Des
élections ont eu le mercredi 8 septembre 2021[1] au
Maroc.
La
mascarade dite « politique » continue.
La
danse lascive pour faire partie du « harem » de l’imposture, est
connue depuis « ‘aame nodou trgdou ».[2]
Bien
sûr, il y a la phraséologie trompeuse qui a fait, qui continue de faire et qui
fera des victimes sans nombre, dans tous les domaines, mais cela n’empêche pas,
n’a pas empêché et n’empêchera pas « chchikhaate »[3] de se
trémousser.
Le
proxénète en chef, le système colonialo-impérialo-sioniste, veille à ce que la
turpitude[4] n’épargne
rien et se charge d’entretenir le discours sur « la démocratie ».
BOU’AZZA
[1] Selon le calendrier dit
grégorien.
[2] Depuis belle lurette.
[3] Singulier ″achchaykha″ (chchiikha), féminin de ″achchaykh″ (chchiikh), qui veut
dire personne âgée, mais désigne, dans l’usage courant, un chef de clan ou de
tribu.
Au Maroc, le mot au masculin désigne un indicateur
placé par l’administration pour tenir informé le représentant du ″ministère de l’intérieur″, le caïd
(alqaaid) des faits et gestes des populations sous sa surveillance, mais
s’applique aussi au chef d’une troupe de chiikhaate.
″Chchiikha″ désigne la
pute participant par des danses lascives et des chants vulgaires, à entretenir
la débauche en de multiples occasions.
[4] Alfahchaa-e.
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