lundi 12 octobre 2015

FIÈRE DE NE PAS SAVOIR CUISINER

Cuisiner, ce n’est pas seulement préparer des mets.
C’est observer, réfléchir, se remémorer, cultiver des sensations, transmettre, partager, offrir, témoigner sa reconnaissance au Seigneur des univers.[1]
Un contact avec des êtres, des sons, des images, des couleurs, des parfums, des goûts, et autres.
Un parcours à travers le temps et l’espace.
Les personnes qui savent cuisiner, mettent les saveurs de l’amour dans chaque plat.
Sans elles, les « recettes de cuisine » ne valent rien.
Beaucoup de personnes cependant s’en foutent.
Elle en fait partie.
Fière de ne pas savoir cuisiner.
Comme presque tous les hommes, souligne-t-elle.
Lorsqu’elle consent à cuisiner, ce qui se traduit souvent chez elle par l’utilisation du micro onde pour réchauffer un plat préparé,[2] rapporté par l’époux[3] chargé de faire les courses, elle ne peut pas s’empêcher de dire sans cesse que « faire à bouffer » c’est « chiant », et qu’elle en fait volontiers cadeau aux personnes « qui ont du plaisir à se faire chier ».[4]
C’est une « beurette ».[5]
Elle est née en métropole, et fait tout « pour être à la page » !
Elle est originaire d’Afrique du Nord, issue du processus migratoire né du colonialisme.
C’est un produit de la « colopole ».[6]
Du viol de la colonie[7] par la métropole.
Elle a « réussi » et s’est « libérée » ![8]
Et en femelle « intégmilée »,[9] elle est fière d’adopter des travers de la métropole, la société dite « d’accueil », de les accentuer, et d’y ajouter celles de la colonie, la société dite d’origine.[10]
Une tête à claques.[11]
  
BOUAZZA



[1] Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
[2] En se surpassant, il peut lui arriver de mettre du poisson congelé au four avec des légumes surgelés, juste pour faire entendre à celui dont elle a fait son époux, qu’il n’a pas intérêt à croire qu’elle est sa ʺbonnicheʺ.
[3] Comme d’autres ʺfemmes libéréesʺ, elle s’est dénichée quelqu’un qu’elle peut manipuler à sa guide, et en a fait un époux qui, con-vaincu je ne sais par quoi, se fait tout dicter.
[4] Elle n’aime pas non plus s’occuper du foyer, soutient que la situation de mère est handicapante, et ne supporte pas que le mâle ne puisse pas être engrossé.
[5] Terme mis sur le marché en France pour désigner, le plus souvent, des femelles ʺarabesʺ dites ʺlibéréesʺ (beurettes au pluriel, beurs pour les mâles, dont j’ai parlé plus d’une fois).
Le mérite de cette "trouvaille" revient à la gauche, aux socialistes du temps de leur tonton François Mitterrand et de l’équipe de propagande sioniste dite "touche pas à mon pote" (S.O.S. racisme).
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate), toutes les armes sont mobilisées depuis des lustres, et les mots sont une arme de destruction massive.
Les vocables beurs et beurettes, supposés vouloir dire arabes en verlan, visent en fait à détruire dans la métropole″, la mémoire des personnes issues du processus migratoire, originaires de la colonie dite arabo-musulmane, à entretenir la confusion, et à répandre l’imposture.
[6] Contraction des mots "colonie" et "métropole", qui dans le cas de la France par exemple, rappelle, encore et encore, la continuation des interventions, en Afrique et ailleurs, pour maintenir la domination et entretenir des régimes mis en place par le système colonialo-impérialo-sioniste.
[7] Qui reste pour la France colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de matières premières et de main d’œuvre, un marché pour tout écouler, un point stratégique pour les militaires, un terrain d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres "loisirs touristiques" de ce genre, un dépotoir, une décharge d’immondices dans tous les domaines.
Les employés mis à la "tête" des "États" des colonies exécutent les ordres de leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[8] Elle a fait des études, a une vie active, et personne ne doit l’ignorer.
[9] Contraction des mots intégrée et assimilée.
L’intégmilation étant la contraction d’intégration et d’assimilation.
[10] ʺLes indépendancesʺ des colonies sont tout simplement un statut octroyé par les métropole, le système colonialo-impérialo-sioniste, statut qui s’est traduit par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" (dont certains ne sont pas issus des colonies, mais sont au service des métropoles), sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.

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