La
République a élaboré en 1990[1] une
« réforme » relative à des modifications dans l’écriture de quelques
mots, à la suppression de quelques traits d’union et à la fin de l’accent sire
con flakes.[2]
Cette
« réforme » élaborée par la République a bien sûr[3] été
approuvée par l’Académie Française,[4]puis
rangée dans un tiroir.
En
fouillant, peut-être[5] par
inadvertance, un supplétif de la République est tombé sur la « réforme ».[6]
Il
n’y avait pas de poussière car le tiroir n’a jamais été ouvert avant 2016.
La
République va donc essayer de mettre en place la « réforme »,
maintenant que le tiroir a été ouvert.
Les
éditeurs des livres scolaires qui ne sont peut-être[7] pas étrangers[8] à
l’ouverture du tiroir, sont contents car pour l’accent sire con flakes, des
traits d’union, et quelques mots, il va falloir tout rééditer : ils ont
attendu vingt-six ans,[9] et
espèrent que la gauche caviar va au moins contribuer au démarrage de cette
« réforme » de la République, qui va leur rapporter gros.
BOUAZZA
[1]
Selon le calendrier dit grégorien.
[2]
Accent circonflexe.
[3]
Tiens, un accent sire con flakes.
[4]
Institution qui remonte à Louis XIII, et que la République utilise encore pour
attribuer à quelques zuns et quelques zunes, des fauteuils moelleux et le
pognon qui va avec, afin, officiellement, de veiller sur la langue de Molière qui, même s’il est mort, risque
d’avoir mal à la langue (tiens, un accent sire con flakes).
[5]
Encore un trait d’union et un accent sire con flakes.
[6]
En tombant sur elle, il ne s’est pas fait mal.
[7]
Toujours un trait d’union et un accent sire con flakes.
[8]
Ne pas confondre avec immigrés.
[9]
Un trait d’union.
[10]
Le château de Versailles par exemple (sans l’accent sire con flakes).
C’est un riche lieu qui sied aux fastes de la
République, comme dirait la gauche caviar.
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