Empêchée
d’occuper le fauteuil moelleux de présidente de la Birmanie en raison d’une
« tambouille » dite politique, « tambouille » très répandue
dans les pays dits du Tiers monde,[1] et après
des élections dites législatives où le succès lui a été concédé, « la
star » Aung San Suu Kyi a proposé son ex-chauffeur à la présidence de ce
pays où la population musulmane résiste à l’une des pires oppressions.
En
effet, en Birmanie, la population attachée à l’Islaam résiste à une oppression
indescriptible et beaucoup, à travers le monde, applaudissent les
« nécessaires pour protéger le monde du péril slamiste » !
La
Birmanie pour les médias c’est « la star » Aung San Suu Kyi.
Lauréate
du « prix Nobel de la paix » en 1991,[2] décorée
pour son action en faveur des « droits de l’homme » et de la
« démocratie », membre du « parlement » de la dictature
militaire, après des années en résidence surveillée, elle est reçue et fêtée
par divers pays, avec « tout le tralala ».
Cette
femme « symbole de l’opposition à la dictature militaire »,[3] ne se
soucie pas de l’horrible condition des moslimiine[4] et des
moslimaate de Birmanie,[5] une
population de plus de 800.000 personnes, dont les membres sont traités comme
des déchets dont il faut se débarrasser.[6]
BOUAZZA
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