jeudi 31 octobre 2019

RAPPELER ENCORE RAPPELER TOUJOURS RAPPELER


L’Islaam depuis Aadame[1] sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes[2] où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, le Seigneur des univers.[3]
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État[4] des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les « États » qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté[5] des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Le Message d’Allaah est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition, et autres pratiques immondes, recourent au faux pour alimenter, entretenir, maintenir la confusion, l’imposture.
Les Prophètes et les Messagers[6] sur eux la bénédiction et la paix, ont tous eu pour mission de transmettre ce qui leur a été révélé par Allaah.
La multiplicité des révélations se rapporte aux diverses étapes du Message et met en relief son essence qui est l’unicité.[7]
L’Islaam par conséquent, n’est pas né à l’époque où Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a commencé la mission qui lui a été confiée par Allaah.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.[8] 

BOUAZZA



[1] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
[4] Ou une institution semblable ou différente, appelée autrement.
[5] Alomma, la matrie.
[6] Singulier, Nabiyy, Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Singulier, Raçoul (le "r" roulé), Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Un Prophète, sur lui la bénédiction et la paix, est quelqu’un qui a reçu d’Allaah la mission de rappeler ce qui a été précisé auparavant dans le Message d’Allaah.
Un Messager, sur lui la bénédiction et la paix, est quelqu’un qui a reçu d’Allaah la mission de rappeler ce qui a été précisé auparavant dans le Message d’Allaah et de transmettre une législation nouvelle, dans la continuité du Message d’Allaah.
Un Messager, sur lui la bénédiction et la paix, est en même temps un Prophète, sur lui la bénédiction et la paix.
Dans un hadiite, Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, indique que le nombre total des Prophètes sur eux la bénédiction et la paix est de cent vingt quatre mille, et celui des Messagers sur eux la bénédiction et la paix est de trois cents quinze.
Hadiite rapporté par alimaame (l’imam) Ahmad qu’Allaah le bénisse.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, à Assonna.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
[7] Attawhiid.
Laa Ilaah illaa Allaah.
Il n’y a de Divinité qu’Allaah.
[8] Je ne fais que reprendre ce dont je ne cesse de parler.

samedi 26 octobre 2019

MAINTENANT, JE LES ENTENDS ET JE LES VOIS

Je n’entendais pas les mots et je ne les voyais pas.
Couleurs d’automne.
Murmures sous les pieds de parures d’arbres défeuillés.
Nuages aux formes multiples.
Instants de fine pluie.
Caresses du vent.
Flots de pensées.
Afflux d’images.
Vagues de sensations.
Battements du cœur, tels les battements du cœur de la mère, que l’enfant béni garde en lui.
Maintenant, je les entends et je les vois.
Je témoigne.
Le ciel, le soleil, la lune, les étoiles, le vent, la mer, les cours d’eau, la terre, les saisons, les animaux, les plantes, des hommes, des femmes, des enfants, les univers, témoignent.
Iqrae.[1]
« Par le soleil et par sa clarté.
Par la lune quand elle le suit.
Par le jour quand il l’éclaire.
Par la nuit quand elle l’enveloppe.
Par le ciel et par Celui qui l’a construit.
Par la terre et par Celui qui l’a étendue.
Par l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.
Et lui a inspiré son immoralité et sa piété.
A réussi celui qui l’a purifiée.
Et a perdu celui qui l’a corrompue ».[2]
Des mots en mouvement.
Des mots qui font voler en éclats l’imposture.
Des mots qui font sortir des ténèbres.
Des mots qui envoient la Lumière au coeur.
Des mots qui se répandent dans tout l’être.
Des mots qui permettent de saisir le Sens.[3]
Des mots qui renforcent le Lien.[4]
Des mots qui rappellent de faire de son mieux pour Adorer[5] Allaah, comme Allaah le demande.[6]
  
BOUAZZA



[1] Le ʺrʺ roulé, lis.
Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé) Kachriid (le ʺrʺ roulé) note que ce verset est le premier verset révélé du Qoraane (Coran). Il est notoire de constater que la première exhortation du Qoraane recommande de lire car la lecture est le symbole de l’étude et de la recherche scientifique.
On lit aussi bien dans Alqoraane que dans le grand livre de la nature que nous traduisons dans nos sciences dites exactes.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Lobnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas des page 814.
[2] Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10 (verset 1 au verset 10).
[3] Le Sens du Message d’Allaah.
[4] Le Lien avec Allaah.
[5] Adoration, ‘ibaada.
[6] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Je reprends ce dont j’ai déjà parlé.
Voir:
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

vendredi 25 octobre 2019

LA BRAISE


Le Messager d’Allaah[1] sur lui la bénédiction et la paix a dit :
« Le temps viendra pour ma communauté, où celui qui tient à sa religion[2] sera comme celui qui tient une braise ».[3]



Une croyante en France pourchassée partout pour ne plus porter le foulard de l’Islaam.
[1] Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Qui est attaché à l’Islaam.
[3] Jamra mina annaar (les ʺrʺ roulés).
Hadiite rapporté par Attirmidhii (le ʺrʺ roulé).
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

jeudi 24 octobre 2019

FUIR DANS SA TÊTE


« […]. Lorsque l’esprit des hommes te paraîtra étroit, dis-toi que la terre de Dieu[1] est vaste […]. N’hésite jamais à t’éloigner, au-delà de toutes les mers, au-delà de toutes les frontières … ».[2]
Maintenant, je fuis dans ma tête.
Souvent, devant un clavier.
Je m’éloigne sans bouger, tournant le dos au verbiage et au vacarme.
Cherchant à commander le convenable[3] et à proscrire le blâmable.[4]
Faisant de mon mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.[5]
  
BOUAZZA



[1] D’Allaah.
[2] Amin Maalouf (Amiine Ma’louf), Léon l’Africain, Éditions Jean Claude Lattès, Paris 1986, p. 473.
[3] Alamr bilma’rouf (les r roulés)
[4] Annahyy ‘ane almonekar (le r roulé).
[5] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Je ne fais que répéter ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :

mercredi 23 octobre 2019

Ô VOUS LES MÉCRÉANTS !

« Dis : ʺÔ vous les mécréants ![1] Je n’adore pas ce que vous adorez. Et vous n’êtes pas adorateurs de ce que j’adore. Et je ne suis pas adorateur de ce que vous adorez. Et vous n’êtes pas adorateurs de ce que j’adore. Á vous votre religion et à moi ma religionʺ ».[2]



[1] Alkaafiroune (le ʺrʺ roulé).
[2]Alqoraane (Le Coran), sourate 93 (chapitre 93), Alkaafiroune ((Le r roulé), Les mécréants, aayate 1 à aayate 6 (verset 1 à verset 6).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

mardi 22 octobre 2019

LES CANONS DE LA LOI


Je reprends, encore une fois, ce texte.
Le titre n’est pas le même.
Il m’arrive de reprendre souvent ce dont j’ai déjà parlé, en changeant le titre, mais l’intention reste la même : transmettre, encore transmettre, toujours transmettre.
« Petit à petit, le nid fait son oiseau ».[1]
L’institutrice s’arrachait régulièrement les cheveux, devenait, petit à petit, une « Cantatrice chauve » parce qu’il refusait de répéter après elle :
« Petit à petit, l’oiseau fait son nid ».
Il n’avait aucun respect pour l’ordre qui, dans la logique de l’institutrice, répond aux « canons de la loi » qui tonnent plus fort et plus longtemps que les canons tout court.
Canons et autres armes de destruction massive utilisés par l’Etat colonisateur, employeur de l’institutrice, pour « pacifier »[2] le pays où l’enfant est né[3] et imposer à certains « petits indigènes »[4] l’histoire de « leurs ancêtres les gaulois ».
À bout de « patience », l’institutrice a fini par alerter les « autorités compétentes » afin que le nid de l’insoumission cesse d’être le lieu d’accueil de ce « drôle » d’oiseau.
Le nid a été détruit.
L’oiseau, lui, est toujours en Vie.
« Ces populations doivent se mettre à l’heure de notre logique.
Nous devons imposer nos règles.
Notre discipline.
Notre grandeur.
Nous devons les pénétrer profondément.
Avant nous, elles n’avaient rien.
Maintenant, nous allons leur apprendre à acquérir le sens de notre hiérarchie, à comprendre l’immense intérêt de la séparation des pouvoirs et de la distinction entre la vie privée et la vie publique, de la différence entre le profane et le sacré.
Nous allons les éduquer.
Leur montrer la richesse de l’éducatif.[5]
De la démocratie.
De la liberté.
Il nous appartient d’éveiller les consciences.
D’assurer la conscientisation[6] de ces masses incultes et sauvages pour les intégrer à notre civilisation.
Les assimiler.
Nous devons libérer ces populations de leurs servitudes qui s’opposent à notre modernisme.
Les colonies ne se font pas avec des pucelles ou des rosiers.
Ces populations ont besoin des maîtres que nous sommes.
Sans nous, elles ne peuvent pas penser.
Elles ne peuvent pas avancer.
Nous résister est un crime.
Il faut donc être sans pitié avec les criminels.
Nous sommes les missionnaires de la déclaration universelle des droits de l’Homme ».[7]
Les arrières grands-parents maternels et paternels de l’enfant ont résisté.
Ils ont été tués par le colonialisme.
Des massacres.
Des crimes.
Des carnages.
Des horreurs.
Des pillages.
Des tortures.
Des viols.
Des transgressions.
Des humiliations.
La mort semée.
La désagrégation planifiée.
Le désarroi répandu.
Les déséquilibres provoqués.
L’harmonie mutilée.
La décomposition alimentée.
La mémoire infectée.
Les grands-parents, maternels et paternels, dépossédés et chassés, se sont trouvés parqués dans des bidonvilles, prélude au processus migratoire, une transplantation plus dure, plus douloureuse.
Comment expliquer l’oppression, le colonialisme et l’impérialisme qui ont mis en place des systèmes post-coloniaux et néo-coloniaux dits des « indépendances »,[8] systèmes qui continuent les crimes les plus abjects, qui terrorisent des populations dominées, pillées, écrasées, maintenues dans la misère, les maladies et autres ?
Comment raconter Filistiine[9] et le système colonialo-impérialo-sioniste ?
Comment parler de la mafia cosmopolite qui alimente et entretient l’imposture partout ?
Flots de pensées.
Averses d’images.
Afflux de sensations.
Saisir le Sens.[10]
Renforcer Lien.[11]
Des compagnons d’un « drôle » d’oiseau continuent leur envol, et entonnent avec lui la Glorification.[12] 

BOUAZZA


[1] C’est une expression du défunt Idriis Achchraaïbii (les ʺrʺ roulés), Driss Chraïbi, écrivain originaire comme moi du Mghrib (le ʺrʺ roulé), du Maroc.
[2] Mot utilisé par le colonialisme et autres pour ne dire massacrer, détruire, écraser, éliminer, et autres.
[3] Almaghrib, Lmghrib (le "r" roulé), le Maroc.
[4] Le mot ʺindigènesʺ est une appellation arrogante et méprisante utilisée par le colonialisme, la métropole, pour désigner les populations des territoires colonisés, des colonies.
En France, par exemple, les originaires d’Afrique, les nègres, les bamboulas, même français, et surtout les bougnoules, les ratons, les melons, même français, c’est à dire les arabes, donc les musulmans.
Pour la métropole c’est du pareil au même.
La métropole recours sciemment à l’amalgame, à la confusion entre ʺethnieʺ, ʺcroyanceʺ, ʺdélinquanceʺ.
Ainsi, pour parler d’hommes et de femmes originaires d’Afrique du Nord par exemple, des ʺmaghrébinsʺ, la métropole use de connotations négatives pour dire les ʺarabesʺ, c’est à dire les ʺmusulmansʺ, autrement dit des ʺviolentsʺ, des ʺvoleursʺ, des ʺvioleursʺ, des ʺassassinsʺ et autres.
Pour cela, la gauche, la droite, et autres, avec leurs ʺdiverses variantesʺ, sont interchangeables.
[5] Les ducs à tiffes.
[6] La conne-scientisation.
[7] Ses phrases et d’innombrables autres ont été tenues, écrites, publiées, diffusées, appliquées par des oppresseurs qui continuent et continueront d’y recourir, sous une forme ou une autre.
[8] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au Maroc, occupé par la France, l’Espagne, et autres, occupation dite ″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le sultan, protégé, est alors devenu roi, au service de ce système.
[9] La Palestine.
[10] Le Sens du Message d’Allaah.
[11] Le Lien avec Allaah.
[12] Attasbiih.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.

lundi 21 octobre 2019

SUR L’IDENTITÉ DES CROYANTS ET DES CROYANTES


L’identité des croyants et des croyantes,[1] où qu’ils soient, consiste à faire de son mieux pour Adorer[2] Allaah, comme Allaah le demande.
Cette identité se nourrit de ce qui permet de saisir le Sens,[3] de renforcer le Lien[4] pour sortir des ténèbres[5] à la Lumière.[6]
Elle s’alimente et s’entretient par les actes de témoigner, de rappeler, de transmettre.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État, ou une institution semblable ou différente, appelée autrement, des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les « États » qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
L’Islaam[7]  les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté, alomma, la matrie des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah, l’Unique est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition, et autres pratiques immondes, recourent au faux pour alimenter, entretenir, maintenir la confusion, l’imposture.
« Et l’avenir est à la piété ».[8] 

BOUAZZA



Une croyante en France pourchassée partout pour ne plus porter le foulard de l’Islaam.
[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] Adoration, ‘ibaada.
[3] Le Sens du Message d’Allaah.
[4] Le Lien avec Allaah.
[5] La voie d’achchaytaane (satan).
[6] La Voie d’Allaah, le Seigneur des univers, Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
[7] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.

dimanche 20 octobre 2019

« VARIER » LES BAVARDAGES


À travers le temps et l’espace, des individus, à divers niveaux, ont cherché à faire passer des vessies pour des lanternes.
Et de tout temps, les mots ont occupé une place de choix dans cette entreprise.
Dans les opérations de domination par exemple, les mots accompagnent les autres moyens et s’avèrent souvent aussi dangereux, voire plus terribles.
Les imposteurs ont toujours falsifié les mots pour les utiliser comme des armes de destruction massive.
Dans plusieurs domaines en effet, ils mobilisent tous les moyens dont ils peuvent disposer pour faire dire aux mots ce qui correspond à ce qui les arrange.
Pour rester dans la période contemporaine, les imposteurs ont usé de tout, pour ne jamais parler de colonialisme, d’impérialisme, de sionisme et autres.
Ils ont recours à des termes trompeurs, des termes faux, des termes de la supercherie et de la tromperie.
Ils « varient » les bavardages sur « la lutte pour le bien de l’humanité », pour camoufler leur soif d’imposer partout leur domination.
Ils sont arrivés par des mots truqués à faire passer pour du « progrès », leurs crimes contre l’humanité.
Le pire dans ce domaine, c’est que des individus dont ils sont les maîtres, reprennent servilement ces bavardages qu’ils utilisent pour se donner une contenance dite de « civilisés », d’« évolués », de « cultivés », de « modernes », et autres, conformément aux souhaits de leurs maîtres.
Des serpillières adorant les semelles qui les foulent.
Et ces serviles, à divers niveaux, se mettent à déverser leur puanteur qui rejoint celle de leurs maîtres, pour dégouliner de partout.
L’imposture, encore l’imposture, toujours l’imposture.[1] 

BOUAZZA