Á mon retour de France au Maroc[1] en 1977,[2] je me
suis installé avec mon épouse et notre premier enfant à Lkhmiçaate,[3] dans
une maison de mon père.[4]
Avant mon arrivée, des membres de « la famille »
décomposée,[5] ma belle-mère[6] et
son fils aîné,[7] « pour ne pas les
citer » comme dirait l’autre, qui voulaient nous empêcher d’habiter cette
maison qui était meublée, se sont chargés de la vider totalement de tout ce
qu’elle contenait[8] et de la dégrader.
Ils ne m’ont même pas laissé un matelas par terre pour
dormir avec mon épouse et notre enfant.
Les fils électriques pour mettre des ampoules ont été
sectionnés et de multiples détériorations ont été minutieusement et rageusement
sans doute, accomplies.
Je me suis beaucoup occupé des ouvriers pour veiller
sur les longs travaux que j’ai été obligé d’engager et qui ont duré des mois :
Réparation des fils électriques, réfection complète de
la salle de bain, nouvelle installation d’eau pour remplacer tout ce qui ne
fonctionnait plus, travaux de boiserie et de ferronnerie, construction d’une
cheminée, peinture générale et autres.
En déménageant deux ans plus tard, j’ai rendu à mon
père une maison[9] remise à neuf par mes
soins, ceux de mon épouse et à nos frais.[10]
BOUAZZA
[1] Mghrib (le ʺrʺ roulé).
[2] Selon le calendrier dit
grégorien.
[3] Khémisset.
[4] Nous avons eu notre
deuxième fils en 1978, alhamdo lillaah (la louange est à Allaah).
[5] Dont j’ai déjà parlé plus
d’une fois.
[6] La troisième épouse de mon
père.
[7] Son premier fils avec mon
père.
[8] Et elle contenait beaucoup
de choses coûteuses.
[9] Qui a
été occupée un peu après notre retour en France en 1981, par le deuxième fils
de ma belle-mère, qui l’occupe toujours.
Le
rez-de-chaussée a été transformé en café, ce qui a permis au fils aîné qui
s’est chargé de ʺsurveillerʺ les travaux de transformation et l’équipement, de
détourner, comme d’habitude, beaucoup d’argent et de voler mon père.
Un
autre étage a été ajouté à cette maison et donné en location.
Il
est toujours en location.
Qui
percevait, qui perçoit le montant de la location ?
Je
l’ignore.
Un
autre fils de la belle-mère s’est attribué le café pour le louer et la location
continue.
Ce
fils s’est accaparé, du vivant de mon père, d’une maison au bord de la mer,
appartenant à mon père, et a procédé à sa vente, avec la complicité de sa mère
et d’autres, en falsifiant des papiers et en ayant recours au faux et à l’usage
de faux.
Le
fils aîné, toujours attiré par le vol et l’usurpation au sein de la ʺfamilleʺ,
ayant recours aux mensonges, aux combines, aux tricheries et aux manipulations
a fait de même avec une grande maison et d’autres biens, du vivant de mon père
et après sa mort.
Il
a vendu cette maison où logeait sa mère, forcée de la quitter, en dépit de sa
contribution pour aider ce fils à usurper la maison du vivant de mon père.
Par
ailleurs, j’ai appris qu’il avait les références d’une dizaine de comptes
bancaires de mon père.
Des
comptes dans lesquels il ne devait pas se gêner pour se servir, en procédant à
sa manière.
Que
sont devenus ces comptes bancaires ?
Concernant
les filles, leur mère sait ce que chacune a fait, ou n’a pas fait.
Moi
je ne le sais pas.
[10] En
échange, je n’ai pas payé de loyer à mon père.
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire