« Anticiper
les avancées sociétales en matière de baise, et ouvrir de nouvelles voies
d’accouplement », excite des chro-niqueurs[1] et des
chro-niqueuses,[2]
portés sur le pénis, les couilles, le vagin, le cul, les fesses, les seins, la bouche,
les lèvres, la langue.
Pour
eux, discourir aujourd’hui sur « les progrès de l’humanité dans le domaine
sexuel », pour parler de coït, d’accouplements, d’enculades, de
coucheries, de partouzes, de fellations, de léchages, est ordinaire.
Palabrer
sur les ébats collectifs, y compris avec des animaux, sur les homosexuels, sur
les lesbiennes, est banal.
Jouer
au mari, à l’épouse, au père, à la mère, et entretenir l’adultère, est
quelconque.
Poser
à poil est courant.
Bavasser
sur le sexe sans frontières, ne fait pas fantasmer.
Exposer
une bite en train d’être sucée, un clitoris en train d’être léché, ne permet
pas de faire le buzz.[3]
Mettre
un con dans un string,[4] une queue
dans le derrière d’un mâle ou d’une femelle, et les afficher sur le « net »,[5] ne fait pas
bander.
Copuler
avec le géniteur, la génitrice, la fratrie, les rejetons, n’est pas nouveau.
Alors,
quelles pénétrations, et autres en prévision ?
« Ça » gamberge entre les cuisses.[6]
BOUAZZA
[1]
Des chroniqueurs.
[2]
Des chroniqueuses.
[3]
N’est plus quelque chose qui fait parler partout.
[4]
Semblant de ʺCacheʺ sexe avec un fil qui passe dans la raie des fesses.
[5]
Sites sur internet, réseaux dits sociaux pour diffuser textes, photos, vidéos.
[6]
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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