lundi 16 mai 2016

AGUI


Mes trois petits-fils ont respectivement un peu plus de quatre ans pour l’aîné et le second, et deux ans dans quelques semaines, ine chaa-e Allaah,[1] pour le troisième.
Pour les deux premiers, je suis « Bagui ».
C’est le deuxième petit-fils qui m’a prénommé ainsi.
Le plus âgé a suivi.
Pour eux, cela veut dire grand-père.
Mes petits enfants renforcent en moi le parfum de l’aube de la vie, et parfois, par le simple fait de me regarder, ils savent me redire le cycle fabuleux, la voie du destin de chaque être et donc de l’enfant, qui n’appartient ni au père, ni à la mère, et qui doit accomplir ce pourquoi il est ici-bas, en attendant de rejoindre l’au-delà.
Je reprends ce dont j’ai déjà parlé.
Pour l’instant, mon troisième petit-fils qui commence à parler, ne dit pas « Bagui », mais « Agui ».
Je suis reconnaissant à Allaah qui a fait de moi un grand-père[2] heureux d’entendre son petit-fils l’appeler Agui, et le rejoindre sur le canapé pour une bagarre dont il raffole, comme les deux autres.
Qu’Allaah nous couvre de Son Amour et déverse sur nous Son infinie miséricorde.

BOUAZZA



[1] Si Allaah veut.
[2] Les bienfaits d’Allaah sont innombrables, et il nous est impossible de les compter.
Si nous sommes reconnaissants, Allaah nous en donne encore plus : alhamdo lillaah (la louange est à Allaah).
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

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