mardi 29 septembre 2020

ACHCHIRK

Achchirk[1] consiste à associer des dieux, des êtres, ou autres à Allaah, et de les Adorer alors que l’Adoration[2] n’est due qu’à Allaah, l’Unique, le Seigneur des univers.[3]
L’unicité[4] entraîne l’Adoration d’Allaah, l’Unique, sans jamais Lui associer quoi que ce soit.
Les attributs divins que s’arrogent des individus, ou qui leur sont reconnus, se traduisent par  L’associationnisme.
L’associationnisme porte atteinte à l’unicité, au fondement du Message d’Allaah.[5]
« Allaah ne pardonne pas qu’on Lui associe quoi que ce soit et pardonne le reste à qui Il veut ».[6]
« Quiconque associe quoi que ce soit à Allaah, c’est comme s’il tombait du ciel et que les oiseaux le happaient ou que le vent le précipitait dans un abîme sans fond ».[7] 
 
BOU’AZZA
[1] Le ″r″ roulé, ’associationnisme.
[2] Al’ibaada.
[3] Rabb al’aalamiine (le ″r″ roulé).
[4] Attawhiid.
[5] L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
[6] Alqoraane (Le Coran), sourate 4 (chapitre 4), Anniçaa-e, Les Femmes, aayate 48 (verset 48).
[7] Alqoraane (Le Coran), sourate 22 (chapitre 22), Alhajj, Le Pèlerinage, aayate 31 (verset 31).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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dimanche 27 septembre 2020

L’INFIDÉLITÉ



L’infidélité est une trahison. 
La première trahison c’est d’abord la trahison de l’engagement envers Allaah. 
« Et lorsque ton Seigneur tira des reins des fils d’Aadame[1] leur progéniture et les fit témoigner contre eux-mêmes : ʺNe suis-Je pas votre Seigneur ?ʺ Ils dirent : ʺSi, nous en témoignonsʺ ».[2]
C’est dire que notre histoire commence avant notre apparition ici-bas. 
Ce commencement est marqué par l’engagement de notre fidélité à Allaah. 
L’engagement à ne pas tomber dans l’infidélité. 
Dans sa traduction du Qoraane,[3] Kachriid[4] note qu’il s’agit du fameux pacte pris par Allaah sur la race humaine dès sa création. C’est un acte de foi et d’allégeance selon lequel les enfants d’Aadame sur lui la bénédiction et la paix, reconnaissent et attestent que Allaah est leur Seigneur-et-Maître en exclusivité et sans restriction aucune. 
Donc chaque être humain est lié à sa naissance par ce pacte et s’il renie son Seigneur-et-Maître ou Lui donne quelque associé, il a manqué à son engagement et commis la plus grosse injustice.[5]
La fidélité à la croyance à Allaah est un fabuleux don du Créateur, qui fait que le plus important est en chaque personne qui bénéficie d’une disposition à la foi.[6]
L’être humain[7] naît croyant.[8]
C’est « alfitra »,[9] la nature conformément à laquelle l’être est créé avec la croyance à Allaah. 
Toutefois, cela n’empêche l’infidélité. 
En effet, des personnes rompent leur engagement, le nient, le trahissent. 
Il faut souligner cependant que des personnes restent fidèles. 
Et certains, selon des modalités différentes, des cheminements divers et des voies multiples retrouvent la fidélité.[10]
Qu’Allaah pardonne notre infidélité, nous éclaire, nous couvre de Sa miséricorde, nous soutienne pour continuer la marche dans l’attachement à la fidélité. 
Qu’Il déverse sur nous Son infinie générosité, nous aide à faire de notre mieux pour l’Adorer, comme Il le demande. 
Qu’Il nous guide sur le droit chemin, le chemin de ceux qu’Il a comblés de bienfaits, non de ceux qui ont encouru Sa colère, ni des égarés.[11]
Qu’Il fasse que nous ne soyons pas parmi les infidèles. 
Qu’Il fasse que nous soyons parmi ceux et celles qui suivent Sa Voie, afin d’être cette âme sereine dont Il dit : 
« Ô âme sereine. Retourne à ton Seigneur satisfaite et donnant satisfaction.[12] Entre parmi Mes serviteurs. Et entre dans Mon Paradis ».[13]


BOU’AZZA 


[1] Adam sur lui la bénédiction et la paix. 
[2] Alqoraane (Le Coran), sourate 7 (chapitre 7), sourate Ala’raaf (le ʺrʺ roulé), L’Enceinte du Paradis, Les Limbes, aayate 172 (verset 172). 
[3] le ʺrʺ roulé, Coran. 
[4] le ʺrʺ roulé. 
[5] Salah Eddine Kechrid (Salaah Addine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984). 
Note en bas de la page 221. 
[6] Aliimaane. 
[7] C’est de lui qu’il s’agit ici. 
[8] Moumine. 
[9] Le ʺrʺ roulé. 
[10] Et lorsqu’une personne après des errements la fidélité, c’est le "retour du cœur dans sa patrie" comme l’a écrit Léopold Weiss, qui a choisi de s’appeler Muhammad Asad (Mohammad Açad), en retrouvant la fidélité à Allaah. 
[11] Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre 1), Alfaatiha, aayate 6 et aayate 7 (verset 6 et verset 7), récitée à chaque ʺrak’aʺ (cycle d’actes), de chaque prière. 
[12] Raadiya mardiya (les ″r″ roulés). 
[13] Alqoraane (Le Coran), sourate 89 (chapitre 89), Alfajr (le ″r″ roulé), L’Aube, aayate 27 à aayate 30 (verset 27 au verset 30). 
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé. 
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samedi 26 septembre 2020

QUAND C’EST TERMINÉ

Les gens dorment et lorsqu’ils meurent ils se réveillent.[1]
Dans la vie ici-bas,[2] nous avons un temps imparti par Allaah.
Quand c’est terminé, ça commence.
Quand la vie ici-bas est terminée, il y a la vie dernière.[3]
Nous cheminons de l’impermanence à la permanence.
Que faisons-nous pour cela ?
Qu’avons nous fait du Message d’Allaah ?
De l’Islaam ?[4]
Que préparons-nous pour la vie dernière ?
La vie dernière c’est l’Enfer ou le Paradis.
Peu se soucient du Message d’Allaah pour la vie ici-bas et pour la vie dernière.
Les gens dorment et lorsqu’ils meurent ils se réveillent.
Qu’Allaah nous éloigne des pratiques blâmables, pardonne nos fautes, nous aide à résister à achachaytaane[5] et à ceux et à celles qui suivent sa voie, la mauvaise voie, la voie de l’Enfer.
Qu’Il nous éclaire et nous soutienne pour continuer la marche, afin que nous soyons parmi les heureux ici-bas et dans la vie dernière.
Qu’Il nous couvre de Son Amour et déverse sur nous Son infinie miséricorde.
Qu’Il nous aide à faire de notre mieux pour l’Aimer comme Il doit être Aimé, pour l’Adorer comme Il doit être Adoré.
Qu’Il nous guide sur le droit chemin, le chemin de ceux qu’Il a comblés de bienfaits, non de eux qui ont encouru Sa colère, ni des égarés.[6]
Qu’Il fasse que nous soyons parmi ceux et celles qui suivent Sa Voie, la bonne Voie pour mériter d’être cette âme sereine dont Il dit : 
« Ô âme sereine. Retourne à ton Seigneur satisfaite et donnant satisfaction.[7] Entre parmi Mes serviteurs. Et entre dans Mon Paradis ».[8] 
 
BOU’AZZA
[1] Hadiite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
[2] Addonyaa.
[3] Alaakhira (le ʺrʺ roulé), l’au-delà..
[4] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
[5] À satan.
[6] Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre 1), Alfaatiha, aayate 6 et aayate 7 (verset 6 et verset 7), récitée à chaque ʺrak’aʺ (cycle d’actes), de chaque prière.
[7] Raadiya mardiya (les r roulés).
[8] Alqoraane (Le Coran), sourate 89 (chapitre 89), Alfajr (le r roulé), L’Aube, aayate 27 à aayate 30 (verset 27 au verset 30).
Je ne fais que reprendre ce dont je ne cesse de parler.
Voir :
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vendredi 18 septembre 2020

MOI JE TE DIS JE T’AIME

Ton foulard dit que tu fais de ton mieux pour Adorer[1] Allaah, comme Allaah le demande.
Tu couvres tes cheveux, et cela déchaîne la haine hystérique, les innombrables agressions des adorateurs du faux, des adeptes de l’imposture, des ennemis d’Allaah.
Lorsque je te vois, je salue intérieurement ta force, ta détermination, ta confiance, ta sérénité, ta résistance, et j’invoque Allaah pour qu’Il te couvre de Son Amour, te protège et te récompense.
Ton coeur comme le mien battent à l’Unicité.[2]
Moi je te dis je t’aime.[3] 

BOU’AZZA

ILS NE VOIENT PAS

Les croyants et les croyantes[1] font de leur mieux pour suivre le Message d’Allaah.
Les ignorants, ceux et celles qui ignorent ce Message, se croient bien guidés en usant de tous les moyens dont ils peuvent disposer pour éradiquer l’Islaam.[2]
Ils suivent le faux, alimentent et répandent l’imposture.
Les croyants et les croyantes, les serviteurs d’Allaah, n’agressent personne, se défendent lorsqu’ils sont agressés, et placent leur confiance en Allaah.
Ils n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, et autres.
Ils ont le pouvoir de résister.
Le pouvoir de poursuivre la résistance, avec le soutien d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Les ennemis du Message d’Allaah, gonflés d’orgueil et d’arrogance, ne cessent, depuis l’aube de la vie, de faire appel à toutes les supercheries selon l’étable de leur loi,[3] et tentent vainement les recours à leur Histoire, avec hache majuscule, pour décapiter les croyants et les croyantes.
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les bombardements, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, n’élimineront jamais cette résistance que les ennemis d’Allaah s’acharnent à vouloir éradiquer.
« C’est Nous[4] qui avons fait descendre le rappel[5] et c’est Nous qui en assurons la sauvegarde[6] ».[7]
« Et l’avenir est à la piété ».[8]
Les ennemis du Message d’Allaah ne voient pas les mots que les croyants et les croyantes voient.
Les mots en mouvement.
Les mots qui font voler en éclats les illusions.
Les mots qui gomment les chimères.
Les mots qui regagnent le cœur, puis se répandent dans tout l’être.
Les mots qui permettent de saisir le Sens.[9]
Les mots qui renforcent le Lien.[10]
Ce ne sont pas leurs yeux qui sont atteints de cécité, mais leurs coeurs.[11] 

BOU’AZZA



[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
[3] Les tables de leur loi.
[4] Allaah.
[5] Adhdhikr, addikr (le r roulé).
Alqoraane (Le Coran).
[6] Qui en assumons la conservation, qui en sommes Gardien.
Les Prophètes et les Messagers sur eux la bénédiction et la paix, ont tous été chargés de transmettre ce qui leur a été révélé par Allaah.
La multiplicité des révélations se rapporte aux diverses étapes du Message et met en relief son essence qui est l’unicité et l’Adoration d’Allaah l’Unique.
L’Islaam par conséquent, n’est pas né à l’époque où Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a commencé la mission qui lui a été confiée par Allaah.
Alqoraane est la synthèse, la continuation, le parachèvement du Message d’Allaah.
Dans sa traduction du Qoraane, Kachriid (les r roulés) écrit que les anciennes Écritures étaient des codes transitoires qui devaient tous être abrogés par les révélations suivantes.
Alqoraane étant la forme définitive et parfaite du Livre, Allaah a pris en charge de le sauvegarder jusqu’à la fin du monde ; tandis que tous les autres Livres ont été plus ou moins défigurés, Alqoraane est resté intact, tel qu’il a été révélé à Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984) Note en bas de la page 338.
[7] Alqoraane (Le Coran), sourate 15 (chapitre 15), Alhijr (le r roulé), aayate 9 (verset 9).
[8] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
[9] Le Sens du Message d’Allaah.
[10] Le Lien avec Allaah.
[11] Voir Alqoraane (Le Coran), sourate 22 (chapitre 22), Alhajj, Le Pèlerinage, aayate 46 (verset 46).
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jeudi 17 septembre 2020

FAUT-IL LAISSER TOMBER ?

Lors de notre parcours dans la vie ici-bas,[1] nous avons des relations avec de multiples personnes dans d’innombrables domaines, durant un temps variable, dans un espace qui change.
La nature de ces relations diffère selon les personnes.
Avec certaines, ces relations sont difficiles, nécessitent des efforts, de l’endurance,[2] pour les maintenir, les continuer.
Que faire, par exemple, avec une personne qui ramène tout à elle, qui cherche à s’afficher, à se montrer, à se faire voir, à attirer l’attention, à être flattée ?
Qui se donne en spectacle, s’agite dans tous les sens, fait tout et n’importe quoi pour être le centre d’intérêt, n’écoute que ses pulsions, ses impulsions ?
Qu’entreprendre avec une personne qui ne fait qu’à sa tête ?
Qui s’obstine, avec un terrible entêtement à imposer ses caprices ?
Qui ne cesse d’inverser les rôles pour « se mettre en valeur » ?
Qui est mauvaise, perverse, vicieuse, malsaine, dissimulatrice, indigne de confiance, tricheuse, trompeuse, dangereuse, fourbe, butée, bornée, tarée, irréfléchie, immature ?
Qui ne se soucie pas des conséquences de ses mauvais comportements ?
Qui s’en fout de ce qui ne sert pas son nombrilisme ?
Qui s’irrite de la moindre critique, du moindre reproche, de la moindre remarque, qui provoquent chez elle des réactions délirantes, mettent en relief ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, ses inconséquences, ses incohérences, ses dévoiements, ses errements, ses divagations, ses dysfonctionnements, ses névroses, ses confusions, ses déséquilibres, et autres ?
Qui s’adonne au pire qu’elle trouve « normal » ?
Qui est capable de tout souiller, de se sentir « valorisée » en alimentant, et en entretenant le faux, la confusion, le désordre ?
Qui interprète tout selon ce qui l’arrange, ce qui lui convient ?
Qui parle à tort et à travers, adepte du bavardage, du verbiage ?
Parfois, pour ne pas dire souvent, en dépit d’immenses efforts pour faire des relations que nous avons  quelque chose de constructif, le résultat souhaité n’est pas au rendez-vous.
Il nous arrive alors de nous interroger :
Faut-il laisser tomber les relation avec une personne de ce genre ?
Il y a des cas où il peut être souhaitable que d’autres questions soient posées :
La personne peut-elle se réformer ?
Peut-elle s’améliorer ?
Peut-elle devenir meilleure ?
L’Islaam,[3] grâce à la miséricorde[4] d’Allaah, répond par l’affirmative.
Il aide une personne à changer lorsque cette personne le veut, manifeste le désir de s’éloigner de ce qui est condamnable,[5] de suivre ce qui est convenable.[6] 
 

BOU’AZZA



[1] Addonyaa.
[2] Assabr (le ʺrʺ roulé).
[3] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
[4] Rahma (le ʺrʺ roulé).
[5] Monekar (le ″r″ roulé).
[6] Ma’rouf (le ″r″ roulé).
[6] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parler.
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mercredi 16 septembre 2020

LES HYSTÉRIQUES SONT CONNUS

Les croyants et Les croyantes[1] sont « les serviteurs du Clément[2] qui marchent sur terre avec humilité[3] et lorsque les ignorants[4] leur adressent la parole, disent : ″Paix[5] ».[6]
Ils n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, et autres.
Ils ont le pouvoir de résister.
De résister aux ennemis d’Allaah où qu’ils soient.
Ils n’ignorent rien de l’hystérie contre l’Islaam[7] en France et ailleurs.
Les hystériques sont connus.
La haine alimentée et entretenue par les imposteurs depuis l’aube de la vie,  ne détourne pas les croyants et les croyantes de leur marche qui va se poursuivre, avec le soutien d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas, n’en déplaise aux hystériques, et autres.[8] 

BOU’AZZA



[1] Almoslimoune wa almoslimaate.
[2] ‘Ibaade Arrahmaane (les r roulés).
[3] Avec douceur.
[4] Qui ignorent le Message d’Allaah.
Dans sa traduction du Qoraane, kachriid (le ʺrʺ roulé) note que  le verbe jahala veut dire agir avec violence et injustice dans l’ignorance totale et voulue de toutes les limites de la justice et de la morale définies par l’Islam.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 477.
[5] Salaam.
[6] Alqoraane (le Coran), sourate 25 (chapitre 25), Alforqaane (le r roulé), Le Discernement, aayate 63 (verset 63).
[7] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.

mardi 15 septembre 2020

PARFOIS IL SUFFIT D’UN MOT


Parfois il suffit d’un mot.
Il flânait comme il aime le faire depuis toujours, quand subitement la couverture d’un livre a capté toute sa perception.
Il ne voyait plus rien de la brocante dans un parc fleuri au bord du fleuve.
Un seul mot de la couverture de ce livre et le voilà parti.
« Cèdre ».
Il est parmi des populations de montagnes dites du Moyen Atlas, au pays du soleil couchant, Almaghrib,[1] dit Maroc.
De l’autre côté de la Mer blanche intermédiaire, albahr[2] alabyad almotawassite, la Mer méditerranée.
Des hommes, des femmes, des enfants.
Tel cet arbre qui fait partie de leur vie, ils sont fermement enracinés dans le sol et s’élancent vers le ciel infini.
Il les retrouve pour chanter, avec eux et avec les cèdres, le chant inoublié, le chant de la louange.
Son songe prend d’autres aspects.
« Petit à petit, le nid fait son oiseau ».
L’institutrice s’arrachait régulièrement les cheveux, devenait, petit à petit, une « Cantatrice chauve » parce qu’il refusait de répéter après elle :
« Petit à petit, l’oiseau fait son nid ».
Il n’avait aucun respect pour l’ordre qui, dans la logique de l’institutrice, répond aux « canons de la loi » qui tonnent plus fort et plus longtemps que les canons tout court.
Canons et autres armes de destruction massive utilisés par l’Etat colonisateur, employeur de l’institutrice, pour « pacifier » le pays où l’enfant est né et imposer à certains « petits indigènes » l’histoire de « leurs ancêtres les gaulois ».
À bout de « patience », l’institutrice a fini par alerter les « autorités compétentes » afin que le nid de l’insoumission cesse d’être le lieu d’accueil de ce drôle d’oiseau.
Le nid a été détruit.
L’oiseau, lui, est toujours en vie.
« Ces populations doivent se mettre à l’heure de notre logique … nous devons imposer nos règles … notre discipline … notre grandeur … nous devons les pénétrer profondément … avant nous, elles n’avaient rien … maintenant, nous allons leur apprendre à acquérir le sens de notre hiérarchie … à comprendre l’immense intérêt de la séparation des pouvoirs et … de la distinction entre la vie privée et la vie publique … de la différence entre le profane et le sacré … nous allons les éduquer … leur montrer la richesse de l’éducatif et … de la démocratie … de la liberté … Il nous appartient d’éveiller les consciences … d’assurer la conscientisation de ces masses incultes et sauvages … pour les intégrer à notre civilisation … les assimiler … nous devons libérer ces populations de leurs servitudes qui s’opposent à notre modernisme … les colonies ne se font pas avec des pucelles ou des rosiers … ces populations ont besoin des maîtres que nous sommes … sans nous, elles ne peuvent pas penser … elles ne peuvent pas avancer … nous résister est un crime … il faut donc être sans pitié avec les criminels… nous sommes les missionnaires de la déclaration universelle des droits de l’Homme ».
Les arrières grands-parents maternels et paternels de l’enfant ont résisté.
Ils ont été tués par le colonialisme.[3]
Des massacres.
Des crimes.
Des carnages.
Des horreurs.
Des pillages.
Des tortures.
Des viols.
Des transgressions.
Des humiliations.
La mort semée.
La désagrégation planifiée.
Le désarroi répandu.
Les déséquilibres provoqués.
L’harmonie mutilée.
La décomposition alimentée.
La mémoire infectée.
Les grands-parents, maternels et paternels, dépossédés et chassés, se sont trouvés parqués dans des bidonvilles, prélude au processus migratoire, une transplantation plus dure, plus douloureuse.
C’est dans ce processus que les parents, qui font encore de leur mieux pour vivre et transmettre leur foi, l’ont introduit.
C’est la logique de l’oppression, du colonialisme et de l’impérialisme qui ont mis en place des régimes post-coloniaux et néo-coloniaux dits des « indépendances »,[4] régimes qui continuent les crimes les plus abjects, qui terrorisent des populations dominées, pillées, écrasées, maintenues dans la misère, les maladies, poussées dans les ténèbres.
Pour l’enfant, ce qui est référé à un système de valeurs, à un système des échanges, qui renvoie au respect, à l’ascendant, à la transmission a été chamboulé.
Ce qui est référé à la contrainte, à la sanction, à la possibilité d’exclure dans le cadre de la vie avec d’autres a été bouleversé.
L’équilibre est rompu.
Comment comprendre l’autorité ?
Comment percevoir les multiples articulations ?
Les enjeux ?
Comment tenir compte des spécificités ?
Comment cerner les décalages ?
Les ruptures ?
Les implications ?
Comment rassembler les éléments épars ?
Comment saisir le Sens qui fait Lien ?
Le mineur délinquant incarcéré va quitter la prison dite « Maison d’Arrêt ».
Le magistrat a décidé de ne pas renouveler le mandat de dépôt d’un mois.
Le greffe du tribunal vient de le confirmer à l’éducateur, chargé en détention du suivi de ce mineur délinquant incarcéré.
L’éducateur est allé le voir pour l’informer, lui expliquer que « selon la procédure », son jugement aura lieu plus tard.
Il voulait surtout le saluer avant son départ.
Lui souhaiter « bonne chance ».
Le magistrat a accepté qu’il retourne, après la prison, chez ses parents et qu’il ne soit pas éloigné de sa cité, au grand dam de certaines « âmes charitables », de « professionnels » de la « socialisation » en tous genres, qui ont demandé, qu’après la prison, le mineur soit éloigné de ses parents « qui ne sont pas qualifiés pour assumer leurs obligations » et de sa cité, « repaire de tous les vices », pour un « séjour de rupture » dans une structure faite pour « les ducs à tiffes »[5].
Ces « professionnels » trouvent que les « ruptures » manquent terriblement dans la trajectoire de ce mineur et veulent, pour lui éviter des « exclusions », qu’il soit séparé de ses parents « inaptes à s’occuper de son éducation » et arraché à sa cité « pourrie » afin de bâtir son « indépendance ».
Ce mineur délinquant incarcéré, dont les arrières grands-parents maternels et paternels ont été tués, ainsi que d’innombrables autres personnes, par le colonialisme français, n’ignore pas que les amalgames et les représentations convenues cultivent, depuis de longues périodes, le mépris à son égard dans plusieurs domaines et de différentes manières.
Il est en France.
Comment s’inscrire dans la dynamique qui permet de saisir le Sens qui fait Lien ? L’éducateur en détention a attendu longtemps derrière les barreaux de la fenêtre de la cellule qu’occupait le mineur délinquant, pour regarder celui-ci se diriger vers la sortie.
Le mineur chemine, un pas devant l’autre, de l’intérieur vers l’extérieur.
Du dedans vers le dehors.
Le pas de sa marche semble être l’écho du rythme qui, dans sa poitrine, est celui des battements, tels ceux du cœur de la mère qui lui viennent de l’aube de la vie.
Des mouettes et des corbeaux, en grand nombre, qui viennent se nourrir de ce que les détenus leur « transmettent » à travers les barreaux, regardent aussi ce mineur, puis partent dans un envol majestueux.
Ils rejoignent un drôle d’oiseau pendant que leur parvient la voix chaude d’un détenu qui rappelle :
« Les gens dorment, et lorsqu’ils meurent, ils se réveillent ».[6] 

BOU’AZZA


[1] Le ʺrʺ roulé.
[2] Le ʺrʺ roulé.
[3] Le colonialisme est un crime contre l’humanité.
[4] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[5] L’éducatif.
[6] Hadiite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plusieurs fois.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

lundi 14 septembre 2020

L’ASSASSINAT DE ‘ADNAANE AU MAROC

Au Maroc, comme dans les autres pays dits « musulmans », c’est le règne de la débauche.
Des débauchés, des dévoyés, des pervers, des pourris, et autres, s’adonnent au sexe sous toutes ses formes, en violation des règles les plus élémentaires, contribuant ainsi à conserver à ces contrées, leur place de bordel.
La pédophilie met tous les enfants en danger.
Le lundi 7 septembre 2020[1] à Tanger,[2] ‘adnaane Bouchouf,[3] un enfant de 11 ans a été enlevé par un pédophile qui l’a violé et assassiné.
Le criminel a été arrêté le samedi 12 septembre 2020, mais cela ne mettra pas fin au règne de la débauche.
Qu’Allaah déverse Sa miséricorde sur ‘adnaane, et l’accueille dans Son Paradis Suprême.[4]
Le Maroc est connu pour être un lieu de pédophilie, un lieu où la baise sans frontières est « chez elle ».
En 2013, un pédophile d’Espagne qui a commis ses crimes au Maroc a été « gracié » et autorisé à retourner en Espagne, au mépris habituel au Maroc, des règles les plus élémentaires des droits des victimes et des populations en général.
Rien de nouveau donc au pays où règne la pédophilie, la débauche, la turpitude, le viol de toutes les valeurs.
Comme d’autres « États » dits « musulmans », le régime est fondé sur la pourriture dans tous les domaines, à tous les niveaux.
Comme eux, il participe à ce que l’Islaam[5] rejette, dénonce, condamne et combat. 

BOU’AZZA



[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Ville au Nord du Maroc dont le colonialisme a fait le lieu de tout les vices, de toutes les turpitudes.
Aujourd’hui, comme partout au Maroc, c’est un lieu de pédophilie, de fornication, d’adultère, d’homosexualité, de lesbianisme, et autres pourritures.
[3] ‘adnane.
la première lettre du prénom ‘adnaane, c’est la lettre ‘ (‘iine) qui n’existe pas dans l’alphabet français, et non la lettre a qui n’est donc pas écrite ici en lettre majuscule.
[4] Alfirdaws ala’laa (le ʺrʺ roulé).
[5] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.