mercredi 16 octobre 2019

MAROC, LA SOIF DE BAISE SANS FRONTIÈRES

Fondé sur la débauche à tous les niveaux, le régime qui sévit au Maroc continue de piétiner la dignité, d’humilier, et d’user de son mépris des populations qu’il ne voit que serviles.
Il se réfère cependant aux « bonnes moeurs » afin de consolider sa tyrannie, en réprimant les comportements de certaines « figures » dites de « l’opposition ».
Comportements jugés non conformes à l’islam, car ce régime de l’horreur se dit « un État musulman ».
Les croyants et les croyantes[1] savent que les « États » qui prétendent être des « États musulmans » alimentent et répandent l’imposture.
L’Islaam[2] les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus nulle part, mais les membres de la communauté[3] des croyants et des croyantes sont partout et seront partout par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Depuis « l’indépendance dans l’interdépendance »,[4] des « experts », « spécialistes » du Maroc
ne cessent de prédire « la fin de ce régime » car eux « savent ce qui se passe réellement dans ce pays ».
Parmi eux, beaucoup de marocains dits de « l’opposition », avec l’aide de la métropole qui a mis en place le régime qui sévit au Maroc et qui continue de le protéger, sont « sollicités » car
« intellectuels », « cultivés », « modernes », « laïcs », et tout le toutim, pour présenter le visage d’une « opposition qui vit avec son temps ».
Ils commencent d’abord par donner satisfaction à leurs maîtres en criant haut et fort que la baise sans frontières, l’alcool coulant à flots, les joints, et autres, sont des éléments de ce qu’ils appellent « la vie privée », qu’ils constituent « des acquis de la civilisation de l’humanité », font partie des « droits de l’homme », de « la démocratie », de « la liberté » que eux « opposition » réclament et défendent.
Des éléments de cette « opposition », exilés en France, et dans des métropoles du même genre, sont gardés en réserve, afin de servir peut-être un jour.
Pour ces exilés de service, l’employeur offre des subsides,[5] ouvre les médias qui « comptent », les maisons d’édition « sérieuses », les cercles de « qualité » et les voilà qui veulent en finir avec les « indigènes », les « ignorants », les « fanatiques », les « obscurantistes », les « terroristes » pour con-tribuer[6] à la conne science universelle.[7]
L’employeur qui a une longue pratique de l’utilisation des « compétences » de ses employés, fait bénéficier ces éléments d’emplois réservés dans des administrations, dans des services des renseignements généraux, dans des universités, des établissements scolaires, des médias, des entreprises, des organismes de spectacles, de sport, de cultes, des associations, et autres.
L’employeur, « généreux », prend soin de ces éléments, « exilés d’opinion », « réfugiés politiques », « combattants de la liberté », « écrivains », « penseurs », « philosophes », « artistes », « journalistes », « intervenants » de radio, de télévision, et autres.
Des « militants multi-cartes » gardés parmi les accessoires utilisés et utilisables.
Ces éléments bénéficient aussi de certains emplois de porte-serviettes « élus » ou autres dans diverses institutions où des os de porc à ronger leur sont octroyés.
Ils sont incités bien entendu à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la « Ré-pub-lique », de ses organisations d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et de tout ce qui con-tribue à la tambouille de la « difirsiti ».[8]
Parmi ces éléments, des « femmes libérées », ouvertes aux autres, sont exposées parfois dans des dîners avec les « grands », pour soutenir la conne science universelle.
Des « intégmilés »[9] ont des subsides même pour faire du cinéma !
Avec la baise sans frontières bien sûr.
Et « leurs » films obtiennent même des « os-cars ».[10]
Ils se veulent des « battants » et font ce qu’ils peuvent pour plaire à l’employeur.
Lorsqu’ils parlent ou écrivent, ils ont recours à des termes recherchés parce qu’ils ont toujours peur de ne pas être à la « hauteur ».
Ces éléments, mangeurs de « couscous au saucisson »,[11] buveurs d’« alcool à la menthe »,[12] ne cessent de répéter, partout, qu’ils « s’opposent » en soutenant la baise sans frontières, libre pour tous et pour toutes.[13] 

BOUAZZA



[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[3] Alomma, la matrie.
[4] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au Maroc, occupé par la France, l’Espagne, et autres, occupation dite ″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le sultan, protégé, est alors devenu roi, au service de ce système.
[5] Subventions.
[6] Contribuer.
[7] Conscience universelle.
[8] Diversité.
[9] Contraction des mots "intégrés" et "assimilés".
[10] Oscars.
[11] C’est moderne !
[12] Le thé à la menthe, c’est du "folklore"!

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