Elle s’obstine avec un terrible entêtement à pousser
l’autre à la crise de nerfs, à la perdition, tout en jouant à celle qui est
attentionnée.
Elle ne cesse d’inverser les rôles et de se lancer des
fleurs en s’attribuant les mérites pour lesquels elle n’y est pour rien.
Elle fait de l’autre sa proie et veut lui imposer, par
n’importe quel moyen, ce dont elle a envie. On peut faire ressortir son
égoïsme, son égocentrisme, son nombrilisme, et autres, elle n’en tire aucun
enseignement
Tout ce qui est incompatible avec elle est nul et non
avenu.
Il faut lui céder tout le temps, pour ne pas se taper la
tête contre le mur ou pire encore …
Mais plus on cède en espérant qu’elle va finir par
« comprendre », moins elle comprend.
Il n’est pas possible de discuter réellement avec elle.
Lorsqu’elle fait semblant de s’intéresser à un discours,
c’est juste pour répéter des inepties afin de se faire remarquer.
Se faire remarquer est fondamental pour elle.
Dans ce qui est dit ou fait ce qui l’intéresse, c’est ce
qui la flatte.
Et pour cela, elle est capable de faire n’importe quoi.
Perverse, vicieuse, malsaine, nuisible, dangereuse, fourbe,
mesquine, pernicieuse, débauchée, adepte des ragots en tous genres, fouille-merde,
magouilleuse, têtue, butée, bornée, tarée, menteuse, manipulatrice, démagogue,
haineuse, arrogante, irrespectueuse, irréfléchie, immature, irresponsable, et
pire encore …
Rien de ce que l’on peut faire pour elle n’a d’importance à
ses yeux.
Tout lui est dû.
En elle, si on ne veut voir que les agissements d’une
personne gâtée, capricieuse, narcissique à outrance, prête à n’importe quoi
pour attirer l’attention … on se trompe sur toute la ligne …
Lorsqu’on finit par la connaître et qu’on garde une capacité
d’analyse, on voit ses frustrations, ses névroses, son hystérie.
Cette personne est une HYSTERIQUE.
Elle est dans le chaos.
Peut-elles
changer ?
Se
réformer ?
S’améliorer ?
Devenir
meilleure ?
Les
enseignements de l’islaam,[1] le
permettent et aident une personne à
changer en mieux
lorsque cette personne le veut, manifeste le
désir de s’éloigner de ce qui est blâmable,[2]
et de suivre ce qui est convenable.[3]
BOUAZZA
[1] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du
Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane
est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah
‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna
a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix.
Lorsqu’on
parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été
rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur
lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane
n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna
procède d’Alqoraane.
L’Islaam
se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité)
qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la
Prière (assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur (azzakaate), le
jeûne du mois de ramadaane (assawme) et le pèlerinage (alhajj) à la Maison
Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise Alka’ba, la Kaaba à
Makka, à la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait
(alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses
Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier (la Résurrection) et à la Prédestination
qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le
voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu
de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe
rapporté dans ″Sahiih Moslime″ (Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les
croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les
endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs
d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens
de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les
invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il
n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son
Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon
d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un
égarement évidentʺ.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et
aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des
lustres, l’État (ou une institution semblable, appelée autrement) des
croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les
ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques,
les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations
arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations
répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les
propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes,
les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les
entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour
entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[2] Monekar (le ″r″ roulé).
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
[3] Texte mis
sur le net le 23 octobre 2004 selon le calendrier dit grégorien, à partir
d’écrits antérieurs, repris par la suite sous divers titres, et avec les
explications sur l’Islaam en moins.
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