mardi 10 mai 2016

« LE FOLKLORE » DE LA DÉBAUCHE

Dans les aires de turpitudes, il n’y a pas que le sexe : il y a aussi le cul.
En France, « les femmes libérée » et leurs équivalents au masculin, font de la baise l’un des principes fondamentaux de la « parité » !
Les « accusations » d’agressions, de harcèlements sexuels pimentent la « démocratie », et rappellent qu’il y a « une justice » qui blanchit les politicards désignés, lorsque ce n’est pas eux qui font condamner les « victimes » pour « diffamation ».
Et le spectacle se poursuit.
Lorsqu’il s’agit de politicards d’un certain « calibre », dans les pays « cifilizés »,[1] les « zélés-cteurs »[2] et les « zéléés-ctrices »[3] en redemandent.
Au temps de Sarkozy et de ses histoires avec ses femmes, les hurlements de la gauche contre la droite ne cessaient pas.
Ils voulaient « la Ré-pu-blique exemplaire ».
Qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre !
Aujourd’hui, les histoires de François Hollande[4] avec ses femmes ne regardent que lui, dit la gauche, et toute « révélation » est une « atteinte à la vie privée » et donnera lieu à des poursuites judiciaires et patati et patata.
Cela excite encore plus les « zélés-cteurs » et les « zéléés-ctrices » et les fait même jouir.
De manière générale, les « révélations » ne manquent pas quant aux « déboires conjugaux » de chefs d’État et de Gouvernement qui s’adonnent chez eux, dans des palaces ou ailleurs à des orgies, sur les frasques de ministres putes et « sauteurs », sur d’autres qui s’envoient en l’air dans des bureaux, des ascenseurs et des chiottes, sur des députés, des sénateurs et autres « élus » qui copulent à qui mieux mieux dans des véhicules de « service » et des recoins de bâtiments « publics », et fricotent dans de multiples endroits d’institutions diverses, qui aménagent mille et une rencontres pour se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, sur des membres racoleurs de partis politiques, toute tendance con-fondue, qui usent de leur corps pour recruter, sur ceux et celles qui font l’éloge de la « promotion canapé »,[5] et qui défendent la fornication, l’homosexualité, le lesbianisme, l’adultère et autres.
Cependant dit l’amoral[6] de gauche, il ne faut pas hésiter à condamner les « zabus »,[7] sans toutefois offrir aux « zénnemis islamistes »,[8] des « zarmes »[9] pour niquer la  « civilisation » !
C’est dire que « le tintamarre » parisien qui tente cette semaine, avec ses sonorités cul-turelles, d’enclencher une danse du ventre au sujet des agissements d’un Denis Baupin, dit député écologiste de gauche, désigné comme agresseur sexuel, font partie du « folklore » de la débauche.[10]
  

BOUAZZA




[1] ʺCivilisés.ʺ
[2] Les électeurs.
[3] Les électrices.
[4] Le figurant socialiste, révolutionnaire de gauche,  installé sur ″le trône″ du Palais de l’Élysée en mai 2012,selon le calendrier dit grégorien, en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.
[5] Comment utiliser son vagin et autres orifices et organes pour réussir professionnellement.
[6] ʺLa moraleʺ.
[7] Les abus.
[8] Aux ennemis.
[9] Des armes.
[10] Je ne fais que reprendre beaucoup de ce dont  j’ai déjà parlé.

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