Je faisais
semblant de ne pas voir les trahisons, les mensonges, les arrières pensées, les
compromissions, surtout de certains « proches ».[1]
Des mots se tassaient au fond de ma gorge pour ne pas tomber dans ma bouche.
Ils se perdaient dans une sorte de labyrinthe afin de ne pas arriver à la sortie.
Ils se pressaient ensuite pour atteindre des zones retirées, voire des recoins inexplorés, comme pour se mettre à l’abri, derrière une sorte de rempart infranchissable.
On aurait dit qu’ils se cachaient.
Ils insistaient pour que je ne sois pas tenté de rompre mon silence et me demandaient d’attendre, de patienter, de faire preuve d’endurance et qu’au moment voulu, ce qui doit être fait se fera.
Ils voulaient en fait me signifier que dans chaque mot, il y a ce qu’il y a avant le mot.
Lorsque les mots sont sortis au sujet des comportements blâmables de certains, ces derniers ont commencé par minimiser les faits, par tenter, encore une fois, de gommer leur responsabilité en s’attribuant « des circonstances atténuantes », par recourir à des mots creux, vides, sans consistance.
Des mots abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds.
Des mots de circonstances aggravantes.
Il m’est arrivé, il m’arrive, de faire semblant d’être « naïf », en espérant que des personnes finiraient par essayer de réfléchir afin de saisir le Sens,[2] de consolider le Lien.[3]
Mais cette « naïveté » est considérée comme une « méconnaissance » par des personnes qui parlent à tort et à travers, des personnes qui bavardent sans cesse, des personnes qui ne savent pas se taire, des personnes qui ne pensent qu’à l’opposition stérile, des personnes qui ne font qu’à leur tête, des personnes préoccupées par leur nombril, par leur ego, des personnes qui cèdent aux pulsions, des personnes qui suivent les impulsions, des personnes qui n’ont aucun contrôles sur les émotions, des personnes qui représentent l’entêtement en chair et en os.[4]
C’est cette « naïveté » qui me pousse, lorsque je ne peux pas faire autrement, à recourir à la technique de tourner le dos.[5]
Tourner le dos, s’effacer, s’éloigner, fuir verbiage, vacarme, et autres.
Par la miséricorde d’Allaah, je fais ce que je peux pour commander le convenable[6] et proscrire le blâmable.[7]
Je fais de mon mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.[8]
BOU’AZZA
[1] Terme utilisé pour désigner des membres de la famille, des personnes dites intimes.
[2] Le Sens du Message d’Allaah.
[3] Le Lien avec Allaah.
[4] Dans beaucoup de cas, je n’ai pas su me faire comprendre, et je ne peux pas être compris par des personnes qui considèrent que je n’ai rien à leur dire.
[5] C’est un comportement qui ne s’applique pas seulement à des membres de ma famille décomposée et autres parents, mais s’étend à divers domaines dès lors que je considère que c’est ce qu’il y a de mieux à faire.
[6] Alamr bilma’rouf (les ″r″ roulés)
[7] Annahyy ‘ane almonekar (le ″r″ roulé).
Je n’ai pas toujours cherché à le faire.
[8] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Des mots se tassaient au fond de ma gorge pour ne pas tomber dans ma bouche.
Ils se perdaient dans une sorte de labyrinthe afin de ne pas arriver à la sortie.
Ils se pressaient ensuite pour atteindre des zones retirées, voire des recoins inexplorés, comme pour se mettre à l’abri, derrière une sorte de rempart infranchissable.
On aurait dit qu’ils se cachaient.
Ils insistaient pour que je ne sois pas tenté de rompre mon silence et me demandaient d’attendre, de patienter, de faire preuve d’endurance et qu’au moment voulu, ce qui doit être fait se fera.
Ils voulaient en fait me signifier que dans chaque mot, il y a ce qu’il y a avant le mot.
Lorsque les mots sont sortis au sujet des comportements blâmables de certains, ces derniers ont commencé par minimiser les faits, par tenter, encore une fois, de gommer leur responsabilité en s’attribuant « des circonstances atténuantes », par recourir à des mots creux, vides, sans consistance.
Des mots abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds.
Il m’est arrivé, il m’arrive, de faire semblant d’être « naïf », en espérant que des personnes finiraient par essayer de réfléchir afin de saisir le Sens,[2] de consolider le Lien.[3]
Mais cette « naïveté » est considérée comme une « méconnaissance » par des personnes qui parlent à tort et à travers, des personnes qui bavardent sans cesse, des personnes qui ne savent pas se taire, des personnes qui ne pensent qu’à l’opposition stérile, des personnes qui ne font qu’à leur tête, des personnes préoccupées par leur nombril, par leur ego, des personnes qui cèdent aux pulsions, des personnes qui suivent les impulsions, des personnes qui n’ont aucun contrôles sur les émotions, des personnes qui représentent l’entêtement en chair et en os.[4]
C’est cette « naïveté » qui me pousse, lorsque je ne peux pas faire autrement, à recourir à la technique de tourner le dos.[5]
Tourner le dos, s’effacer, s’éloigner, fuir verbiage, vacarme, et autres.
Par la miséricorde d’Allaah, je fais ce que je peux pour commander le convenable[6] et proscrire le blâmable.[7]
Je fais de mon mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.[8]
[1] Terme utilisé pour désigner des membres de la famille, des personnes dites intimes.
[2] Le Sens du Message d’Allaah.
[3] Le Lien avec Allaah.
[4] Dans beaucoup de cas, je n’ai pas su me faire comprendre, et je ne peux pas être compris par des personnes qui considèrent que je n’ai rien à leur dire.
[5] C’est un comportement qui ne s’applique pas seulement à des membres de ma famille décomposée et autres parents, mais s’étend à divers domaines dès lors que je considère que c’est ce qu’il y a de mieux à faire.
[6] Alamr bilma’rouf (les ″r″ roulés)
[7] Annahyy ‘ane almonekar (le ″r″ roulé).
Je n’ai pas toujours cherché à le faire.
[8] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
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