L’agité
du bocal, Manuel Valls, le premier ministre socialiste de François Hollande,[1] le
figurant révolutionnaire de gauche, ne comprend pas.
Surfer
sur la haine de l’Islaam et sur la propagande pour le sionisme, il sait faire.
Il
se sentait irrésistible, transfiguré par son adoration de ce qui est ferme.
Et
voilà qu’il n’est plus le même : le ferme s’est ramolli, il n’arrive pas à
le durcir, et ne comprend pas l’inutilité de ses soubresauts.
BOUAZZA
[1]
Installé sur le trône du Palais de l’Élysée, comme Président de la République,
en mai 2012 (selon le calendrier dit grégorien), en remplacement de son alter
ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.
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