Lettre ouverte au Tribunal de Grande Instance de Paris
14e chambre
correctionnelle. Audience du 31 mai 2016.
No Parquet: 12185050023.
Procès (présumé) de la LDJ (Ligue
de Défense Juive).
Monsieur le président,
Je suis cité comme victime à ce
procès, suite à mon agression du 5 juillet 2012. Mais je vous annonce que je
n’ai pas l’intention de m’y présenter.
Je ne participerai pas à cette
parodie de justice et ne la cautionnerai pas par ma présence. Votre
« justice » dite française est totalement soumise au lobby
judéo-sioniste lorsqu’il s’agit de traiter des questions impliquant des
représentants de la « Communauté organisée ».
Et je vais vous en apporter la
preuve.
Le 12 mars 2012, juste avant de
donner une conférence dans un café du 6e arrondissement, 7 à 8
individus m’ont agressé, insulté, menacé. C’était une agression préméditée et
en réunion. Assumée, signée et revendiquée, puisque la LDJ a posté sur son site
la vidéo de mon agression. Accompagnée de commentaires qui auraient mérité à
eux seuls l’attention du Parquet, d’ordinaire si pointilleux.
En tant que magistrat, vous savez
ce que cela aurait dû coûter aux agresseurs.
Or, que croyez-vous qu’il
arriva ? Ma plainte a été enterrée. Sans aucune instruction. Après un
« délai de décence », l’affaire a été classée sans suite. Il ne s’est
rien passé. Circulez ! Il n’y rien à voir.
Enfin quoi ! Dans la France
« sionisée » d’aujourd’hui, on ne peut pas condamner des juifs
sionistes ! Je vous laisse imaginer si un groupe de fanatiques barbus,
islamistes, hargneux, violents (pardon pour le quadruple pléonasme) s’était attaqué de la sorte à un écrivain
juif du CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France) Au
minimum une réception à Matignon.
Quels ont été les mécanismes
mystérieux qui ont amené la tenue de ce procèsdu 31 mai ? La promesse d’un
sursis ? Des garanties occultes ? Ou l’exfiltration des accusés dans
leur vraie patrie, Israël ?
Notre justice s’est toujours
montrée à la hauteur de sa réputation : Couchée devant le Pouvoir.
L’ironie de l’Histoire veut que cette « justice » qui avait appliqué
avec un zèle digne d’éloges les lois de Vichy contre les avocats et les
magistrats juifs, se met au service de ceux qu’elle avait jadis traqués, en
fermant les yeux sur leurs exactions criminelles (les trafiquants
essentiellement juifs à la TVA et à la taxe carbone portant sur des milliards
et coulant des jours heureux en Israël) en offrant l’impunité à leurs nervis
(LDJ et Bétar) en cédant à toutes leurs exigences (condamnation de la
« quenelle » ou création d’un délit sans aucune base juridique, cela
s’appelle de la forfaiture) et en couvrant les parties civiles juives de
rentrées financières sous formes d’amendes exorbitantes.
Bref, les judéo-sionistes ont
aujourd’hui la belle vie. Mais demain ? Sont-ils conscients que cette même
« justice » se retournera contre eux lorsque les rapports de force
auront évolué ? Avec la hargne de ceux qui prennent leur revanche sur des
décennies d’humiliations et de soumissions.
Votre parodie de
« justice », votre mascarade, votre veulerie, vous la ferez bien
entre vous, sans ma présence. Veillez tout de même, Monsieur le Président, à ne
rien faire qui puisse froisser la susceptibilité extrême du président du CRIF.
On ne connaît pas précisément les arcanes des hautes nominations, mais une
échine souple et une compréhension intuitive des directives ne sont pas de trop
pour arriver. Mais puisque vous êtes là où vous êtes, je ne me fais aucune
inquiétude. L’honneur des bons juifs sortira lavé de ce mystérieux procès.
Jacob Cohen
Paris, le 21 mai 2016.
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