Attachée
au sexe dans tous ses états, le mariage ne l’empêche pas de continuer à
diversifier les partenaires pour des ébats considérés comme une libération de
la femme.
Rien
à voir donc, selon elle, avec une pute, pour qui le cul est un marché où elle
se fait sauter pour de l’argent.
Elle,
elle fait « ça » par engagement, par conviction, par militantisme, par
féminisme.
C’est
l’émancipation de la femme par la baise sans frontières.[1]
BOUAZZA
[1]
Culturelle.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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