Il se
réfère cependant aux « bonnes moeurs » afin de consolider sa
tyrannie, en réprimant les comportements de certaines « figures »
dites de « l’opposition ».
Comportements
jugés non conformes à l’islam, car ce régime de l’horreur se dit « un État
musulman ».
Les croyants et les croyantes[1]
savent que les « États » qui prétendent être des « États
musulmans » alimentent et répandent l’imposture.
L’Islaam[2] les
dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus
nulle part, mais les membres de la communauté[3] des
croyants et des croyantes sont partout et seront partout par la miséricorde
d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Depuis « l’indépendance dans l’interdépendance »,[4] des
« experts », « spécialistes » du Maroc
ne
cessent de prédire « la fin de ce régime » car eux « savent ce
qui se passe réellement dans ce pays ».
Parmi
eux, beaucoup de marocains dits de « l’opposition », avec l’aide de
la métropole qui a mis en place le régime qui sévit au Maroc et qui continue de
le protéger, sont « sollicités » car
« intellectuels »,
« cultivés », « modernes », « laïcs », et tout le
toutim, pour présenter le visage d’une « opposition qui vit avec son
temps ».
Ils
commencent d’abord par donner satisfaction à leurs maîtres en criant
haut et fort que la baise sans frontières, l’alcool coulant à flots, les
joints, et autres, sont des éléments de ce qu’ils appellent « la vie
privée », qu’ils constituent « des acquis de la civilisation de
l’humanité », font partie des « droits de l’homme », de
« la démocratie », de « la liberté » que eux
« opposition » réclament et défendent.
Des
éléments de cette « opposition », exilés en France, et dans des
métropoles du même genre, sont gardés en réserve, afin de servir peut-être un
jour.
Pour
ces exilés de service, l’employeur offre des subsides,[5] ouvre
les médias qui « comptent », les maisons d’édition
« sérieuses », les cercles de « qualité » et les voilà qui
veulent en finir avec les « indigènes », les « ignorants »,
les « fanatiques », les « obscurantistes », les
« terroristes » pour con-tribuer[6] à la
conne science universelle.[7]
L’employeur qui a une longue pratique de l’utilisation des
« compétences » de ses employés, fait bénéficier ces éléments
d’emplois réservés dans des administrations, dans des services des
renseignements généraux, dans des universités, des établissements scolaires,
des médias, des entreprises, des organismes de spectacles, de sport, de cultes,
des associations, et autres.
L’employeur, « généreux », prend soin de ces
éléments, « exilés d’opinion », « réfugiés politiques »,
« combattants de la liberté », « écrivains »,
« penseurs », « philosophes », « artistes »,
« journalistes », « intervenants » de radio, de télévision,
et autres.
Des « militants multi-cartes » gardés parmi
les accessoires utilisés et utilisables.
Ces éléments bénéficient aussi de certains emplois de
porte-serviettes « élus » ou autres dans diverses institutions où des
os de porc à ronger leur sont octroyés.
Ils sont incités bien entendu à se combattre
mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la
« Ré-pub-lique », de ses organisations d’extrême gauche, de gauche,
du centre, de droite, d’extrême droite et de tout ce qui con-tribue à la
tambouille de la « difirsiti ».[8]
Parmi
ces éléments, des « femmes libérées », ouvertes aux autres, sont
exposées parfois dans des dîners avec les « grands », pour soutenir
la conne science universelle.
Des
« intégmilés »[9] ont
des subsides même pour faire du cinéma !
Avec
la baise sans frontières bien sûr.
Et
« leurs » films obtiennent même des « os-cars ».[10]
Ils
se veulent des « battants » et font ce qu’ils peuvent pour plaire à
l’employeur.
Lorsqu’ils
parlent ou écrivent, ils ont recours à des termes recherchés parce qu’ils ont
toujours peur de ne pas être à la « hauteur ».
Ces
éléments, mangeurs de « couscous au saucisson »,[11] buveurs
d’« alcool à la menthe »,[12] ne
cessent de répéter, partout, qu’ils « s’opposent » en soutenant la
baise sans frontières, libre pour tous et pour toutes.[13]
[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, le Seigneur des
univers.
Alqoraane
est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour
mission de le transmettre.
[3] Alomma, la matrie.
[4] Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au
Maroc, occupé par la France, l’Espagne, et autres, occupation dite
″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat
moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le
sultan, protégé, est alors devenu roi, au service de ce système.
[5] Subventions.
[6] Contribuer.
[7] Conscience universelle.
[8] Diversité.
[10] Oscars.
[11] C’est moderne !
[13] Je
ne fais que répéter ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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