En fin
d’après-midi, au bar d’un hôtel où ils ont leurs habitudes, deux opposants de
« sa majesté », se font servir un énième whisky, et continuent à
réciter ce que leur apprennent leurs employeurs et maîtres du système colonialo-impérialo-sioniste
sur « les tas de droits »,[1]
« l’étable de la loi »,[2] puis se
mettent à parler de « tollé rance »,[3] de baise
sans frontières,[4]
et font le lien avec les femmes entreprenantes, modernes, émancipées, ouvertes,
libérées.
Les
deux opposants du« pays froid où le soleil est chaud »[5] sont
contents d’eux, se donnent des tapes dans le dos, rigolent, s’offrent encore un
whisky, de la charcuterie, puis se saisissent des téléphones portables pour s’assurer
que leurs jeunes militantes préférées n’ont pas oublié la soirée prévue à
l’hôtel.[6]
BOUAZZA
[1]
L’État de droit.
[2]
Les tables de la loi.
[3]
Tolérance.
[4] La baise
sans frontières et tous les ingrédients de la débauche qui vont avec,
caractérise, depuis des lustres, des pays dits ʺmusulmansʺ comme le Maroc.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé
plusieurs fois.
[5] En parlant du Maroc où il était le Résident Général
du colonialisme français, le maréchal Lyautey l’avait défini par cette formule
qui fait partie des formules dont il avait le secret, disent encore ses
adorateurs, comme les opposants de ʺsa majestéʺ dont il est question ici.
[6] La baise
sans frontières et tous les ingrédients de la débauche qui vont avec,
caractérise, depuis des lustres, des pays dits ʺmusulmansʺ comme le Maroc.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé
plusieurs fois.
Voir:
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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