mercredi 23 décembre 2015

« SI UN JOUR TU MALTRAITES CETTE FEMME OU SI TU LUI MANQUES DE RESPECT »



Mon père, magistrat du ministère public, a été affecté à Lkhmiçaate[1] en 1959[2] je crois.
L’année d’avant mes dix ans.
Ma sœur de deux ans mon aînée fait partie, comme moi, des cinq enfants[3] arrachés à notre mère lorsqu’elle a été divorcée.[4]
Mes premiers souvenirs concernant « tante Mbarka »,[5] une parente de mon père, remontent à l’époque de Lkhmiçaate.
Elle était une parente aimante qui venait souvent nous voir.
Sa venue me remplissait de joie et m’égayait.
J’avais de l’affection et de l’amour pour elle.
J’aimais ses traits, son rire, ses expressions, le ton de sa voix.
Parfois, lorsqu’elle parlait de ma mère, elle finissait par des larmes.
Elle me devenait alors encore plus précieuse.[6]
Cette parente était venue avec son fils s’installer à Lkhmiçaate, peu de temps après l’affectation de mon père.
C’est mon père je crois qui l’avait décidé, afin que le fils soit mieux surveillé dans sa scolarité parce qu’à Rbaate,[7] sa scolarité était menacée en raison de mauvaises fréquentations.
Mon père, qu’il craignait, lui a fait comprendre qu’il n’admettrait pas de mauvais résultats scolaires et qu’il l’avait à l’oeil.
Des années plus tard, ce fils considéré comme notre cousin, a épousé ma soeur de deux ans mon aînée, qui à l’époque de son mariage devait avoir dix-sept ans.
Elle venait de commencer à travailler comme fonctionnaire à Agadiir[8] où mon père était affecté.
Elle a quitté cette ville pour Rbaate où son époux avait également un emploi de fonctionnaire,[9] et vivait avec « tante Mbarka » et sa soeur.[10]
L’un des petits-fils de « tante Mbarka », mon neveu, le fils aîné de ma soeur, enseignant universitaire, journaliste, et autres, a écrit :
« Ma grand-mère paternelle était une femme forte et brave, d’un caractère hors du commun. Sans elle, je serais sans doute dans quelque montagne du Moyen Atlas,[11] derrière quelque troupeau de chèvres. [...].[12]
Le 21 octobre 1987 à midi moins dix, ma grand-mère paternelle rend l’âme à Mabella,[13] après une courte maladie au cours de laquelle sa belle-fille avait fait preuve d’une bravoure inoubliable. C’est ma mère qui pendant plus d’un mois, prenait soin d’elle, la lavait tous les jours, restait à son chevet nuit et jour et, parfois, dormait de fatigue près de sa tête.
La dernière phrase de ma grand-mère était destinée à son fils :
ʺTu seras maudit autant de fois que tous les grains de sable de la terre si, un jour, tu maltraites cette femme ou si tu lui manques de respectʺ.[14]
Elle jette un dernier regard sur ma mère, et une larme a coulé sur ses joues déjà mortes ».[15]
« Tante Mbrka » n’ignorait pas les comportements blâmables de son fils, et a vu tout ce que ma soeur supportait pour rester une épouse vertueuse et une mère aimante, s’accrochant de toutes ses forces au mariage qui a toujours été d’une extrême importance pour elle.
Son époux lui, n’a pas compris et ne comprend toujours pas ce que signifie le mariage, et a porté et continue de porter très gravement atteinte à ses fondements et à ses principes.[16]
Il s’est livré et se livre à ce que l’Islaam[17] condamne avec la plus extrême sévérité.
Il ne s’inquiète pas des conséquences de ses comportements et ne cherche pas à s’en éloigner.[18]
Il a maltraité et maltraite son épouse.
Il lui a manqué et lui manque de respect.
Il y a de cela une vingtaine d’années, j’ai écrit[19] de France à ma soeur au sujet du mariage.
Une longue lettre je crois.
Plus que critique pour son époux, avec qui, selon l’expression consacrée, j’ai décidé de « couper les ponts ».[20]
Cela n’a pas à modifié la situation de ma soeur, qui continue de faire face et de lutter.
Avec beaucoup d’endurance.[21]
Elle est mère de cinq enfants,[22] grand-mère de plusieurs petits enfants, a toujours considéré, et considère toujours, qu’elle ne doit pas penser au divorce.[23]
Son époux se plaît quant à lui, dans la voie d’achchaytaane[24]
Il y a quelques jours, j’ai appris par une de mes soeurs que le problème reste à l’ordre du jour.
Dans un « mail » à mon neveu, j’ai écrit :
« Assalaam ‘alaykom.[25]
Je n’arrive pas à avoir ma soeur.
J’ai appris qu’elle n’est pas en forme : Les mêmes causes produisent les mêmes effets.
J’espère que les problèmes ne vont pas s’aggraver ».
Il m’a répondu :
« Je n’ai pas pu t’écrire ou te téléphoner plus tôt parce que j’ai passé l’essentiel de ces derniers jours avec ma mère. [...]. Comme tu l’as si bien résumé : les mêmes causes produisent les mêmes effets et, comme on dit aussi, il a fallu que tout change pour que rien ne change. Je ne sais plus quoi faire à ce sujet. Ma mère a « disparu » pendant deux jours et à son retour, elle était dans un état psychologique lamentable. Elle voulait carrément se suicider et il a fallu quasiment qu’on l’escorte mon frère ma soeur et moi-même pendant deux jours pour empêcher le pire. Tout ce que j’espère, et c’est ce que je lui demande chaque jour, c’est qu’elle fasse le deuil de son mari, qu’elle vive sa vie comme on dit et qu’elle profite de sa retraite. Je sais que c’est difficile pour elle mais elle sait, comme moi, que c’est la seule solution pour avoir un minimum de tranquillité vitale. Je sais aussi que près de cinquante ans de « mariage » (j’insiste sur les guillemets), ce n’est pas rien. Mais l’autodestruction n’a jamais été une option. Elle m’a promis qu’elle fera ce deuil même si c’est dur pour elle, ma mère étant une personne généreuse et brave.
Á l’heure où je t’écris, elle va un peu mieux. Elle est chez l’une de ses amies intimes en attendant de reprendre les choses en main. Elle m’a semblé aller dans le bon sens et cela me rassure un peu.
Voila cher oncle ce que je peux t’écrire pour l’instant, en attendant de voir plus clair ».
J’ai envoyé cet autre « mail » :
« Assalaam ‘alaykom.
Merci pour ce message.
Je suis affecté par cette situation qui ne s’améliore pas.
Ta mère comme tu le sais, a eu à faire face à beaucoup d’épreuves, et elle continue : Qu’Allaah l’aide, l’éclaire et la guide.
Lorsque ma mère a été divorcée et que nous lui avons été arrachés parce que mon père pouvait piétiner ses droits d’épouse et de mère, elle aussi a voulu se suicider ; elle s’est jetée dans une rivière, mais a survécu par la miséricorde d’Allaah.
« Inna ma’a al’oçri youçrane »,[26] nous dit le Seigneur des univers.[27]
Ma soeur va se ressaisir, ine chaa-e Allaah,[28] et poursuivre sa marche dans la Voie du Créateur.
Cinquante ans de « mariage »[29] ce n’est pas rien.
Qu’Allaah la considère comme une résistante vertueuse qui a tenu pour protéger ses enfants et qui continue de tenir pour eux et pour ses petits-enfants.
Si tu peux lui faire parvenir ce message, n’hésite pas à le faire ».
Mon neveu a répondu : 
« Merci pour ton message et tes mots. Ce message lui sera bien sûr transmis et je te tiendrai au courant de son évolution ».
Je lui ai adressé le texte suivant :
« Assalaam ‘alaykom.
Par la miséricorde d’Allaah, je viens d’avoir, longuement, ma soeur.
J’ai parlé aussi à l’amie chez qui elle est, et qui prend soin d’elle.
Je pense que de par sa capacité à ne pas oublier l’essentiel, ma soeur va, encore une fois, faire face à l’épreuve et ne pas échouer face au « problème ».
« Le problème », tu le sais mieux que quiconque, c’est ton père, son mari.
Il refuse de changer, de se réformer, de se repentir.[30]
Il est dans l’ignorance.[31]
Il a ignoré et ignore, entre autres, les fondements du mariage et de la famille.
Il est dans le sentier qui était celui de mon père.
Comme lui, il va finir peut-être par se mettre avec « une jeunette », avoir d’autres enfants, et continuer à « croquer la vie à pleines dents », et à « chanter ses plaisirs ».
La voie d’achchaytaane lui paraît lumineuse et il la suit avec enchantement.
Que faire ?
Bien entendu, je ne cherche pas à te dicter une conduite.
Cependant, les croyants et les croyantes[32] auxquels je me rattache, doivent faire de leur mieux pour commander le convenable et combattre le blâmable.[33]
C’est pourquoi je te demande, ainsi qu’à tes frères et soeurs à qui j’espère que tu vas communiquer ce message, ce que vous faites déjà, c’est à dire continuer à aider votre mère du mieux que vous pouvez, mais cette fois en essayant de trouver une solution qui s’attaque sérieusement au « problème ».
Qu’Allaah nous éloigne des pratiques blâmables, efface nos fautes, nous aide à résister à achachaytaane.
Qu’Il nous éclaire, nous couvre de Sa miséricorde, et nous soutienne pour continuer la marche, afin que nous soyons parmi les heureux ici-bas et dans l’au-delà.
Qu’Il déverse sur nous Son infinie générosité, et nous aide à faire de notre mieux pour l’Adorer, comme Il le demande.
Qu’Il nous guide sur le droit chemin, le chemin de ceux qu’Il a comblés de bienfaits, non de ceux qui ont encouru Sa colère, ni des égarés.[34]
Qu’Il fasse que nous soyons parmi ceux et celles qui suivent Sa Voie, pour mériter d’être cette âme sereine dont Il dit :
« Ô âme sereine. Retourne à ton Seigneur satisfaite et donnant satisfaction.[35] Entre parmi Mes serviteurs. Et entre dans Mon Paradis ».[36]
Mon fils aîné que j’ai informé, comme son frère, de la situation, m’a téléphoné puis m’a envoyé ce message :
« Assalaam ‘alaykom.
le temps passe et les souvenirs sont de plus en plus lointains des périodes que je passais avec ma tante au Maroc.[37]
Mais son amour, son attention et sa générosité je les ai toujours senti, et c'est pour ça qu'elle a une vraie place dans mon coeur.
Il n'en était pas de même de mon oncle,[38] même si à l'époque je ne me doutais pas de ses comportements...
Il ne m'était pas antipathique, loin de là, mais je le sentais bien pris par son « poulet »[39] et il venait juste échanger quelques bavardages lors de certains repas.
Malheureusement, mon cousin,[40] que j'aimais beaucoup à cette époque, s'est laissé « dissiper » par son père et suit la même voie...
Qu'Allaah nous aide à être le moins loin possible de l'Essentiel, et je pense beaucoup à ma tante depuis que j'ai lu tes derniers « mails ».
Passe lui le grand bonjour de ma part la prochaine fois que tu l'as, et dis-lui que je suis avec elle de tout coeur ».
Je lui répondu :
« Assalaam 'alaykom.
comme d'habitude, lorsque tu prends le temps d'écrire, tu dis ce qu'il faut, comme il faut.
J'ai transmis ton message à mon neveu, en lui demandant de le livrer à ma soeur.
De mon côté je lui en ferai, ine chaa-e Allaah, le compte rendu, lorsque je l'aurai la prochaine fois.
J’en ai fait part aussi à ton frère et à ta mère.
Qu'Allaah nous aide, nous éclaire et nous guide ».[41]
  
BOUAZZA



[1] Khémisset.
[2] Selon le calendrier dit grégorien.
[3] Trois filles et deux garçons.
[4] Notre mère a été la deuxième épouse de mon père qui a eu avec elle cinq enfants.
Lorsque mon père a décidé de divorcer et de garder les enfants, je devais avoir trois ans.
[5] Le ʺrʺ roulé.
Mobaaraka, bénie.
Je l’appelais affectueusement ‘ammtii (tante paternelle).
Elle n’était pas la sœur de mon père, mais un membre de la famille élargie, originaire de la même région que lui.
[6] Il m’arrivait peut-être de voir une certaine tristesse qui émanait de son regard, sans toutefois pouvoir en saisir les raisons ni savoir comment en parler.
Plus tard, j’ai appris qu’elle a eu un enfant et a été abandonnée par le père de cet enfant.
Son seul enfant.
Elle n’a jamais eu de mari par la suite.
Sa propre sœur qui a accepté de l’héberger avec elle, s’est proclamée ʺmèreʺ à sa place et lui a imposé d’oublier sa maternité.
Cette situation a duré jusqu’au décès de la sœur.
Le fils était déjà marié, père de plusieurs enfants et elle grand-mère.
Pour moi, rien d’autre ne peut expliquer la tristesse qui émanait de son regard.
[7] Le ʺrʺ roulé, Rabat.
Érigée en ʺcapitaleʺ par le colonialisme français qui a transformé un sultanat moribond en ʺmonarchie héréditaire de droit divinʺ, au service du système impérialo-colonialo-sioniste.
[8] Le ʺrʺ roulé.
[9] Il est retourné dans cette ville lorsqu’il a eu le brevet des études secondaires à Lkhmiçaate.
Il vivait avec sa mère et sa tante maternelle qui considérait qu’il était son fils.
Il n’a pas tardé à épouser donc ma sœur qui avait elle aussi arrêté les études au collège et avait un emploi à Agadiir.
[10] En dehors de l’intermède de la scolarité à Lkhmiçaate, il a toujours vécu avec elles.
[11] Chaîne montagneuse au Maroc.
[12] Il veut dire qu’il n’aurait pas la situation qu’il a aujourd’hui.
[13] Quartier à Rbaate, autrefois réservé principalement aux colons français.
[14] Elle voulait certainement dire si un jour, tu maltraites encore cette femme ou si tu lui manques encore de respect.
[15] Dans un texte en date du 11 décembre 2006, mis sur leʺblogʺ qu’il tenait.
[16] Il y a des cas bien sûr où ce sont les femmes qui ne se soucient pas de respecter les exigences du mariage.
[17] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
L’Islaam se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité) qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la Prière (assalaa, assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur (azzakaate), le jeûne du mois de ramadaane (assawme) et le pèlerinage (alhajj) à la Maison Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise Alka’ba, la Kaaba à Makka, la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait (alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier (la Résurrection) et à la Prédestination qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe rapporté dans ″Sahiih Moslime″, Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un égarement évidentʺ.
Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[18] Qu’Allaah pardonne nos faiblesses, nos incapacités, nos fautes, nos manquements, et nous aide à faire de notre mieux pour nous améliorer dans Sa Voie.
[19] A-t-elle eu cette lettre ? La garde t-elle toujours ? Son époux en a-t-il pris connaissance ? Et les enfants ?
[20] Je n’ai toujours pas de contact avec lui.
[21] Assabr (le ʺrʺ roulé).
[22] Trois garçons et deux filles.
[23] Attalaaq.
[24] De satan.
[25] Paix sur vous.
C’est la formule utilisée par les croyants et les croyantes pour saluer les croyants et les croyantes.
[26] Après la difficulté, la facilité.
[27] Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
[28] Si Allaah veut.
[29] Tes guillemets me racontent beaucoup de choses.
[30] Allaah aime les repentants (attawwaabiine), accepte le repentir (attawba), à condition que la personne qui se repent, n’attende pas le moment de son agonie pour le faire.
[31] Aljahl.
[32] Almouminoune wa almouminaate.
[33] Alamr bilma’rouf wa annahy ‘ane almonekar (les ʺrʺ roulés).
[34] Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre 1), Alfaatiha, aayate 6 et aayate 7 (verset 6 et verset 7).
Récitée à chaque ʺrak’aʺ (cycle d’actes), de chaque prière.
[35] Raadiya mardiya (les r roulés).
[36] Alqoraane (Le Coran), sourate 89 (chapitre 89), Alfajr (le r roulé), L’Aube, aayate 27 à aayate 30 (verset 27 au verset 30).
[37] Pendant les années d’enfance et d’adolescence, il se rendait avec son frère au Maroc pendant les vacances d’été.
Moi je n’y allais pas.
[38] Le mari de ma soeur.
Au Maroc, les termes ʺoncleʺ et ʺtanteʺ ne sont pas utilisés que dans le cadre de la filiation.
Ils servent aussi à s’adresser, entre autres, à des personnes plus âgées par exemple.
[39] Il s’est lancé dans l’élevage du poulet ʺen partant de rienʺ selon l’expression consacrée, puis tirant profit de certaines combines alimentées et entretenues par le régime corrompu qui sévit au Maroc, il s’est fait de l’argent.
[40] Le plus jeune fils.

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