samedi 20 février 2016

« LES SANS-DENTS SANS DOMICILE FIXE »

Il[1] va aller se pavaner dans des colonies de la France de l’Océan Pacifique, les 21, 22 et 23 février 2016.[2]
Aux Îles Wallis et Futuna, et en Polynésie.
Des colonies rattachées à la France et dites Collectivités d’Outre Mer.[3]
Colonies, comme il est de règle, où les populations autochtones,[4] ont été décimées, massacrées et soumises à la métropole.
Pour son escapade en Polynésie, il a été décidé par les employeurs au service du système de la métropole, d’expulser de tout endroit de passage du révolutionnaire socialiste, les loques humaines, les sans-dents sans domicile fixe,[5] susceptibles d’irriter la vue sensible du métropolitain du Palais de l’Élysée.
La deuxième concubine[6] de ce métropolitain, répudiée il y a plusieurs mois,[7] a écrit un bouquin suite à sa répudiation,[8] qui rapporte beaucoup sur ce révolutionnaire de gauche, habitué à désigner les populations pauvres, de France et de Navarre, par l’expression méprisante de « sans-dents ».
Il a besoin de se pavaner pour se con-vaincre que lui il en a, des dents, sonnantes et trébuchantes, don du système colonialo-impérialo-sioniste.[9]
  
BOUAZZA



[1] François Hollande, le figurant révolutionnaire de gauche, installé sur le trône du Palais de l’Élysée au mois de mai 2012 pour un quinquennat, en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite Nicolas Sarkozy.
[2] Selon le calendrier dit grégorien.
[3] COM.
[4] Les Indigènes.
[5] SDF.
[6] Valérie Trierweiler, seconde concubine selon la conne-tabilité ʺofficielleʺ.
[7] Elle a été répudiée par un coup de fil à l’AFP (Agence France Presse), à ne surtout pas confondre avec AFB (Agence France Bouazza).
La troisième concubine, toujours selon la comptabilité ʺofficielleʺ,  n’a pas encore été répudiée.
La première concubine, Ségolène Royale, bien que ne jouissant plus pub-liquement de ce statut, est installée sur un fauteuil moelleux de ministre, et le figurant installé sur le trône ne peut pas ignorer ce qu’elle désire.
[8] Valérie Trierweiler, Merci pour ce moment, éditions les Arènes, Paris 2014.

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