Des personnes[3] que
la Birmanie n’arrive pas à exterminer, en dépit des multiples tentatives.
Pour
ce pays, l’intérêt des médias est concentré depuis un certain temps déjà, sur
« la star » : Aung San Suu Kyi.
Lauréate
du « prix Nobel de la paix » en 1991,[4]
décorée pour son action en faveur des « droits de l’homme » et de la
« démocratie », membre du « parlement » de la dictature
militaire, après des années en résidence surveillée, elle est reçue et fêtée
par divers pays, avec « tout le tralala ».
Cette
femme « symbole de l’opposition à la dictature militaire »,[5] ne se
soucie pas de l’horrible condition des moslimiine et des moslimaate de Birmanie,
une population de plus de 800.000 personnes,[6] dont
les membres sont traités comme des déchets dont il faut se débarrasser.[7]
Dernièrement,
empêchée d’occuper le fauteuil moelleux de présidente de la Birmanie en raison
d’une « tambouille » dite politique, « tambouille » très
répandue dans les pays dits du Tiers monde,[8] et
après des élections dites législatives où le succès lui a été concédé,
« la star » a proposé son ex-chauffeur à la présidence de ce pays.[9]
« La
star » fera partie du gouvernement bien entendu.
Peter
Popham, dans une biographie de « la star »,[10]
rapporte qu’elle a été furieuse d’avoir été interviewée[11] par
une journaliste musulmane,[12] sur
les horreurs auxquels font face les musulmans et les musulmanes en Birmanie.
« La
star » furieuse a déclaré, hors caméra :
« Personne
ne m’a dit que j’allais être interviewée par une musulmane ».
BOUAZZA
[1] Musulmans.
[2] Musulmanes.
[3] Dits
les Rohingyas.
[4] Selon le calendrier dit
grégorien.
[5] Toujours aux commandes,
pour veiller sur les intérêts des décideurs au niveau international.
[6] De plus d’un million trois
cent mille personnes selon d’autres données.
[7] Il
n’y a pas qu’en Birmanie.
Partout,
tout est fait pour éradiquer l’Islaam.
[8] Plus que dans d’autres.
[9] Il a été élu Président
bien sûr.
[10] The lady and the
generals, Aung San Suu Kyi and Burman’sstruggle for freedom (la dame et les
généraux, Aung San Suu Kyi et la lutte de la Birmanie pour la liberté).
[11] En octobre 2013 selon le
calendrier dit grégorien.
[12] Mishal Husain,
présentatrice Pakistano-britannique de la BBC.
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