Mes trois petits-fils ont respectivement un peu plus
de quatre ans pour l’aîné et le second, et deux ans dans quelques semaines, ine
chaa-e Allaah,[1]
pour le troisième.
Pour les deux premiers, je suis « Bagui ».
C’est le deuxième petit-fils qui m’a prénommé ainsi.
Le plus âgé a suivi.
Pour eux, cela veut dire grand-père.
Mes
petits enfants renforcent en moi le parfum de l’aube de la vie, et parfois, par
le simple fait de me regarder, ils savent me redire le cycle fabuleux, la voie
du destin de chaque être et donc de l’enfant, qui n’appartient ni au père, ni à
la mère, et qui doit accomplir ce pourquoi il est ici-bas, en attendant de
rejoindre l’au-delà.
Je
reprends ce dont j’ai déjà parlé.
Pour
l’instant, mon troisième petit-fils qui commence à parler, ne dit pas « Bagui »,
mais « Agui ».
Je suis
reconnaissant à Allaah qui a fait de moi un grand-père[2] heureux
d’entendre son petit-fils l’appeler Agui, et le rejoindre sur le canapé pour
une bagarre dont il raffole, comme les deux autres.
Qu’Allaah
nous couvre de Son Amour et déverse sur nous Son infinie miséricorde.
BOUAZZA
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire