Fraîchement
marié, au soir des derniers jours de la première grossesse de son épouse, il
participait en renifleur d’odeur d’orifices à boucher, à une soirée d’enfer :
alcool, joints, musique, danse, et ce qui va avec.
Sa
bite connaissait certains orifices de participantes et de participants à la
soirée,
dont
ceux d’une génitrice célibataire.
Cette
génitrice célibataire avait un poste dit de responsabilité dans un média dit
important.
Comme
salariée de ce média, elle était chargée avec d’autres d’agresser, de dénigrer
« l’islam »,
conformément aux désirs des employeurs.
Et
emboîtant le pas à d’innombrables autres, elle affichait sa haine des croyantes
parce qu’elles témoignent qu’il n’y a d’Allaah qu’en Allaah l’Unique,
et que
Mohammad est le Messager d’Allaah, accomplissent la prière,
jeûnent,
acquittent le prélèvement purificateur,
se
rendent au pèlerinage,
sont
habillées en croyantes, couvrent leurs cheveux,
ne
fréquentent pas les bars, ne vont pas dans les boîtes de nuit ou autres lieux
de débauche, ont des relations sexuelles dans le cadre du mariage, ne
s’adonnent pas à l’adultère,
ne
prennent pas d’alcool, ne se droguent pas, ne mangent pas de porc.
Des
femmes qui font de leur mieux pour Adorer Allaah,
comme Allaah le demande.
Ces
croyantes, avec les croyants, n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir
économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir
médiatique, pas de pouvoir sur les publications, ou autres.
Ils
ont le pouvoir de résister aux ennemis d’Allaah jusqu’à la fin de la vie
ici-bas,
avec le soutien d’Allaah, Seigneur des univers,
le
pouvoir de ne pas oublier que « l’avenir est à la piété ».
Pour
cela, le média qui employait la génitrice célibataire, et d’innombrables autres
médias, n’arrêtaient pas
d’attribuer tous les maux aux croyantes et aux croyants,
considérés comme « un danger pour l’émancipation et la libération de la
femme », comme des éléments qui alimentent « l’obscurantisme »
qui ne permet les rapports sexuels que dans le cadre du mariage entre l’homme
et la femme,
une menace contre « la liberté », « la culture »,
« les valeurs », « la raison », « la
civilisation ».
La
génitrice célibataire jouissait sur son lieu de travail,
d’une
grande compétence de suceuse.
Son
cul rayonnait, et elle s’y connaissait pour entretenir la flamme.
Toujours
partante pour des échanges pénétrants, pour des ébats intergénérationnels, pour
la baise sans frontières.
En rut, elle raffolait des assauts de fournisseurs de
bites portés sur la sodomie.
Elle
voulait garder la bite dans son derrière insatiable, et aussi l’avoir dans son
vagin boulimique, la sentir entre ses seins, la prendre dans ses mains expertes
pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace
de suceuse réputée auprès de beaucoup, parmi lesquels des époux et des pères
qu’elle avait sucés, y compris au domicile conjugal des uns, des autres, et à
son domicile bien sûr.
Elle
aimait sucer des bites, lécher des vagins, et autres, se faire lécher devant et
derrière.
Au
cours de partouzes, elle se délectait en léchant le vagin fraîchement épilé
d’une jeune épouse et mère, pendant qu’elle se faisait enculer par l’époux de
celle-ci, à qui elle avait souvent fait des fellations.
Elle
se régalait
des senteurs de sexe, son
parfum préféré.
Une de ses collègues, salariée d’un autre média,
mariée,
privilégiait des fournisseurs de bites beaucoup plus jeunes qu’elle.
C’est
ce qu’elle cherchait en premier dans les partouzes où elle la retrouvait de
temps à autre.
À la
partouze d’avant, elle lui avait raconté que lors de son dernier voyage à
l’étranger avec un caméraman plus jeune qu’elle,
dans un
hôtel où ça baisait à tous les étages, après avoir fumé un joint dans la
chambre, elle s’était débarrassée de sa lingerie fine et, entièrement nue,
s’était penchée vers l’avant, prenant appui sur un meuble, exhibant ainsi son
croupion que son accompagnateur s’était mis à renifler, pendant qu’elle fixait,
avec gourmandise, le mur sur lequel trônait une copie du tableau de Gustave
Courbet,
ʺl’Origine du Mondeʺ.Elle se sentait valorisée, flattée, plus baisable
encore, avec un fournisseur de bite beaucoup plus jeune qu’elle.
Le média qui l’employait, attribuait lui aussi tous les
maux à l’Islaam, alimentait et entretenait cette imposture.
La
soirée d’enfer battait son plein.
On
se roulait des pelles, on se tripotait, on se faisait des fellations, on se léchait,
on aménageait des moments pour se livrer à de multiples explorations
anatomiques, on baisait dans des recoins, dans des chiottes, dans des
véhicules, et n’importe où.
Des
lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses,
des masturbateurs, des gigolos, et autres, alimentaient et entretenaient cet
« acquis civilisationnel » de la baise sans frontières.
S’afficher,
se montrer, se faire voir, attirer l’attention, savourer des flatteries, se
donner en spectacle, s’agiter dans tous les sens, faire tout et n’importe quoi
pour être le centre d’intérêt, n’écouter que ses pulsions, que ses impulsions,
ne faire qu’à sa tête.
Après quelques verres d’alcool, transportée par la
musique, une épouse et mère en rut s’était lancée dans la danse et, arrivé
derrière elle, le renifleur d’odeur d’orifices à boucher, lui avait posé les
mains sur les hanches, en humant le croupion offert.
Il
savait que comme d’autres putes,
la
voiture de l’épouse et mère servait aussi aux explorations anatomiques.
Quelques
jours après la soirée d’enfer, le renifleur d’odeur d’orifices à boucher avait
droit au domicile conjugal, comme avec d’autres orifices.
BOU’AZZA
Sur le
marché de la baise sans frontières, elle est demandée par de multiples orifices
d’épouses, de mères, d’époux, de pères, et autres.
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah.Alqoraane
est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah,
L’Unique.
Mohammad,
l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah
‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Il n’y a de Divinité que Dieu, laa Ilaah illaa Allaah.
Assalaate, assalaa.
Le jeûne, assiyaame, assawme.
Azzakaate.
Alhajj.
Mettent un foulard, qui rend hystériques ceux et celles qui veulent éradiquer
l’Islaam.
En dehors de l’Islaam, pour des femelles comme pour
des mâles, avoir d’autres partenaires que l’époux ou l’épouse est courant.C’est une pratique qui n’est pas incompatible avec le
mariage qui en a besoin, récitent-ils, pour revisiter ʺla chastetéʺ, ʺbriserʺ
la monotonie, ʺéviterʺ l’ennui, ʺrallumer la flammeʺ, se ʺrégénérerʺ,
ʺréinventerʺ le couple, découvrir les saveurs du sexe de ʺla libertéʺ, vaincre
les interdits ʺobscurantistesʺ, vivre les ʺavancées sociétalesʺ en matière de
baise sans frontières.
Addonyaa.
Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Et n’arrêtent toujours pas.
Almouminoune wa almouminaate.
En
France, la loi du 17 mars 2013 sur le mariage pour tous,
permet aux homosexuels de s’épouser entre
eux, et aux lesbiennes de se marier entre elles.
C’est
une pratique répandue dans plusieurs pays.
Et ailleurs.
Une femelle comme elle, participante aux partouzes,
était réputée pour narrer ses histoires
de cul.Elle avait une manière racoleuse de se toucher avec le
pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en bas de
sa robe entièrement déboutonnable, d’écarter les jambes pour laisser voir son sexe
à l’étroit dans une petite culotte, puis de commencer la narration.Ses ébats avec un fournisseur de bite rencontré dans
un bar où elle se rendait lorsque son époux était absent, tenait l’auditoire en
haleine :ʺIl a suffi que nous nous regardions pour sentir
l’irrésistible désir de baiser.Je ne tenais plus.Heureusement que l’hôtel à cet effet est juste au
dessus du bar.Un hôtel où je me suis déjà donnée à la baise.Et pas qu’avec des mecs.Á peine dans la chambre, nous nous sommes jetés l’un
sur l’autre.Avec frénésie.L’odeur de sexe n’a pas tardé à se répandre.Une odeur que j’aime.Mon parfum préféré.Le type déchirait grave.Je savoure encore son doigté.J’en redemandais.Je voulais sa bite partout.J’en étais folle.Et lui était fou de mon cul, de mon vagin avec sa
toison pubienne, que sa bite et sa langue faisaient chanter de ravissement.Du sexe à n’en plus finir.Le top de la baise.Je mouille en y pensantʺ. Les
médias appartiennent généralement à des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés
par des individus dits décideurs, qui alimentent et entretiennent ce qui sert
leurs intérêts dans le cadre d’une institution, d’un régime, d’un système, ou
autres.
C’est
dire que les journalistes et autres personnels des médias, sont des employés tenus
de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le
discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe
que ceux et celles qui le veulent bien.
Les exécuteurs des ordres déversent, encore et
toujours, le plein d’ordures en utilisant des mots et des images salis,
enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, trahis, dénaturés,
nauséabonds pour grossir le flot de la pourriture qui dégouline de partout. Le
média
qui l’employait l’envoyait de
temps à autre à l’étranger, avec quelqu’un de son choix, plus jeune qu’elle,
pour faire des reportages sur les faits d’armes des militaires des métropoles,
chez les indigènes des colonies de « l’indépendance dans
l’interdépendance », et autres.
Copie d’un tableau représentant une femelle nue,
allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison
pubienne. Une pute est une pute.N’en déplaise à la pute qui joue à la sainte nitouche,
tient à se faire appeler autrement, réclame, haut et fort, afin qu’elle
continue d’alimenter et d’entretenir le faux, des appellations qui ne
correspondent pas à ce qu’elle est en vrai, Je ne
fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
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