Un
matin du 24 mai 2016,[1]
l’émission radiophonique, « la fabrique d’histoire », de France
Culture, diffuse un bavardage du Président de la République, fier de dire qu’il
« fait l’Histoire ».
Durant
son niquennat,[2]
il a « fait l’Histoire » en se distinguant par des virées en scooter
pour tirer un coup[3]
chez une actrice.[4]
Attaché
à une certaine idée de « faire l’Histoire », il gardait son casque à
l’entrée de l’immeuble, pour se donner peut-être, une contenance !
Le
matin, « les gardes des corps » étaient chargés d’apporter au couple
des croissants.
Cette
manière de « faire l’Histoire » a commencé avant la répudiation de la
concubine du Palais,[5] par un
coup de fil à l’AFP.[6]
Il a
« fait l’Histoire » aussi, en nommant la première concubine,[7] ministre
de l’écho-logis,[8]
du développement dur-able et de laine érgie ?[9]
Il a
« fait l’Histoire » également, sur d’autres concubines pas
« officielles ».
Ce
volet de l’Histoire de France[10] qui
souligne qu’il n’y a pas que le sexe, mais qu’il y a aussi le cul, reste
privilégié par « les faiseurs d’Histoire », qui se veulent les guides
des sans-dents.[11]
Des chro-niqueurs et des chro-niqueuses,[12]
dressés pour se contorsionner et s’adonner à la danse du ventre, se chargent de
l’emballage pour fourguer cette façon de « faire l’Histoire ».
Ces
serviteurs de magnats de médias, [13] qui ont
déversé, déversent et déverseront leurs bavardages en mots salis, enlaidis,
abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris,
nauséabonds, grossissent le flot des maux charriés par l’imposture.
Le figurant qui tient à faire savoir qu’il « fait l’Histoire »,
François Hollande,[14] le
loque à terre[15]
depuis mai 2012 du « trône » du Palais de l’Élysée, à la place de son
alter ego, Nicolas Sarkozy,[16] veut y
rester encore un quinquennat,[17] mais
Nicolas Sarkozy veut réoccuper le « trône ».
Auront-ils
du « nez » pour faire la « distinction » ?[22]
Suce
pince ![23]
La
diarrhée s’inquiète et frise l’obsession par crainte de ne pas laisser une « trace
dans l’Histoire ».
Comme
beaucoup de ses prédécesseurs, François Hollande fait là où il lui est dit de
faire, et il y déverse tout ce qu’il peut, afin de rester encore cinq ans au
Palais, et augmenter ses chances de « laisser une trace » !
« Faire
l’Histoire » ainsi convient bien entendu, au système
colonialo-impérialo-sioniste, imposé par la France et d’autres États.
Ce
système, dont le rôle dirigeant est tenu par les USA,[24] intervient depuis des lustres quand il veut,
comme il veut, où il veut.
Il
alimente et entretient à travers le monde, les oppressions, les pillages, les massacres,
les destructions, et autres.[25]
Doté
d’avions bombardiers des plus performants dans les exterminations, de flottes
maritimes pour les agressions, d’innombrables chars de carnage, de missiles,
d’équipements militaires les plus récents, d’armements sophistiqués, d’armes
nucléaires, de drones qui multiplient les assassinats, le système
colonialo-impérialo-sioniste est fier d’annoncer qu’il extermine des
« terroristes » pour « écarter la menace contre la paix universelle » ![26]
Ce
système sème la terreur en continuant à répandre des horreurs partout, contre
des populations qui n’ont pas d’avions bombardiers, pas de flottes maritimes,
pas de chars, pas de missiles, pas d’équipements militaires les plus récents,
pas d’armements sophistiqués, pas d’armes nucléaires, pas de drones.[27]
En France, les crimes de la gauche comme ceux de la
droite, et autres, sont niés par des discours qui, invariablement, continuent
d’être servis sous couvert de « défense de la civilisation » !
« Les ennemis de la civilisation » étant
pour le système colonialo-impérialo-sioniste, les « indigènes »,[28] dans
leurs diverses composantes.
L’Afrique
qui a connu, entres autres, le colonialisme français pendant des dizaines
d’années et plus, a été amputée d’une importante partie de ses populations,
exterminées dans des massacres, des destructions, et des horreurs qui dépassent
l’imagination.
Massacres,
destructions, et horreurs auxquels la gauche a participé, et participe.
Les
populations d’Afrique[29]continuent
de connaître des agressions qui se poursuivent depuis des siècles : avant
le colonialisme, pendant l’esclavagisme, durant le colonialisme, avec
« l’indépendances dans l’interdépendance ».[30]
Les
occasions ne manquent pas pour blablater sur les tas de droits[31] par
exemple, en poursuivant les pillages, les persécutions, les oppressions, les
destructions et autres.[32]
En France,
chaque fois qu’un figurant est installé sur le trône du Palais de l’Élysée, il
rend visite aux employés des colonies, serviteurs du système
colonialo-impérialo sioniste, dits « chefs d’État », pour répandre la
diarrhée verbale, supposée apporter « un nouveau parfum » aux
indigènes !
François
Hollande, conformément à la règle de ceux qui, au niveau international,
distribuent les rôles aux figurants, et tiennent encore à ce que l’Afrique
continue d’être une décharge d’immondices, n’a pas manqué de le faire. [33]
Le
système colonialo-impérialo-sioniste continue de semer la terreur.
Des
agressions sont menées partout.
Des coups inimaginables sont montés.
Des manipulations incroyables sont pratiquées.
Des mensonges éhontés sont servis.
Des
amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la
règle.
Et la
désinformation ne recule devant rien.
L’imposture,
encore l’imposture, toujours l’imposture.
BOUAZZA
[1]
Selon le calendrier dit grégorien.
[2]
Quinquennat, dit ʺniquennatʺ par FrédéricMitterrand, le neveu de François
Mitterrand.
Ce
neveu, ex-ministre de la cul-ture de Nicolas Sarkozy, a parlé du ʺquinquennat
de François le niqueurʺ, le ʺCasanovaʺ à la Hollandaise et son sex-appeal (sexe
à piles).
Interview à une radio belge le 16/01/2014.
[3]
Pendant que la concubine au Palais avait la fonction de maîtresse
ʺofficielleʺet qu’avant le Palais, lorsqu’ils ont commencé à s’envoyer en
l’air, elle était mariée et lui avait une concubine à la maison, avec des
enfants.
[4]
Julie Gayet.
[5]
Valérie Trierweiler.
[6]
Agence France Presse.
[7]
Qui ne l’est plus.
Ségolène
Royal, qui a connu le cabinet de l’Élysée au temps de son tonton François
Mitterrand qui l’avait quand il voulait pour l’initier à certaines pratiques de
la gauche caviar.
Par
la suite, elle a été installée sur divers fauteuils moelleux, ministériels et
autres.
Au
re-maniement du 11 février 2016, elle a augmenté sa part du gâteau, pour
devenir ministre de l’environnement, de l’énergie et de la mer, chargée des
relations internationales sur le climat.
[8]
L’écologie
[9]
L’énergie.
[10]
Et d’ailleurs.
[11] La deuxième concubine a écrit un bouquin suite à sa
répudiation, qui rapporte beaucoup sur ce révolutionnaire de gauche, habitué à
désigner les populations de la France d’en bas, par l’expression méprisante de
ʺsans-dentsʺ.
Valérie Trierweiler, Merci pour ce moment,
éditions les Arènes, Paris 2014.
[12]
Des chroniqueurs et des chroniqueuses.
[13] En
traitant des médias, il est nécessaire de ne pas perdre de vue qu’en général,
Qu’ils soient de droite, de gauche ou autres, les médias appartiennent
généralement à des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés par des
individus dits décideurs, qui alimentent et entretiennent ce qui sert leurs
intérêts dans le cadre d’une institution, d’un régime, d’un système, ou autres.
C’est
dire que les journalistes, et autres personnels des médias, sont des employés
tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le
discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe
que ceux et celles qui le veulent bien.
[14] Le
socialiste, le révolutionnaire de gauche, qui dilapide des millions d’euros
pour faire ripaille au Palais.
[15]
Locataire.
[16] Le
figurant, révolutionnaire de droite, qui a été débarqué du ʺtrôneʺ du Palais de
l’Élysée en mai 2012, pour être remplacé par son alter ego, le figurant,
révolutionnaire de gauche, François Hollande.
[17] Un
niquennat, pour con-tinuer à niquer.
[18]
François Hollande.
[19]
Nicolas Sarkozy.
[20]
Les électeurs.
[21]
les électrices.
[22] La diarrhée con-tinue de se répandre, et la chiasse
fait de même.
Les zélés cteurs et les zélées ctrices ont télu (ont
élu) une fois la chiasse et une fois la diarrhée.
Pour 2017, les deux con-courent pour le ʺtrôneʺ de
l’Élysée.
Les décideurs n’ont pas encore tranché entre ces
merdes et d’autres, et con-tinuent de faire croire aux zélés cteurs et aux
zélées ctrices qu’ils ont du ʺnezʺ pour distinguer et choisir entre les
parfums.
C’est ta muzan (c’est amusant), non ?
[23]
Suspense.
[24] United
States of America, les États unis d’Amérique, construits par des Européens sur
le génocide des Indiens, sur l’esclavage, sur la terreur, sur l’utilisation des
bombes atomiques et sur d’innombrables autres massacres, destructions, et horreurs
qui continuent
Aujourd’hui,
première puissance atomique, les USA sèment l’intimidation, la peur, les atrocités,
et terrorisent des populations dans le monde entier.
[25] Avec
l’arrogance de quelqu’un qui a été installé pendant huit ans à la Maison Blanche,
et dont le sexe sans frontière fait partie de ses principales occupations, Bill
Clinton aurait fait savoir que lorsque les sondages lui déplaisaient, il
demandait à l’armée de lui indiquer un ennemi.
[26] Cette
imposture présente des habitants du ″Yemen″ par exemple, l’un des pays les plus
démunis, comme une menace contre le monde !
Lorsque
le prince Harry par exemple s’ennuie et veut s’amuser, il rejoint la
soldatesque de Grande Bretagne pour participer aux massacres, aux destructions,
et aux horreurs en Afghanistan envahi par les USA et leur coalition.
Il
a comparé cela à des jeux vidéo.
[27] Le
système colonialo-impérialo-sioniste est le producteur du simple pistolet à la
bombe atomique et aux armes les plus sophistiquées.
C’est
lui qui alimente le marché des ventes et des trafics d’armes, qui provoque, qui
entretient et qui oriente les affrontements armés au niveau mondial.
[28]
Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme français aux
populations des territoires colonisés.
[29] Et
d’ailleurs.
[30] Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États", dont ceux dits ″musulmans″, sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison,
la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le
mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[31] L’État
de droit.
[32] Les colonies et autres contrées dites du
« tiers-monde », restent pour les métropoles des réserves de matières
premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points
stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des
armements, des lieux de pédophilie et autres ʺloisirs pour touristesʺ, des
dépotoirs multiples et variées.
[33] Il a
fait un discours à Dakar au Sénégal, et un autre dans une autre région
d’Afrique dite le Congo, où s’est tenu, paraît-il, un ″sommet″
dit de la ″francophonie″ dont la ministre (renvoyée depuis),
Yamina Benguigui qui en avait la charge, paraît-il, ne savait même pas ce que le mot
″francophonie″ veut dire.
Le
figurant a fait aussi un discours à Alger et à Rabat.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire