Un
matin du 24 mai 2016,
l’émission radiophonique, « la fabrique d’histoire », de France
Culture, diffuse un bavardage du Président de la République, fier de dire qu’il
« fait l’Histoire ».
Durant
son niquennat,
il a « fait l’Histoire » en se distinguant par des virées en scooter
pour tirer un coup
chez une actrice.
Attaché
à une certaine idée de « faire l’Histoire », il gardait son casque à
l’entrée de l’immeuble, pour se donner peut-être, une contenance !
Le
matin, « les gardes des corps » étaient chargés d’apporter au couple
des croissants.
Cette
manière de « faire l’Histoire » a commencé avant la répudiation de la
concubine du Palais,
par un
coup de fil à l’AFP.
Il a
« fait l’Histoire » aussi, en nommant la première concubine,
ministre
de l’écho-logis,
du développement dur-able et de laine érgie ?
Il a
« fait l’Histoire » également, sur d’autres concubines pas
« officielles ».
Ce
volet de l’Histoire de France
qui
souligne qu’il n’y a pas que le sexe, mais qu’il y a aussi le cul, reste
privilégié par « les faiseurs d’Histoire », qui se veulent les guides
des sans-dents.
Des chro-niqueurs et des chro-niqueuses,
dressés pour se contorsionner et s’adonner à la danse du ventre, se chargent de
l’emballage pour fourguer cette façon de « faire l’Histoire ».
Ces
serviteurs de magnats de médias, qui ont
déversé, déversent et déverseront leurs bavardages en mots salis, enlaidis,
abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris,
nauséabonds, grossissent le flot des maux charriés par l’imposture.
Le figurant qui tient à faire savoir qu’il « fait l’Histoire »,
François Hollande,
le
loque à terre
depuis mai 2012 du « trône » du Palais de l’Élysée, à la place de son
alter ego, Nicolas Sarkozy,
veut y
rester encore un quinquennat,
mais
Nicolas Sarkozy veut réoccuper le « trône ».
les
décideurs ne donneront-ils « le choix » qu’entre la diarrhée
et la
chiasse ?
Les
zélés cteurs
et les zéléés ctrices
sentent-ils une « différence » ?
Auront-ils
du « nez » pour faire la « distinction » ?
La
diarrhée s’inquiète et frise l’obsession par crainte de ne pas laisser une « trace
dans l’Histoire ».
Comme
beaucoup de ses prédécesseurs, François Hollande fait là où il lui est dit de
faire, et il y déverse tout ce qu’il peut, afin de rester encore cinq ans au
Palais, et augmenter ses chances de « laisser une trace » !
« Faire
l’Histoire » ainsi convient bien entendu, au système
colonialo-impérialo-sioniste, imposé par la France et d’autres États.
Ce
système, dont le rôle dirigeant est tenu par les USA,
intervient depuis des lustres quand il veut,
comme il veut, où il veut.
Il
alimente et entretient à travers le monde, les oppressions, les pillages, les massacres,
les destructions, et autres.
Doté
d’avions bombardiers des plus performants dans les exterminations, de flottes
maritimes pour les agressions, d’innombrables chars de carnage, de missiles,
d’équipements militaires les plus récents, d’armements sophistiqués, d’armes
nucléaires, de drones qui multiplient les assassinats, le système
colonialo-impérialo-sioniste est fier d’annoncer qu’il extermine des
« terroristes » pour « écarter la menace contre la paix universelle » !
Ce
système sème la terreur en continuant à répandre des horreurs partout, contre
des populations qui n’ont pas d’avions bombardiers, pas de flottes maritimes,
pas de chars, pas de missiles, pas d’équipements militaires les plus récents,
pas d’armements sophistiqués, pas d’armes nucléaires, pas de drones.
L’Afrique
qui a connu, entres autres, le colonialisme français pendant des dizaines
d’années et plus, a été amputée d’une importante partie de ses populations,
exterminées dans des massacres, des destructions, et des horreurs qui dépassent
l’imagination.
Massacres,
destructions, et horreurs auxquels la gauche a participé, et participe.
Les
populations d’Afrique
continuent
de connaître des agressions qui se poursuivent depuis des siècles : avant
le colonialisme, pendant l’esclavagisme, durant le colonialisme, avec
« l’indépendances dans l’interdépendance ».
Les
occasions ne manquent pas pour blablater sur les tas de droits
par
exemple, en poursuivant les pillages, les persécutions, les oppressions, les
destructions et autres.
En France,
chaque fois qu’un figurant est installé sur le trône du Palais de l’Élysée, il
rend visite aux employés des colonies, serviteurs du système
colonialo-impérialo sioniste, dits « chefs d’État », pour répandre la
diarrhée verbale, supposée apporter « un nouveau parfum » aux
indigènes !
François
Hollande, conformément à la règle de ceux qui, au niveau international,
distribuent les rôles aux figurants, et tiennent encore à ce que l’Afrique
continue d’être une décharge d’immondices, n’a pas manqué de le faire.
Le
système colonialo-impérialo-sioniste continue de semer la terreur.
Des
agressions sont menées partout.
Des coups inimaginables sont montés.
Des manipulations incroyables sont pratiquées.
Des mensonges éhontés sont servis.
Des
amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la
règle.
Et la
désinformation ne recule devant rien.
L’imposture,
encore l’imposture, toujours l’imposture.
BOUAZZA
La deuxième concubine a écrit un bouquin suite à sa
répudiation, qui rapporte beaucoup sur ce révolutionnaire de gauche, habitué à
désigner les populations de la France d’en bas, par l’expression méprisante de
ʺsans-dentsʺ.
La diarrhée con-tinue de se répandre, et la chiasse
fait de même.
Les zélés cteurs et les zélées ctrices ont télu (ont
élu) une fois la chiasse et une fois la diarrhée.
Pour 2017, les deux con-courent pour le ʺtrôneʺ de
l’Élysée.
Les décideurs n’ont pas encore tranché entre ces
merdes et d’autres, et con-tinuent de faire croire aux zélés cteurs et aux
zélées ctrices qu’ils ont du ʺnezʺ pour distinguer et choisir entre les
parfums.
C’est ta muzan (c’est amusant), non ?
Les colonies et autres contrées dites du
« tiers-monde », restent pour les métropoles des réserves de matières
premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points
stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des
armements, des lieux de pédophilie et autres ʺloisirs pour touristesʺ, des
dépotoirs multiples et variées.