mercredi 2 septembre 2020

ELLE ENTRETIENT LA FLAMME


Son cul rayonne sur son lieu de travail[1] où une grande compétence lui est reconnue comme suceuse.
Elle s’investit pleinement  dans son activité.
Sur son lieu de travail on se roule des pelles, on se tripote, on se fait des fellations, on se lèche, on aménage des moments pour se livrer à de multiples explorations anatomiques, on baise dans des bureaux, dans des chiottes, dans des véhicules,[2] et n’importe où.
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des masturbateurs, des gigolos, et autres, alimentent et entretiennent cet « acquis civilisationnel ».
Parfois, pour ne pas dire presque toutes les fins de semaine, elle vit des partouzes d’enfer : alcool, joints, musique, danse, et ce qui va avec.[3]
S’afficher, se montrer, se faire voir, attirer l’attention, savourer des flatteries, se donner en spectacle, s’agiter dans tous les sens, faire tout et n’importe quoi pour être le centre d’intérêt, n’écouter que ses pulsions, suivre ses impulsions, ne faire qu’à sa tête.
Elle adore.
Ne s’en lasse pas.
Étale son euphorie d’être féministe de partout.
Toujours partante pour des échanges pénétrants, pour des ébats intergénérationnels, pour la baise sans frontières.
De l’alcool, des joints, elle est transportée par la musique, se lance dans la danse et, arrivé derrière elle, un fournisseur de bite[4] lui pose les mains sur les hanches, en reniflant le croupion offert.[5]
En chaleur, elle s’ouvre de partout, accueille les assauts du fournisseur de bite,[6] porté sur la sodomie.
Elle veut garder la bite dans son derrière insatiable, et aussi l’avoir dans son vagin boulimique, la sentir entre ses seins, la prendre dans ses mains expertes pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace de suceuse réputée auprès de beaucoup, parmi lesquels des époux et des pères qu’elle a sucés, y compris au domicile conjugal des uns, des autres, et à son domicile bien sûr.
Elle aime sucer des bites,[7] lécher des vagins, et autres, se faire lécher devant et derrière.
Au cours des partouzes, elle se délecte en léchant le vagin fraîchement épilé d’une jeune épouse et mère, pendant qu’elle se fait enculer par l’époux de celle-ci, à qui elle fait souvent des fellations.
Elle se régale  des senteurs de sexe, son parfum favori.
Elle entretient la flamme. [8] 

BOU’AZZA



[1] Et ailleurs.
[2] Sa voiture, comme beaucoup d’autres véhicules, a la réputation d’être un baisodrome.
[3] Elle s’exhibe, se fait tirer ʺrecto-versoʺ, devant et derrière, parce que c’est ʺvalorisantʺ, joue à ʺl’adolescenteʺ gâtée, capricieuse, allumeuse.
Elle savoure d’être pute.
Ne se soucie pas des conséquences de ses comportements, s’en fout de tout ce qui n’est pas elle.
Tout ce qui est incompatible avec elle est nul et non avenu.
Elle s’irrite de la moindre critique, du moindre reproche, de la moindre remarque, qui provoquent chez elle des réactions immatures, irresponsables, délirantes, et mettent en relief son entêtement, ses dérèglements, ses troubles.
[4] Collègue de ʺtravailʺ.
[5] Le mâle qui bande à l’odeur de la femelle en rut, qui bave pour le trou à boucher.
[6] Fraîchement marié.
[7] Faire des pipes.
[8] Une féministe comme elle, participante aux partouzes, est réputée pour  narrer ses histoires de cul.
Elle a une manière racoleuse de se toucher avec le pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en bas de sa robe entièrement déboutonnable, d’écarter les jambes pour laisser voir son sexe à l’étroit dans une petite culotte, puis de commencer la narration.
Ses ébats avec un fournisseur de bite rencontré dans un bar où elle se rend lorsque son époux est absent, tient l’auditoire en haleine :
ʺIl a suffi que nous nous regardions pour sentir l’irrésistible désir de baiser.
Je ne tenais plus.
Heureusement que l’hôtel à cet effet est juste au dessus du bar.
Un hôtel où j’ai déjà donnée à la baise.
Et pas qu’avec des mecs.
Á peine dans la chambre, nous nous sommes jetés l’un sur l’autre.
Avec frénésie.
L’odeur de sexe n’a pas tardé à se répandre.
Une odeur que j’aime.
Mon parfum préféré.
Le type déchirait grave.
Je savoure encore son doigté.
J’en redemandais.
Je voulais sa bite partout.
J’en étais folle.
Et lui était fou de mon cul, de mon vagin avec sa toison pubienne, que sa bite et sa langue faisaient chanter de ravissement.
Du sexe à n’en plus finir.
Le top de la baiseʺ.
Je ne fais que reprendre  ce dont j’ai déjà parlé.

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