Dans
les aires de turpitudes, il n’y a pas que le sexe : il y a aussi le cul.
En
France, « les femmes libérée » et leurs équivalents au masculin, font
de la baise l’un des principes fondamentaux de la « parité » !
Les
« accusations » d’agressions, de harcèlements sexuels pimentent la
« démocratie », et rappellent qu’il y a « une justice » qui
blanchit les politicards désignés, lorsque ce n’est pas eux qui font condamner
les « victimes » pour « diffamation ».
Et
le spectacle se poursuit.
Lorsqu’il
s’agit de politicards d’un certain « calibre », dans les pays
« cifilizés »,[1] les
« zélés-cteurs »[2] et
les « zéléés-ctrices »[3] en
redemandent.
Au
temps de Sarkozy et de ses histoires avec ses femmes, les hurlements de la
gauche contre la droite ne cessaient pas.
Ils
voulaient « la Ré-pu-blique exemplaire ».
Qu’est-ce
qu’il ne faut pas entendre !
Aujourd’hui,
les histoires de François Hollande[4] avec
ses femmes ne regardent que lui, dit la gauche, et toute
« révélation » est une « atteinte à la vie privée » et
donnera lieu à des poursuites judiciaires et patati et patata.
Cela
excite encore plus les « zélés-cteurs » et les
« zéléés-ctrices » et les fait même jouir.
De
manière générale, les « révélations » ne manquent pas quant aux
« déboires conjugaux » de chefs d’État et de Gouvernement qui
s’adonnent chez eux, dans des palaces ou ailleurs à des orgies, sur les
frasques de ministres putes et « sauteurs », sur d’autres qui
s’envoient en l’air dans des bureaux, des ascenseurs et des chiottes, sur des
députés, des sénateurs et autres « élus » qui copulent à qui mieux
mieux dans des véhicules de « service » et des recoins de bâtiments
« publics », et fricotent dans de multiples endroits d’institutions
diverses, qui aménagent mille et une rencontres pour se livrer à des enculeries
et autres explorations anatomiques, sur des membres racoleurs de partis
politiques, toute tendance con-fondue, qui usent de leur corps pour recruter,
sur ceux et celles qui font l’éloge de la « promotion canapé »,[5] et
qui défendent la fornication, l’homosexualité, le lesbianisme, l’adultère et
autres.
Cependant
dit l’amoral[6] de gauche, il ne faut pas
hésiter à condamner les « zabus »,[7] sans
toutefois offrir aux « zénnemis islamistes »,[8] des
« zarmes »[9] pour
niquer la
« civilisation » !
C’est
dire que « le tintamarre » parisien qui tente cette semaine, avec ses
sonorités cul-turelles, d’enclencher une danse du ventre au sujet des
agissements d’un Denis Baupin, dit député écologiste de gauche, désigné comme
agresseur sexuel, font partie du « folklore » de la débauche.[10]
BOUAZZA
[1] ʺCivilisés.ʺ
[2] Les électeurs.
[3] Les électrices.
[4] Le
figurant socialiste, révolutionnaire de gauche,
installé sur ″le trône″ du Palais de l’Élysée en mai 2012,selon le
calendrier dit grégorien, en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire
de droite, Nicolas Sarkozy.
[6] ʺLa moraleʺ.
[7] Les abus.
[8] Aux ennemis.
[9] Des armes.
[10] Je ne fais que reprendre
beaucoup de ce dont j’ai déjà parlé.
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