mardi 31 octobre 2017

UN JOUR OÙ LES REGARDS SE FIGERONT

« Et ne crois pas qu’Allaah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que les retarder pour un jour où les regards se figeront ».[1]



[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14), Ibraahiime (le « r » roulé), Abraham, ayate 42 (verset 42).
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

lundi 30 octobre 2017

NE ME PARLE PAS DE MARI

- Je te réveille ?
- Non, j’ai veillé très tard, mais je suis debout depuis un bon moment.
- Alors ?
- C’était comme d’autres soirées sauf que d’emblée, avec l’alcool, tout est allé vite.[1]
J’étais un peu pompette, gaie, et je n’ai pas traîné pour me jeter sur un jeunot.[2]
Je lui ai carrément sauté dessus.
Mais par la suite, je n’ai pas pu aller chez lui, et chez moi, il y avait mon mari.[3]
- Merde.
- C’est ma voiture, encore une fois, qui a, plus ou moins, servi de refuge.[4]
- Il est très jeune ?
- Assez.
- Assez pour qu’il fasse ce que tu veux ?
- En effet.
- Pour qu’il fasse quoi par exemple ?
- Je te laisse deviner.
- Ce n’est pas drôle.
Tu le revois quand ?
- Je l’emmène déjeuner au restaurant demain.
- Il y a un hôtel au dessus du restaurant ?[5]
- Je te laisse encore deviner.
Et avec le tien, c’était comment ?
- Moi je ne vais pas te laisser sur ta faim.
Pour rester dans le cul-unaire, je dirais que c’était savoureux.
Nous étions insatiables.
Le top de la baise.
Je n’ai pas cessé d’avoir faim de sa bite, et lui de mon cul.
Lorsque je lui faisais une fellation, je voulais que ce soit sans fin.
Tout mon être réclamait sa queue.
- Tu me fais mouiller chaque fois que tu me parles de « ça ».
Je t’écoute en me livrant à un va et vient intense avec le doigt dans le vagin ...
- Nous voulions toujours plus.
- Ne t’arrête pas ...
- j’aimais trop quand je me mettais à quatre pattes, et qu’il me pénétrait par derrière, en me malaxant les miches[6] comme diraient certaines.
- je ... j ... jou ... is ... con ...tinue ...
- Il n’y a pas un comme lui pour éveiller mes fesses à des sensations profondes, pour surexciter mes lèvres, pour mettre ma bouche en feu.
Et le summum, c’était quand il me léchait le sexe.
Tu m’écoutes ?
- Aaaaah ...
- Quoi ?
- Oooooh ...
- Je vois.
- Aaahhh...[7]
- Ton mari rentre à quelle heure ?
- Ne me parle pas de mari.
Je t’ai déjà dit qu’il me pompe l’air.
Heureusement que je ne le vois pas de la journée.
- Je pense comme toi, et je me demande même pourquoi je me suis mariée.
- Je me le demande aussi.
Je vais te laisser, on sonne à la porte.[8]
  
BOUAZZA




[1] Alcool à volonté, joints, musique, danse, fornications, enculeries, adultères.
[2] Un habitué des soirées  où il trouve toujours à baiser.
Il est fier du ʺchemin parcouruʺ et de sa ʺréussiteʺ: il a cessé depuis un certain temps de s’adonner au sexe dans les caves de la cité avec des ʺcas sociauxʺ pour – tout en étant marié – baiser dans des chiottes, des voitures, et  autres, avec des mâles et des femelles ʺlibérésʺ qui, parce qu’il est ʺgentilʺ, accueillent sa bite à orifices ouverts : bouches affamées, vagins boulimiques ou postérieurs insatiables.
La semaine d’avant, dans un autre lieu, pendant qu’il enculait dans un coin une femelle ʺémancipéeʺ, habituée à sa queue de gigolo, des effluves se répondaient dans la pénombre où deux femelles, allongées à même le sol, se léchaient goulûment le vagin.
Du sexe sans frontières.
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des travestis, des masturbateurs, et autres, alimentent et entretiennent ʺl’évolution cul-turelleʺ.
Parmi eux, certains font participer des animaux aux ébats, et ne tarissent pas d’éloges sur les chiens.
Une des femelles qui les apprécie tout particulièrement, répète à chaque occasion, qu’il lui est impossible de comprendre comment certains et certaines peuvent s’en passer, ni comment ils ne peuvent concevoir les rapports sexuels, que dans le cadre du mariage entre un homme et une femme.
Attachée au sexe dans tous ses états, le mariage ne l’empêche pas de continuer à diversifier les partenaires pour des ébats  ʺrévolutionnairesʺ.
Elle tient aussi à rappeler que ceux qui voient en elle une pute, ne savent pas que pour la pute, le cul est un marché où elle se fait sauter pour de l’argent, alors qu’elle, elle fait « ça » par engagement, par conviction, par militantisme, par féminisme.
[3] Elle n’hésite pas à accueillir des mecs au domicile conjugal, pour un café dit-elle, et parfois pour manger, y compris en présence du mari.
[4] Toujours excitée, la sainte nitouche, proche de la ménopause, atteinte d’agitation aiguë, cul-tive son désir pathologique de faire n’importe quoi pour se faire remarquer.
[5] Les repas de ce genre se déroulent souvent dans des endroits avec des chambres au dessus  pour s’envoyer en l’air.
[6] Les nichons, les seins.
[7] En face d’elle, dans une pièce qu’elle s’est réservée, à côté d’un pénis en bois d’ébène et d’une sculpture représentant un mâle avec sa bite en érection, trône une copie du tableau de Gustave Courbet, ʺl’origine du mondeʺ : tableau représentant une femelle allongée nue sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison pubienne.
Elle a toujours aimé se prendre pour la femelle du tableau, en précisant qu’il aurait été mieux avec une bite dans le vagin.
[8] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois. 

samedi 28 octobre 2017

ZANZIBAR


Je n’ai jamais compris pourquoi beaucoup de personnes en France, font de Zanzibar[1] un lieu mythique, un mirage, un mystère que des explorateurs, des écrivains, et autres, ont essayé de percer.
Stone town, la ville de pierre aux cinq cents portes sculptées est dite endroit à couper le souffle, espace sublime, fascinant, baignant dans des couleurs et des parfums inimaginables, au bord d’une mer magique, et avec une joie de vivre inégalée, un bonheur communicatif.
Ces clichés mis de côté, il n’est peut-être pas inutile de rappeler que Zanzibar est un archipel de l’océan Indien, devenu colonie de la Grande-Bretagne en 1890.[2]
Le territoire était, parait-il, dénommé Zinej par des marchands arabes, en raison de la couleur noire des habitants de la côte Est de l’Afrique.
Depuis l’Antiquité, ce territoire constitué un centre marchand, qui plus tard a été dominé par le sultanat d’Oman[3] dont il s’est  séparé, pour constituer un sultanat 1861.
Il était réputé pour le clou de girofle[4] et la traite des esclaves.[5]
Les échanges enthousiastes de jadis sur les mouvements de libération en Afrique et ailleurs, ont pris d’autres tournures.
Le système colonialo-impérialo-sioniste sévit toujours.
Partout.
En Afrique, comme tout le monde le sait, l’esclavage a fait des ravages.
Les crimes colonialistes n’ont rien épargné.
Les régimes mis en place par la supercherie de « l’indépendance dans l’interdépendance », et autres,[6] continuent de faire ce que leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, leur demandent, afin que le continent africain, et d’autres lieux ailleurs, restent une décharge d’immondices dans tous les domaines : la merde continue de gicler de partout, nauséabonde.
Les colonies et autres contrées dites du « tiers-monde », restent pour les métropoles des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres « loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variés.[7]
  
BOUAZZA



[1] Rattachement en 1964 (selon le calendrier dit grégorien) du Tanganyika et de Zanzibar en Afrique, pour faire la Tanzanie (contraction de Tanganyika et de Zanzibar).
[2] Suite à une entente entre les colonialistes pour le partage de l’Afrique.
[3] ‘omaane.
[4] Alqaranefol (le ʺrʺ roulé), lqrounefl.
[5] Le giroflier nécessitant de la main d’oeuvre, la traite des esclaves a été très largement développée.
[6] ʺL’indépendance nationaleʺ, ʺla révolution nationaleʺ, ʺla révolution populaireʺ, et autres.
Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.

jeudi 26 octobre 2017

IL EST OMNIPOTENT

« Á Allaah appartient le royaume des cieux, de la terre et ce qu’ils contiennent.[1] Et Il est Omnipotent ».[2]



[1] Renferment.

mercredi 25 octobre 2017

BROYER DU BLANC

- Cela fait des siècles que des blancs détruisent des noirs partout, par tous les moyens, qu’ils les pulvérisent.
Aussi, je vais me mettre à broyer du blanc.
- Tu veux dire à broyer du noir.
- Pas du tout, je suis noir.
- Je vois, mais même un noir peut broyer du noir.
- C’est vrai, il y a beaucoup de noirs qui sont toujours utilisés par des blancs pour broyer du noir.
- Broyer du noir est une expression qui ne se réfère pas à l’extermination des noirs.
Elle signifie avoir des idées sombres.
- Moi j’ai les idées claires, et je vais me mettre à broyer du blanc.
Tu n’as rien à craindre toi, tu es basané.[1]
  
BOUAZZA

mardi 24 octobre 2017

DÉBAT EN FRANCE


Un vif débat, comme c’est toujours le cas dans cette contrée qui se veut la meilleure de toutes dans tous les domaines, oppose les uns aux autres, pour savoir si Macron[1] est le président des riches ou le président des pauvres.
Autrement dit, est-ce qu’il est le président des pauvres ou le président des riches ?
Personne n’a encore trouvé de réponse à ce genre de crétinisme qui, depuis des lustres, n’épargne aucun secteur.
  
BOUAZZA



[1] Emmanuel Macron, installé sur le trône du palais de l’Élysée au mois de mai 2017, selon le calendrier dit grégorien.

lundi 23 octobre 2017

ACCULTURATION


Les « maîtres » lancent ce qu’ils veulent, et les esclaves, pour se donner une « contenance », s’essoufflent à vouloir s’en saisir : ainsi va l’ignorance.[1]
  
BOUAZZA



[1] Aljahl.

samedi 21 octobre 2017

HALAAL OU HARAAME ?

Pas de contrainte en Islaam.[1]
Allaah dans toute Sa puissance et toute Sa majesté, n’a pas imposé la croyance à l’être humain.[2]
Il lui a accordé la liberté du choix.
Le choix de croire ou de ne pas croire.[3]
« Quiconque prend le droit chemin le prend pour lui-même et quiconque s’égare, s’égare à son propre détriment ».[4]
L’Islaam depuis Aadame[5] sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Et non comme chacun veut.
Au Maroc,[6] des marocains[7] se disent « musulmans » parce qu’ils sont marocains, et parce que le Maroc est dit pays « musulman ».
Ces marocains[8] savent pourtant qu’être marocain ne signifie pas être musulman.[9]
En effet, une personne peut être installée au Maroc, avoir un prénom marocain, connaître un parler marocain, s’habiller marocain, manger marocain, et ne pas vivre l’Islaam.
Comme elle peut ne pas être installée au Maroc, ne pas avoir un prénom marocain, ne pas connaître un parler marocain, ne pas s’habiller marocain, ne pas manger marocain, et vivre l’Islaam.
L’Islaam concerne toute l’humanité, et un marocain peut aussi être musulman.
C’est clair, mais les confusions continuent cependant d’être alimentées et entretenues.
Ainsi, par exemple, certains[10]  se lancent dans des bavardages sans fin, et font semblant de chercher à savoir si un comportement est halaal[11] ou haraame,[12] alors qu’ils ne se soucient en aucun cas des enseignements de l’Islaam[13] qu’ils ignorent.
Ce qui est halaal se rapporte à ce qui est licite, et ce qui haraame se rapporte à ce qui est illicite.
Le licite  est ce qui a été rendu licite par Allaah, et l'illicite est ce qui a été rendu illicite par Allaah.
Ceux[14] qui se lancent dans des bavardages sans fin sur ce thème, recourent à de fausses interprétations, à des inépties pour soutenir, entre autres, que leurs divagations constituent un effort de réflexion[15] qui permet, dans le cadre du « développement sociétal », de « vivre avec son temps ».
Ils agissent selon leurs pulsions, leurs impulsions, ne se soucient en aucun cas du Message d’Allaah, mais tiennent à se dire « musulmans ».
« Parmi les gens il en est qui disent : ʺNous avons cru à Allaah et au Jour dernierʺ, alors qu’ils ne sont pas croyants. Ils cherchent à tromper Allaah et ceux qui ont cru, mais ne trompent qu’eux-mêmes et ne s’en rendent pas compte. Il y a dans leurs cœurs une maladie, et Allaah leur accroît la maladie. Ils auront un châtiment douloureux, pour avoir menti ».[16]
Il y a lieu de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler, que les croyants[17] commandent[18] le convenable[19] et proscrivent[20] le blâmable.[21]
Cela fait partie de leurs obligations.
Parfois, des musulmans[22] ont du mal à saisir la portée des enseignements de l’Islaam.
Ils reprochent alors aux croyants de ne pas accepter les individus tels qu’ils sont, de vouloir la contrainte, de s’opposer à l’élargissement du champ d’exploration, de rejeter l’esprit critique, de refuser le dialogue, de ne pas respecter l’ouverture, de redouter le changement, d’être rigides, de faire preuve de suffisance et d’avoir la prétention de posséder la science infuse.[23]
Ces reproches peuvent provenir de membres des familles[24] de ces croyants.
Quand ils sont fondés sur la méconnaissance des enseignements de l’Islaam, leurs auteurs, une fois éclairés, cherchent à se réformer conformément à ce que Allaah aime et agrée.[25]
Mais ceux qui ne se soucient en aucun cas de ces enseignements, restent dans l’égarement.
Ils se sentent même « valorisés » en s’illustrant par des comportements négatifs et par des entêtements dans l’opposition à ceux qui veulent partager avec eux ce qui est positif.
Donner tort à des personnes qui ont raison fait partie des attitudes de ceux qui nourrissent le faux, le mensonge, la supercherie, la trahison, l’infidélité, l’imposture.
Il est donc important d’insister sur la place de la connaissance.
Sa dimension en Islaam est fondamentale.
L’Islaam rejette l’obscurantisme, l’ignorance[26] et pousse à l’effort[27] pour l’acquisition de la connaissance qu’il élève aux degrés les plus hauts.
On peut ne pas être « cultivé » et atteindre la connaissance, comme on peut être « cultivé » et rester dans l’ignorance.
C’est dire qu’il est indispensable dans ce domaine, comme dans d’autres, d’être à l’écoute,[28] d’être humble, d’être modeste pour acquérir, afin de transmettre.
La modestie et l’humilité ne signifient pas le laxisme et la démission.
La modestie et l’humilité renforcent la fermeté, la détermination, l’inflexibilité des croyants dans la Voie d’Allaah.
Ils ont à faire face à ceux qui, sous divers prétextes, les agressent de mille et une manières en les accusant de tous les maux afin de les ébranler, de les pousser au laisser aller, à la mollesse, de les affaiblir, de porter atteinte à leur connaissance, fondée sur l’Adoration[29] d’Allaah.
Les croyants, forts de cette connaissance, font face à l’incompréhension, au rejet, aux attaques, aux insultes, aux injures, aux calomnies, aux humiliations, et autres, menées par des personnes qui se complaisent dans l’égarement.
Qu’Allaah nous éclaire et nous guide.[30]
  
BOUAZZA



[1] ʺPas de contrainte en religion ! La voie de la raison s’est différenciée de l’égarement. Quiconque renie la tyrannie des fausses divinités et croit à Allaah saisit l’anse la plus solide, qui ne se brise pas. Et Allaah est Audiant et Omniscientʺ.
Dans sa traduction du Qoraane, Kachriid (le ″r″ roulé) note au sujet de ″taaghoute″, qu’il traduit par ″tyrannie des fausses divinités″, que le mot est ainsi employé au singulier comme au pluriel. Il vient du verbe ″taghaa″ c'est-à-dire outrepasser les limites, déborder. Il désigne tous ceux qui s’attribuent ou à qui on attribue une force ou une prérogative n’appartenant qu’à Allaah. Ce sont, selon les cas, les idoles, le diable (achchaytaane, satan), les puissants de ce monde, son propre orgueil, etc…
Seul Allaah est capable de bien faire ou de nuire et nulle obéissance n’est due à personne si elle implique la désobéissance à Allaah.
Salaah Addine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984). Note en bas de la page 53.
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate 256 (verset 256).
[2] C’est de l’être humain qu’il s’agit dans ce texte.
[3] Chacun est responsable de son choix.
[4] Alqoraane (Le Coran), sourate 17 (chapitre 17), Alisraa-e, Le Voyage Nocturne, aayate 15 (verset 15).
[5] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[6] Comme dans d’autres pays dits ʺmusulmansʺ.
[7] Et des marocaines bien sûr.
[8] Beaucoup d’entre eux.
[9] Mouslim ou mouslima.
[10] Et certaines bien sûr.
[11] Halal, autorisé, permis.
[12] Haram (le ʺrʺ roulé), défendu, interdit.
[13] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
L’Islaam se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité) qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la Prière (assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur (azzakaate), le jeûne du mois de ramadaane (assawme) et le pèlerinage (alhajj) à la Maison Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise Alka’ba, la Kaaba à Makka, à la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait (alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier (la Résurrection) et à la Prédestination qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe rapporté dans ″Sahiih Moslime″ (Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un égarement évidentʺ.
Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État  (ou une institution semblable, appelée autrement) des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[14] Et celles bien sûr.
[15] Ijtihaad, ijtihad.
[16] Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ʺrʺ roulé), La Vache, aayate 8 à aayate 10 (verset 8 à verset 10).
[17] Et les croyantes bien sûr.
[18] Ya-e-moroune (le ʺrʺ roulé).
[19] Alma’rouf (le ʺrʺ roulé).
[20] Yanhawne.
[21] Almonekar (le ʺrʺ roulé).
[22] Et des musulmanes bien sûr.
[23] L’énumération n’est pas exhaustive.
[24] Qui n’acceptent pas que leurs comportements préjudiciables ne soient pas cautionnés.
[25] Le faux se dissipe et le vrai se manifeste.
[26] Aljahl.
[27] Alijtihaad.
[28] L’écoute pour saisir le Sens et approfondir le Lien.
Le Sens du Message d’Allaah.
Le Lien avec Allaah.
L’écoute se nourrit de la raison pour apprendre, réapprendre, chercher, s’interroger, réfléchir, voir, analyser, comprendre, se repentir, aimer, croire, élaborer, choisir, évoquer, invoquer, construire, agir, lutter, résister et autres.
ʺCeux qui écoutent ce qui est dit et en suivent le meilleur. Ce sont ceux-là qu’Allaah a bien guidés et ce sont ceux-là les gens qui ont un cerveauʺ.
Alqoraane (Le Coran), sourate 39 (chapitre 39), Azzomar (le ″r″ roulé), Les Groupes, aayate 18 (verset 18).
[29] Al’ibaada.

vendredi 20 octobre 2017

QUI A RÉUSSI ? QUI A PERDU ?

« Par le soleil et par sa clarté.
Par la lune quand elle le suit.
Par le jour quand il l’éclaire.
Par la nuit quand elle l’enveloppe.
Par le ciel et par Celui qui l’a construit.
Par la terre et par Celui qui l’a étendue.
Par l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.
Et lui a inspiré son immoralité et sa piété.
A réussi celui qui l’a purifiée.
Et a perdu celui qui l’a corrompue ».[1]
  
BOUAZZA



[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10 (verset 1 au verset 10).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité plus d’une fois, et que je citerai encore et encore, ine chaa-e Allaah (si Allaah veut)..
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

jeudi 19 octobre 2017

POUR QUE LE SEXE SE CULTIVE


- Ton mec apprécie toujours la nature ?
- Toujours.
- L’herbe, le blé.
C’est bucolique.
- Exciting.
- Pourvu que « ça » dure.
- Et pourquoi « ça » ne durerait pas ?
- La dernière fois tu avas l’air de sous-entendre des changements.
- Oui, il dit qu’il veut envisager autre chose pour nous.
- Quoi par exemple ?
- En vrai, je m’en tape.
En attendant, je m’offre du bon temps.
- En attendant quoi ?
- D’avoir plus.
- Il encule bien ?
- Sa bite va partout, et « ça » ne me déplaît pas.
Et toi, ton mec ?
- Je suis avec un nouveau.
- Depuis quand ?
- Depuis la semaine dernière.
- Et l’ancien ?
- Il est parti avec mon co-locataire.
- Tu l’as connu où ?
- Dans un bar.
Nous nous sommes regardés, et ce fut immédiatement le coup de foudre.
Après une partie de jambes en l’air dans les toilettes du bar, nous avons remis « ça » dans sa caisse,[1] et continué chez moi.
- Comme d’hab[2] quoi.
- Il trouve que j’ai un cul d’enfer, et valorise mon savoir-faire, surtout lorsque je lui fait une pipe.[3]
Je peux te dire que je suis au top[4] de la baise.
- Tu disais la même chose avant.
- Peut-être, mais avec lui ce n’est pas pareil.
Et question langue, c’est un virtuose.
Il en use, dit-il, pour que  le sexe se cultive.
Avec lui en effet, mon vagin devient quelqu’un d’intelligent.
- Moi c’est la queue qui rend mon cul intelligent.
- Nos horizons s’élargissent.
Il va falloir envisager quelque chose ensemble.
- Je te vois venir.[5]
  
BOUAZZA

mercredi 18 octobre 2017

MAUVAISE VOIE

« N’approchez pas[1] azzinaa,[2] c’est une turpitude[3] et une mauvaise voie ».[4]



[1] Le verset dit bien n’approchez pas et non ne commettez pas.
Ainsi les préambules qui peuvent mener à azzinaa sont condamnés (danse, baisers…).
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la pagep.368.
[2] Le mot  azzinaa désigne la fornication et aussi l’adultère.
La sanction de la fornication n’est pas la même que celle de l’adultère.
L’Islaam permet de s’éloigner d’azzinaa.
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[3] Faahicha.
[4] Alqoraane (Le Coran), sourate 17 (chapitre 17), Alisraa-e (le ″r″ roulé), Le Voyage Nocturne, aayate 32 (verset 32).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité plus d’une fois.