapper.[18] 
 
BOU’AZZA
[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Dit aussi SMS ( Short Message Service)
[3] Demi-soeur dit-on en français.
Demi-soeur de Jm’a.
[4] La première lettre du prénom ‘iicha c’est la lettre ‘ (‘iine) qui n’existe pas dans l’alphabet français, et non la lettre i qui n’est donc pas écrite ici en lettre majuscule.
[5] Aïcha Mellouk.
[6] Tiddas.
[7] Un fils et une fille.
[8] En contactant sa fille, j’ai appris qu’elle était en réanimation à l’hôpital, et qu’elle est morte d’une crise cardiaque.
[9] Le fils d’un de mes frères.
Demi frère dit-on en français.
Demi-frère de Jm’a.
[10] Jm’a.
[11] Ddaar lbiidaa (le r ʺrʺoulé), la maison blanche.
[12] Taghlyaste, en périphérie de Tiddaas.
[13] Salaate aljanaaza.
[14] Un frère de Jm’a.
[15] Alqoraane (le r ʺrʺoulé).
[16] Ine chaa-e Allaah (si Allaah veut).
[17] Innaa lillaah wa innaa ilayh raaji’oune (le r roulé).
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate 156 (verset 156).
Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé) Kachriid (le ʺrʺ roulé)  note que ʺla formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle ʺistirjaa’eʺ (le ʺrʺ roulé).
Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y trouve en effet une réelle consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand on se rappelle qu’on est entièrement la propriété d’Allaah et que c’est vers Lui que doit se faire notre retour, comment peut-on être écrasé de chagrin devant la perte des biens éphémères de ce monde ? Quand Allaah nous reprend un être cher ou un bien auquel nous sommes attachés, Allaah n’a fait que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure bonté de Sa part et sans aucune contrepartie de la nôtre.
Que pouvons-nous donner à Celui qui possède toute chose en exclusivité totale ?ʺ
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 30.
[18] Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com 


jeudi 21 janvier 2021

EN FRANCE COMME AILLEURS

Le colonialisme est un crime contre l’humanité.
C’est clair, net, précis, et sans bavure.
Les bavardages, les commandes en tous genres, et autres pour continuer à alimenter, à répandre le mensonge, à rendre « confus » ce qui est limpide, restent des bavardages : en France, comme ailleurs.[1]
   
BOU’AZZA


http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com 

mercredi 13 janvier 2021

HEIN ?

- Le covid 19[1] l’empêche de continuer à réformer.
- On dit la covid.
- La covid l’empêche de continuer à réformer.
- Elle empêche qui ?
- Jupiter[2] dit loque à terre[3] du palais de l’Élysée.
- Qu’est-ce qu’il a déjà réformé ?
- Hein ? 
BOU’AZZA


[1] L’épidémie du coronavirus.
[2] Emmanuel Macron qui s’est fait lui-même appelé ainsi.
[3] Locataire. 

samedi 9 janvier 2021

ENCORE SUR JM’A

J’ai tenu à faire un texte sur Jm’a dès que j’ai appris son décès.
Ce texte contient certainement des erreurs, du moins pour ce qui est de la chronologie.
Il se peut que Jm’a soit venue en France juste après le baccalauréat au Maroc, et non après la licence.
À notre rencontre à « Beaubourg », elle était donc plus jeune, et mon fils aîné l’était aussi. 
 
BOU’AZZA 

vendredi 8 janvier 2021

JM’A


C’était dans les années quatre-vingt.[1]
Au dernier étage, de « Beaubourg »[2] à Paris, les visiteurs pouvaient prendre des consommations dans un café, et profiter d’une belle vue.
J’étais attablé avec mon fils aîné qui devait avoir à l’époque plus de dix ans,[3] en train de siroter une boisson.
En face, une jeune fille n’arrêtait pas de me fixer et avait fini par venir me voir pour me demander si je n’étais pas un tel, du Maroc : c’était Jm’a, une des filles de l’époux de ma mère.[4]
Elle devait avoir un peu plus de vingt ans, était étudiante en maîtrise, et vivait dans un foyer de jeunes filles.
En France, je voyais assez régulièrement Jm’a qui venait à la maison.
Et avec mon épouse, nous admirions son courage de tenir fermement à faire un mémoire de maîtrise en français, alors qu’elle avait fait une licence en arabe au Maroc.
Puis nous nous sommes perdus de vue.
Lorsque nous nous sommes revus, elle était avec son mari et leurs deux enfants.[5]
Les retrouvailles furent courtes, les contacts téléphonique épisodiques, de plus en plus espacés, puis inexistants.
Et un jour, peut-être en 2014-2015, nous avons eu la visite de Jm’a pour une semaine, avec sa fille lycéenne.
Elle était fatiguée, elle a toujours eu des problèmes de santé, et nous sentions qu’elle était contente d’être parmi nous avec sa fille.
Nos contacts téléphoniques ont repris, et nous en avons reçu un au début du mois de janvier 2021.
Et aujourd’hui, vendredi, le 8 du même mois, un message du Maroc m’annonçe son décès.
En contactant sa fille, j’ai appris qu’elle était en réanimation à l’hôpital, et qu’elle est morte d’une crise cardiaque.
Son époux, son fils, sa fille vont l’accompagner pour l’enterrer au Maroc.
Nous sommes à Allaah et à Lui nous retournons.[6] 
 
BOU’AZZA
[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Centre national d’art et de culture Georges Pompidou, inauguré en 1971.
[3] Nous avions quitté le Maroc, mon épouse et nos deux fils, en 1981, pour nous installer de nouveau en france.
[4] Après avoir été divorcée par mon père, ma mère a épousé en secondes noces son cousin, paysan à ‘Iicha Mllouk, en périphérie de Tiddaas.
Il avait déjà une épouse : Jm’a est l’une des enfants du mari de ma mère et de cette épouse.
[5] Un fils et une fille.
[6] Innaa lillaah wa innaa ilayhi Raaji’oune.
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″ roulé), La Vache, aayate 156 (verset 156).


jeudi 7 janvier 2021

USA FRANCE


Ce soir,[1] Charlotte retrouve dans un hôtel qu’elle connaît, le « patron »[2] de l’hebdomadaire où elle est journaliste, chargée de la rubrique USA FRANCE, une rubrique sur la démocratie américaine et la démocratie française.
Son époux se charge des enfants.
Dans sa voiture, elle marque une pause au début de la rue qui mène à son lieu de rendez-vous, pour refaire son rouge à lèvres.
Arrière petite-fille d’un gradé de l’armée française en Afrique du Nord, et dans d’autres colonies d’Afrique, elle bénéficie d’un réseau familial tentaculaire.
Sa famille a toujours vanté les horreurs répandues par l’armée française, et les crimes du colonialisme.[3]
Plusieurs membres de cette famille ont été glorifiés, félicités, fêtés, décorés, nommés hauts responsables de diverses institutions.[4]
Charlotte en est plus que fière.
Les régimes mis en place par la supercherie de l’indépendance dans l’interdépendance, et autres,[5] continuent de faire ce que leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste leur demandent, afin que le continent africain, et d’autres lieux ailleurs, restent une décharge d’immondices dans tous les domaines : la merde continue de gicler de partout, nauséabonde.
Les colonies et autres contrées dites du tiers-monde, restent pour les métropoles des réserves de matières premières, de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres loisirs pour touristes, des dépotoirs multiples et variés.
Charlotte fait partie des innombrables personnes qui usent de mots pour nier des faits, les déformer, les travestir, et autres.
À travers le temps et l’espace, ces gens ont toujours cherché à « faire passer des vessies pour des lanternes ».
Dans les opérations de domination, les mots accompagnent les autres moyens et s’avèrent souvent aussi dangereux, voire plus terribles.
Les imposteurs ont toujours falsifié les mots pour les utiliser comme des armes de destruction massive.
Dans plusieurs domaines, ils mobilisent tous les moyens dont ils peuvent disposer pour faire dire aux mots ce qui correspond à ce qui les arrange.
Ils ne cessent de parler de démocratie par exemple, et n’arrêtent pas de sévir.
Pour rester dans la période contemporaine, il est connu que ces imposteurs ont usé de tout pour ne pas parler de colonialisme, d’impérialisme, de sionisme, et autres.
Ils ont recours à des termes trompeurs, des termes faux, des termes de la supercherie.
Ils varient les bavardages afin de camoufler leur soif de maintenir leur domination.
Ils sont arrivés par des mots truqués à faire passer pour du progrès, leurs crimes contre l’humanité.
Dans l’hebdomadaire où elle est chargée d’une rubrique, Charlotte chante la gloire des USA, United States of America, les États unis d’Amérique.
Elle ne rappelle pas que la construction des USA par des européens, s’est faite sur le génocide des Indiens, sur l’esclavage, sur la ségrégation, sur le terrorisme, sur l’utilisation des bombes atomiques pour exterminer les populations de deux villes au Japon,[6] sur d’innombrables autres massacres, sur des destructions qui continuent à travers le monde.
Elle ne rappelle pas que les USA sont à l’avant-garde du système colonialo-impérialo-sioniste, qu’ils sont aujourd’hui la première puissance militaire et atomique à la tête des massacres de multiples populations.
Elle ne rappelle pas que les USA se distinguent par des agressions, des crimes, des exterminations, des violations des droits des populations et des individus à travers le monde, des massacres, des destructions, des anéantissements, des éliminations, des assassinats, le pillage, le vol, la cupidité, la domination, la répression, l’oppression, l’exploitation, le mensonge, le cynisme, la tromperie, la tricherie, des discriminations, des enlèvements, des enfermements, des tortures, des humiliations, le mépris, l’arrogance, le faux, l’imposture, et autres.
Elle ne rappelle pas que les USA ont déversé sur les populations du Vietnam, pour ne citer que ce pays, des centaines de milliers, voire des millions de tonnes de bombes.
Lorsque Charlotte parle de la France, elle procède de la même manière, chante la grandeur de la République, les droits universels, le combat, qui rejoint celui des USA, pour le bonheur de l’humanité.
Elle ne rappelle pas que l’État français, colonialo-impérialo-sioniste, oppresseur, s’est livré à d’infinies horreurs en France, dans des colonies, dans des territoires annexés à la métropole, et ailleurs.
Elle ne rappelle pas que cet État intervient depuis des lustres quand il veut, comme il veut, où il veut, pour répandre les persécutions présentées comme faisant partie des actions destinées à améliorer le sort de l’humanité.
Elle ne rappelle pas que pour cet État, les indigènes[7] qui s’opposent aux persécutions, sont considérés comme des ennemis du progrès et du bien-être.
Les populations d’Afrique et d’ailleurs continuent de connaître des massacres et des destructions qui se poursuivent depuis des siècles : avant le colonialisme, pendant l’esclavagisme, durant le colonialisme, et aujourd’hui encore.
Elle ne rappelle pas que l’État français fait partie des employeurs, en Afrique et ailleurs, de régimes de la tyrannie, mis en place dans le cadre de l’indépendance dans l’interdépendance, de la coopération.
La France colonialiste a connu quelques années d’occupation par l’Allemagne du national-socialisme, du nazisme, pendant la deuxième guerre dite mondiale.[8]
Une énorme importance continue d’être accordée à cette période, au nom de ce qui est appelé le devoir de mémoire, entretenu par un flot constant de publications, de films, d’images, de conférences, de discours, de cérémonies, de célébrations, de commémorations, d’hommages, de décorations et autres.
Mais lorsque des personnes des colonies veulent parler des horreurs du colonialisme, la France, qui poursuit des horreurs du système colonialo-impérialo-sioniste, leur demande, avec arrogance et mépris, de se taire, de tourner la page, et même de témoigner de la reconnaissance pour l’apport civilisationnel du système colonialo-impérialo-sioniste, qui continue d’œuvrer pour le progrès et le bien-être de l’humanité.
Elle ne rappelle pas que doté d’avions bombardiers des plus performants dans les exterminations, d’une flotte maritime pour les agressions, d’innombrables chars de carnage, de missiles, d’équipements militaires les plus récents, d’armements sophistiqués, d’armes nucléaires, cet État recours à la terreur contre des populations désarmées.
Elle ne rappelle pas les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les décisions discriminatoires, les attaques brutales, les entreprises de démolition, et autres pratiques condamnables de cet État.
Le « patron » de l’hebdomadaire attendait devant l’hôtel.[9] 
 
BOU’AZZA
[1] Avant 21 heures, début de l’heure du couvre feu instauré en Île de France en raison de l’épidémie de la covid 19 (coronavirus).
[2] Qu’ils soient de droite, de gauche, ou autres, les médias appartiennent généralement à des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés par des individus dits décideurs, qui alimentent et entretiennent ce qui sert leurs intérêts dans le cadre d’une institution, d’un régime, d’un système, ou autres.
C’est dire que les journalistes, et autres personnels des médias, sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le discours sur le journaliste au service de la vérité par exemple, ne trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[3] Crimes contre l’humanité.
[4] Des rues portent le nom de certains membres de cette famille.
Des statues invitent à les adorer, des commémorations leur sont consacrées, des livres les idolâtrent, des médias les honorent, des écoles les encensent.
[5] L’indépendance nationale, la révolution nationale, la révolution populaire, et autres.
Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des États supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces États sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[6] Hiroshima et Nagasaki.
[7] Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme aux populations des territoires colonisés.
[8] 1940-1945, selon le calendrier dit grégorien.
[9] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com


dimanche 3 janvier 2021

LES ZIS SOUS LES POINTS

Installé sur le trône du palais de l’Élysée, il décide de tout comme ses prédécesseurs, et comme le feront ses alter ego qui viendront après lui.
Ceux et celles qu’il a mis en place pour satisfaire ses désirs ne mouftent pas : tout le monde le sait.
Mais il n’est responsable de rien : il le répète sur tous les tons et le conjugue à tous les temps.
Il n’arrête pas de mettre « les i sous les points »[1] : ce qui est « génial »[2] c’est lui,[3] et le reste c’est la nullité des exécutants.[4] 
 
BOU’AZZA

[1] J’emprunte cette expression au défunt Driss Chraïbi (Idriis Achchraaïbii) pour dire les points sur les i.
[2] Et qui n’existe pas.
[3] Emmanuel Macron, le mari de Brigitte.
[4] Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com 


samedi 2 janvier 2021

LE NOUVEL AN DES CROYANTS ET DES CROYANTES

Il n’est pas inutile de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler qu’Alhijra,[1] l’exil de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, l’émigration de Makka[2] à Yathrib[3] devenue Almadiina,[4] marque le point de départ, l’an 1 du calendrier d’alhijra.[5]
Les souffrances endurées par des croyants et des croyantes[6] face aux ennemis du Message d’Allaah, ressemblent aux souffrances auxquelles des croyants et des croyantes continuent de faire face.
Aujourd’hui, le glorieux calendrier d’Alhijra est ignoré pratiquement partout.
Le nouvel an du calendrier dit grégorien, imposé depuis des lustres, est fêté pratiquement partout.[7]
Un jour, ine chaa-e Allaah,[8] le calendrier d’alhijra, calendrier lunaire retrouvera sa place.[9] 
 
BOU’AZZA

[1] Le ʺrʺ roulé, l’Hégire.
[2] La Mecque.
[3] Le ʺrʺ roulé, Yatrib.
[4] Médine.
[5] L’an 622 selon le calendrier dit grégorien.
[6] Almoslimoune wa almoslimaate.
[7] Qu’Allaah pardonne nos mauvais comportements, nous éclaire, et nous guide.
[8] Si Allaah veut.
[9] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com 


vendredi 1 janvier 2021

ILS FABRIQUENT DES MENSONGES

« Et si tu obéis à la majorité de ceux qui sont sur la terre, ils t’égareront de la Voie d’Allaah. Ils ne suivent que la conjecture et ne font que fabriquer des mensonges ».[1]


[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 6 (chapitre 6), Alan’aame, Les Bestiaux, aayate 116 (verset 116).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité plus d’une fois.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com