Aujourd’hui,
mercredi 24 mai 2023,[1] le
tribunal correctionnel de Genève en Suisse a acquitté Tariq Ramadan, jugeant
qu’il n’y avait pas de preuve contre lui.
Son procès pour viols et contrainte sexuelle s’était ouvert le 15 mai et a duré trois jours.
Il est à rappeler qu’il est mis en examen en France pour diverses affaires de viols et d’agressions sexuelles, son procès n’a pas encore eu lieu.
Dans ce pays, moyennant une caution de 300.000 euros, il a obtenu une mise en liberté[2] avec contrôle judiciaire,[3] après dix mois en prison.[4]
En attendant son procès, il parle de « dignité » et d’« honneur ».[5]
Il était considéré, un peu partout, comme « un responsable musulman, un prédicateur intellectuel très engagé ».
Se réclamant de l’Islaam,[6] il se voulait un défenseur du Message d’Allaah, et des enseignements qui en découlent.
Il a eu recours au mensonge, à la dénégation, avant de reconnaître qu’il a eu des rapports sexuels avec des accusatrices consentantes.
La sexualité en Islaam est fondée sur le mariage entre l’homme et la femme.
Tariq Ramadan le sait.
Époux,[7] il sait parfaitement qu’il s’adonnait à l’adultère, condamné et sanctionné par l’Islaam.
Quelle « dignité » et quel « honneur » veut-il « défendre » ?
Il a recours à des mots qu’il a trahis, dépouillés, brouillés, souillés pour entretenir l’imposture.
L’Islaam, il faut le rappeler, encore le rappeler, toujours le rappeler, partout le rappeler, dénonce, rejette, condamne, combat l’adultère, le viol, le mensonge, et autres.
Il est très courant de se réclamer de l’Islaam, tout en ayant des comportements qui en sont éloignés, des comportements blâmables, des comportements qui ne tiennent pas compte du Message d’Allaah.
Allaah accepte le repentir.[8]
Le repentir consiste à invoquer le pardon d’Allaah, à manifester le désir de s’éloigner de ce qui est blâmable,[9] de faire son possible pour suivre ce qui est convenable.[10]
BOU’AZZA
[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Décision de la cour d’appel de Paris.
[3] 15 novembre 2018.
[4] Incarcéré à la prison de Fresnes le 2 février 2018.
[5] Il a annoncé, via des réseaux sociaux, qu’il veut défendre sa « dignité » et son « honneur ».
[6] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[7] D’innombrables mâles et femelles, époux et épouses, pères et mères, ici et ailleurs, se livrent à des attouchements, se tripotent, se roulent des pelles, se font des fellations, se sucent, se lèchent, s’adonnent à des explorations anatomiques, à des copulations, le tout en dehors du cadre du mariage.
Pour eux, le mariage en a besoin pour ne pas tomber dans la routine, dans l’ennui, pour se régénérer, participer à la libération sexuelle, aux avancées sociétales dans le domaine de la baise sans frontières.
Pour ces débauchés, jouer à l’époux, à l’épouse, au père, à la mère, et entretenir des relations extraconjugales, n’est pas incompatible avec le mariage.
[8] Attawba.
La personne qui se repent, ne doit pas attendre le moment de son agonie pour le faire.
[9] Almonekar (le « r » roulé).
[10] Alma’rouf (le « r » roulé).
[11] L’Adoration, al’ibaada.
[12] Qu’Allaah pardonne nos errements, nos dérives, nos égarements, nos défaillances, nos divagations, nos pulsions, nos impulsions, nos mensonges, nos trahisons, nos tromperies, nos insuffisances, nos faiblesses, et autres.
Qu’Il nous éclaire et nous guide.
Il Est Celui qui répond aux invocations.
[12] Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Son procès pour viols et contrainte sexuelle s’était ouvert le 15 mai et a duré trois jours.
Il est à rappeler qu’il est mis en examen en France pour diverses affaires de viols et d’agressions sexuelles, son procès n’a pas encore eu lieu.
Dans ce pays, moyennant une caution de 300.000 euros, il a obtenu une mise en liberté[2] avec contrôle judiciaire,[3] après dix mois en prison.[4]
En attendant son procès, il parle de « dignité » et d’« honneur ».[5]
Il était considéré, un peu partout, comme « un responsable musulman, un prédicateur intellectuel très engagé ».
Se réclamant de l’Islaam,[6] il se voulait un défenseur du Message d’Allaah, et des enseignements qui en découlent.
Il a eu recours au mensonge, à la dénégation, avant de reconnaître qu’il a eu des rapports sexuels avec des accusatrices consentantes.
La sexualité en Islaam est fondée sur le mariage entre l’homme et la femme.
Tariq Ramadan le sait.
Époux,[7] il sait parfaitement qu’il s’adonnait à l’adultère, condamné et sanctionné par l’Islaam.
Quelle « dignité » et quel « honneur » veut-il « défendre » ?
Il a recours à des mots qu’il a trahis, dépouillés, brouillés, souillés pour entretenir l’imposture.
L’Islaam, il faut le rappeler, encore le rappeler, toujours le rappeler, partout le rappeler, dénonce, rejette, condamne, combat l’adultère, le viol, le mensonge, et autres.
Il est très courant de se réclamer de l’Islaam, tout en ayant des comportements qui en sont éloignés, des comportements blâmables, des comportements qui ne tiennent pas compte du Message d’Allaah.
Allaah accepte le repentir.[8]
Le repentir consiste à invoquer le pardon d’Allaah, à manifester le désir de s’éloigner de ce qui est blâmable,[9] de faire son possible pour suivre ce qui est convenable.[10]
[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Décision de la cour d’appel de Paris.
[3] 15 novembre 2018.
[4] Incarcéré à la prison de Fresnes le 2 février 2018.
[5] Il a annoncé, via des réseaux sociaux, qu’il veut défendre sa « dignité » et son « honneur ».
[6] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[7] D’innombrables mâles et femelles, époux et épouses, pères et mères, ici et ailleurs, se livrent à des attouchements, se tripotent, se roulent des pelles, se font des fellations, se sucent, se lèchent, s’adonnent à des explorations anatomiques, à des copulations, le tout en dehors du cadre du mariage.
Pour eux, le mariage en a besoin pour ne pas tomber dans la routine, dans l’ennui, pour se régénérer, participer à la libération sexuelle, aux avancées sociétales dans le domaine de la baise sans frontières.
Pour ces débauchés, jouer à l’époux, à l’épouse, au père, à la mère, et entretenir des relations extraconjugales, n’est pas incompatible avec le mariage.
[8] Attawba.
La personne qui se repent, ne doit pas attendre le moment de son agonie pour le faire.
[9] Almonekar (le « r » roulé).
[10] Alma’rouf (le « r » roulé).
[11] L’Adoration, al’ibaada.
[12] Qu’Allaah pardonne nos errements, nos dérives, nos égarements, nos défaillances, nos divagations, nos pulsions, nos impulsions, nos mensonges, nos trahisons, nos tromperies, nos insuffisances, nos faiblesses, et autres.
Qu’Il nous éclaire et nous guide.
Il Est Celui qui répond aux invocations.
[12] Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
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