Cuisiner,
ce n’est pas seulement préparer des mets.
C’est
observer, réfléchir, se remémorer, cultiver des sensations, transmettre,
partager, offrir, témoigner sa reconnaissance au Seigneur des univers.[1]
Un
contact avec des êtres, des sons, des images, des couleurs, des parfums, des
goûts, et autres.
Un
parcours à travers le temps et l’espace.
Les
personnes qui savent cuisiner, mettent les saveurs de l’amour dans chaque plat.
Sans
elles, les « recettes de cuisine » ne valent rien.
Beaucoup
de personnes cependant s’en foutent.
Elle
en fait partie.
Fière
de ne pas savoir cuisiner.
Comme
presque tous les hommes, souligne-t-elle.
Lorsqu’elle
consent à cuisiner, ce qui se traduit souvent chez elle par l’utilisation du
micro onde pour réchauffer un plat préparé,[2] rapporté
par l’époux[3]
chargé de faire les courses, elle ne peut pas s’empêcher de dire sans cesse que
« faire à bouffer » c’est « chiant », et qu’elle en fait
volontiers cadeau aux personnes « qui ont du plaisir à se faire chier ».[4]
C’est
une « beurette ».[5]
Elle
est née en métropole, et fait tout « pour
être à la page » !
Elle
est originaire d’Afrique du Nord, issue du processus migratoire né du
colonialisme.
C’est un produit de la « colopole ».[6]
Du viol de la colonie[7] par
la métropole.
Elle
a « réussi » et s’est « libérée » ![8]
Et
en femelle « intégmilée »,[9] elle est
fière d’adopter des travers de la métropole, la société dite
« d’accueil », de les accentuer, et d’y ajouter celles de la colonie,
la société dite d’origine.[10]
Une
tête à claques.[11]
BOUAZZA
[1]
Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
[2] En se surpassant, il peut lui arriver de mettre du
poisson congelé au four avec des légumes surgelés, juste pour faire entendre à
celui dont elle a fait son époux, qu’il n’a pas intérêt à croire qu’elle est sa
ʺbonnicheʺ.
[3] Comme
d’autres ʺfemmes libéréesʺ, elle s’est dénichée quelqu’un qu’elle peut
manipuler à sa guide, et en a fait un époux qui, con-vaincu je ne sais par
quoi, se fait tout dicter.
[4] Elle
n’aime pas non plus s’occuper du foyer, soutient que la situation de mère est
handicapante, et ne supporte pas que le mâle ne puisse pas être engrossé.
[5] Terme
mis sur le marché en France pour désigner, le plus souvent, des femelles
ʺarabesʺ dites ʺlibéréesʺ (beurettes au pluriel, beurs pour les mâles, dont
j’ai parlé plus d’une fois).
Le
mérite de cette "trouvaille" revient à la gauche, aux socialistes
du temps de leur tonton François Mitterrand et de l’équipe de propagande
sioniste dite "touche pas à mon pote" (S.O.S. racisme).
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes
(almouminoune wa almouminaate), toutes les armes sont mobilisées depuis des
lustres, et les mots sont une arme de destruction massive.
Les vocables ″beurs″ et ″beurettes″, supposés vouloir dire ″arabes″ en verlan, visent en fait à détruire dans ″la métropole″, la mémoire
des personnes issues du processus migratoire, originaires de la colonie dite
arabo-musulmane, à entretenir la confusion, et à répandre l’imposture.
[6] Contraction des mots "colonie" et
"métropole", qui dans le cas de la France par exemple, rappelle,
encore et encore, la continuation des interventions, en Afrique et ailleurs,
pour maintenir la domination et entretenir des régimes mis en place par le
système colonialo-impérialo-sioniste.
[7] Qui
reste pour la France colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de matières
premières et de main d’œuvre, un marché
pour tout écouler, un point stratégique pour les militaires, un terrain
d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres "loisirs touristiques" de ce genre, un dépotoir, une
décharge d’immondices dans tous les domaines.
Les
employés mis à la "tête" des "États" des colonies exécutent les ordres de
leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et
souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à
la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux
mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux
tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux
emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries,
aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la
décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[8]
Elle a fait des études, a une vie active, et personne ne doit l’ignorer.
L’intégmilation étant la contraction d’intégration et
d’assimilation.
[10] ʺLes
indépendancesʺ des colonies sont tout simplement un statut octroyé par les
métropole, le système colonialo-impérialo-sioniste, statut qui s’est traduit par
la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou
moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des
métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" (dont certains ne
sont pas issus des colonies, mais sont au service des métropoles), sont fondés
sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption,
l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression,
l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de
l’être humain.
[11] Je ne
fais que répéter ce dont j’ai déjà parler.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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