« Ils »[1] ne
connaissent de ce qu’« ils » appellent « l’honneur » que le
mot dont « ils » se gargarisent sans honte, auquel « ils »
recourent sans vergogne, pour entretenir ce qu’« ils » sont :
des pourritures.
Quiconque ose les désigner pour ce qu’« ils » sont et arrive à faire entendre sa voix, s’expose à leur foudre, à tous les moyens dont « ils » disposent pour le faire taire.
Gonflés d’orgueil, d’arrogance et autres, « ils » s’autorisent tout selon l’étable de leur loi.[2]
« Ils » font semblant de « s’offusquer » des effets de ce dont ils sont la cause, eux qui se nourrissent de mensonges, de dissimulations, de falsifications, de supercheries, de tricheries, de tromperies, de manipulations, de débauche, de corruption, d’imposture, de faux et autres.
Des armes qu’« ils » utilisent à tous les niveaux, dans tous les milieux, dans tous les domaines, afin de continuer leurs méfaits.
« Ils » sont prêts à tout, comme toutes les pourritures, « pour défendre leur honneur bafoué ».
BOU’AZZA
[1] Cela n’exclut en aucun cas le féminin.
[2] Les tables de leur loi.
Quiconque ose les désigner pour ce qu’« ils » sont et arrive à faire entendre sa voix, s’expose à leur foudre, à tous les moyens dont « ils » disposent pour le faire taire.
Gonflés d’orgueil, d’arrogance et autres, « ils » s’autorisent tout selon l’étable de leur loi.[2]
« Ils » font semblant de « s’offusquer » des effets de ce dont ils sont la cause, eux qui se nourrissent de mensonges, de dissimulations, de falsifications, de supercheries, de tricheries, de tromperies, de manipulations, de débauche, de corruption, d’imposture, de faux et autres.
Des armes qu’« ils » utilisent à tous les niveaux, dans tous les milieux, dans tous les domaines, afin de continuer leurs méfaits.
« Ils » sont prêts à tout, comme toutes les pourritures, « pour défendre leur honneur bafoué ».
[1] Cela n’exclut en aucun cas le féminin.
[2] Les tables de leur loi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire