Le
président de l’agité du bocal, le socialiste révolutionnaire de gauche,
François Hollande,[1]
a toujours fait où il lui a été dit de faire.
Il
était donc con-vaincu qu’il allait être autorisé en 2017, à rester sur le
trône, comme loque à terre[2] du
palais de l’Élysée, pour encore un quinquennat.[3]
Et
l’agité du bocal,[4]
également con-vaincu, qui n’a pas cessé de gesticuler pour « ça »,[5]
prendrait la suite en 2022.
Mais,
a-t-on soufflé à l’agité du bocal, les décideurs peuvent le choisir dès 2017.
Il était premier ministre lorsqu’il a appris que les
décideurs ont choisi de ne pas garder son président pour un deuxième mandat.
Au début du mois de décembre 2016, il a quitté son
fauteuil moelleux à Matignon, pour se préparer au trône du palais de l’Élysée.
Dans ce parcours, la primaire[6] du
parti socialiste ne devait être qu’une pure formalité dans la mascarade pour
faire croire que ce sont les zélés cteurs[7] et
les zélées ctrices[8] qui décident.
Et
voilà qu’il a été éjecté.
Pourtant,
il a tout fait comme la droite.
Devant
les caméras par exemple, pour montrer qu’il est un homme d’État, il a toujours
retiré son manteau, signé, comme le reste, par de « grands
couturiers » de la Ré-pub-lique.
Manteau
immédiatement récupéré par un employé porte manteau, un sans dents,[9] comme
dirait François Hollande, le socialiste révolutionnaire de gauche.
C’est
comme lorsqu’un officiel fait deux pas en dehors des véhicules dits de service,
et que des gouttes de pluie sont susceptibles de l’atteindre, il faut également
qu’un employé porte parapluie, un sans dents, se précipite avec un parapluie
justement, pour empêcher les gouttes de pluie d’atteindre l’officiel.
L’agité
du bocal n’a jamais perdu de vue l’étable de la loi,[10] les tas
de droits,[11]et
a parfaitement intégré que la droite[12] c’est
la gauche,[13]
que la gauche c’est la droite, et que la pratique de l’une, comme celle de
l’autre, se traduit dans un jeu de figurants soumis à une mise en scène des
mêmes décideurs.[14]
Son
arrogance et son autoritarisme sont connus, ses agressions contre l’Islaam sont
d’une haine inouïe, ses insultes et ses attaques contre les immigrés[15] sont
largement diffusées, son mépris pour tout ce qui pourrait déplaire aux
décideurs est clairement affiché, son agitation
incantatoire
qui consiste à répéter tout le temps et sur tout les tons « laïcité,[16]
République »,[17]
« laïcité, République », « laïcité, République »,[18] est
toujours à la sauce des décideurs.
Il a
toujours fait où il lui a été dit de faire, comme ses prédécesseurs
Par
ses efforts, dans de multiples domaines pour faire mieux que Sarkozy,[19] il a
toujours cherché à montrer qu’il peut mieux servir le système
colonialo-impérialo-sioniste.
Concernant
la résistance contre l’occupation de la Palestine[20] par
exemple, et les enfants qui affrontent, avec des pierres, les armes de
destruction massive utilisées par la colonisation sioniste depuis des dizaines
d’années, il a défendu, bien sûr, l’occupation comme toutes les tendances
politiques de France et de Navarre, mais n’a pas hésité, lui, à soutenir sans
relâche, que la résistance contre le sionisme doit être réprimée, au même titre
que l’antisémitisme.
Á la
mort[21] de
Shimon Pérès, l’un des dirigeants de la colonisation sioniste en Palestine, il
a déclaré que le monde était en deuil.
Alors,
pourquoi il a été éjecté ?
Il
ne comprend pas.
C’est
compliqué pour lui
Les
décideurs ne veulent plus de Hollande, [22] et
n’ont pas voulu reprendre Sarkozy,[23] sur le
trône de l’Élysée.
Ils
réservent le trône à un autre.
Mais
l’agité du bocal n’est pas découragé pour autant.
BOUAZZA
[1]
Installé sur le trône du Palais de l’Élysée en mai 2012 (selon le calendrier
dit grégorien), en remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite,
Nicolas Sarkozy.
[2] Locataire.
[3] Un
ʺniquennatʺ, comme l’a si bien dit le neveu de François Mitterrand, Frédéric
Mitterrand (ex-ministre de la cul-ture de Nicolas Sarkozy), en parlant du
ʺquinquennat de François le niqueurʺ, le ʺCasanovaʺ à la hollandaise et son
sexe à piles (sex-appeal).
(Interview
à une radio belge le 16/01/2014).
François
Hollande a tenu à souligner qu’ʺil fait l’Histoireʺ (émission radiophonique ʺla
fabrique d’histoireʺ, France culture, 24 mai 121016).
Durant
son niquennat, il a ʺfait l’Histoireʺ en se distinguant par des virées en
scooter pour tirer un coup chez une actrice (Julie Gayet), pendant que la
concubine au Palais avait la fonction de maîtresse ʺofficielleʺet qu’avant le
Palais, lorsqu’ils ont commencé à s’envoyer en l’air, elle était mariée et lui
avait une concubine à la maison, avec laquelle il a eu des enfants.
Attaché à une certaine idée de ʺfaire l’Histoireʺ, il
gardait son casque à l’entrée de l’immeuble où logeait l’actrice, pour se
donner peut-être, une contenance !
Le matin, ʺles gardes des corpsʺ étaient chargés
d’apporter au couple des croissants.
Cette manière de ʺfaire l’Histoireʺ a commencé avant
la répudiation de la concubine du Palais (Valérie Trierweiller).
Il a ʺfait l’Histoireʺ aussi, en nommant la première
concubine (Ségolène Royal, mère des enfants), ministre de l’écho-logis,
(l’écologie) du développement dur-able (durable) et de laine érgie (l’énergie).
Il a ʺfait l’Histoireʺ également, sur d’autres
concubines pas ʺofficiellesʺ.
Ce volet de l’Histoire de France qui souligne qu’il
n’y a pas que le sexe, mais qu’il y a aussi le cul, reste privilégié par ʺles
faiseurs d’Histoireʺ, qui se veulent les guides du pays.
[4] Manuel Valls, son ancien
ministre de l’intérieur, et premier ministre.
[5] Sa
femme aussi, ravie qu’un ″sondage″ révèle que de nombreuses françaises
rêvent de s’envoyer en l’air avec son Manuel, son ″grand amour″
(Le Point du 04/10/2013, internet).
Avec
la cinquième Ré-pub-lique, après Charles de Gaulle, et surtout depuis François
Mitterrand, le sexe s’expose au Palais de l’Élysée, un peu comme dans ″la télé réalité″ qui con-tribue à cette cul-ture.
[6] Une
élection à deux tours organisée par la gauche pour que le peuple de gauche
désigne son candidat à l’élection présidentielle.
La
droite a adopté aussi cette manière de faire, mais pas toute la droite, ni
toute la gauche.
Il
y a donc des candidatures en dehors des primaires.
[7] Les électeurs.
[8] Les électrices.
[9] Une des concubines que son président a répudiée par
un coup de fil à l’Agence France Presse (AFP), a écrit un bouquin suite à sa
répudiation, qui rapporte beaucoup sur ce président révolutionnaire de gauche,
habitué à désigner les populations de la France d’en bas, les pauvres, par
l’expression méprisante de ʺsans-dentsʺ.
Valérie Trierweiler, Merci pour ce moment,
éditions les Arènes, Paris 2014..
[10] Les tables de la loi.
[11] l’État de droit.
[12] Avec toutes ses
variantes.
[13] Avec toutes ses
variantes.
[14] Des
décideurs qui permettent que la gauche accumule les privilèges comme la droite,
qu’elle fasse partie du réseau, qu’elle s’empiffre de caviar (gauche caviar),
qu’elle occupe des fauteuils moelleux et tout ce qui va avec, pour con-tinuer,
et con-solider, comme la droite, la débauche, la cupidité, les détournements
d’argent, la corruption, les turpitudes, les combines, les tours de
passe-passe, les magouilles, le faux, l’usage de faux, les mensonges, les
insultes, les agressions, et autres.
Des décideurs qui s’y connaissent pour corrompre des
politiques, des élus, des magistrats, des avocats, des patrons, des
syndicalistes, des médecins, des professeurs, des intellectuels, des
journalistes, des écrivains, des artistes et autres.
Des décideurs qui offrent des emplois fictifs, des
fauteuils moelleux, des postes recherchés, des sièges dans diverses
institutions, des places au gouvernement.
Des décideurs qui élisent des présidents, qui
intronisent des rois et des reines, qui procurent de l’argent, des voyages, du
sexe sans frontières, de la drogue, et mille et une autres choses.
Des décideurs qui se chargent de réduire au silence,
quiconque ose porter atteinte à leurs intérêts.
Des
décideurs qui calomnient, diffament, salissent, humilient, écrasent,
détruisent, exterminent et taxent de tout ce qu’ils veulent, quiconque
n’approuve pas leurs pratiques.
Des
décideurs qui excellent dans la technique de ʺvictimiserʺ l’accusé et d’accuser
la victime.[14]
Des décideurs qui disposent de l’État comme instrument
de leur bon vouloir, pour agir à leur guise.
Des décideurs qui veillent sur leur fonds de commerce,
en se permettant tout, partout.
[15] Le mot ʺimmigrésʺ déclenche des synonymes qui
crépitent : voleurs, violeurs, violents, voyous, vagabonds, vauriens (et
ce n’est pas exhaustif).
Les ʺromsʺ, parmi d’autres, ne cessent d’être une
cible de cette haine.
Des campements sont rasés un peu partout par ʺla force
publique en exécution de décisions de la justiceʺ, et des populations, hommes,
femmes et enfants sont expulsés.
L’agité du bocal, ministre de l’intérieur, premier
flic de France comme il s’est défini fièrement lui-même, puis premier ministre
faisait tout pour faire régner l’ordre des décideurs.
Autrement dit, tout est entrepris contre ceux et
celles qui ne sont pas ʺintégrésʺ au désir de ʺl’autorité compétenteʺ, et donc
contre les ʺbandes de nomadesʺ dits ʺitinérantsʺ, ʺbohémiensʺ, ʺgens du
voyageʺ, ʺgitansʺ, ʺtziganesʺ, ʺmanouchesʺ, ʺromanichelsʺ et autres
qualificatifs méprisants et haineux, auxquels est greffé le mot ʺromsʺ qui est
traduit par invasion des délinquants venus de Roumanie.
Des chro-niqueurs et des chro-niqueuses, répètent que
les ʺromsʺ c’est des Roumains, que la Roumanie fait partie de l’Union
Européenne qui reconnaît ʺla liberté de circulationʺ aux européens en Europe,
mais pas aux ʺromsʺ.
C’est confus ?
Non, c’est clair.
Certains sont français, mais comme le sont des
maghrébins, c'est-à-dire des bougnoules, des ratons, des melons, des musulmans,
donc, des assassins, des terroristes,
des islamistes, et autres.
Des populations exclues et combattues depuis des
lustres, et pour lesquelles tous les amalgames sont permis.
C’est de leur faute, puisqu’elles refusent
ʺl’intégmilationʺ (contraction d’intégration et ’assimilation).
Toutes les arguties habituelles continuent de fleurir.
Toutes les agressions contre ces populations sont en
fait des actions ʺpour leur bienʺ, ʺpour les civiliserʺ.
Comme dans les colonies où toutes les destructions et
tous les massacres ont été entrepris, et continuent de l’être.
La
propagande entretient, par exemple, les amalgames et les ambiguités autour de
mauvais comportements de certaines catégories de populations qu’elle oppose les
unes aux autres pour servir les intérêts des imposteurs de droite, du centre,
de gauche et d’ailleurs, en alimentant et en entretenant encore et toujours le
faux, l’arrogance, le mépris, la haine, et autres.
En matière de rafles, de chasse au faciès, de
ratonnades et autres violations des droits les plus élémentaires de l’être
humain par exemple, la gauche vaut la droite.
Les colonisés et autres victimes en témoignent depuis
des lustres.
Dans les domaines de la droite, la gauche s’y connaît
et n’a de leçon à recevoir de personne.
[16]
Terme, qui dans l’histoire de France, renvoie à la lutte entre ʺle clergéʺ et
les tenants de l’idéologie dite ʺanti-cléricaleʺ.
Cette lutte a débouché sur ʺla séparation de l’Église
et de l’Étatʺ.
Aujourd’hui,
l’idéologie dite ʺlaïqueʺ sert à alimenter et à entretenir les agressions
contre l’Islaam, contre les croyants et les croyantes (almouminoune wa
almouminaate).
[17]
Institution dont se réclament pratiquement tous les ʺÉtatsʺ du monde, mais qui
est présentée en France, comme étant un immense privilège réservé à ce pays!
[18] Lors d’un meeting le 7 novembre 2016 à Neuilly dont
il était le maire de 1983 à 2002, Nicolas Sarkozy a expliqué que la République
c’est le refus d’envisager un menu de substitution dans les cantines scolaires,
pour les élèves ne mangeant pas de porc en raison de son interdiction à la
consommation, par l’Islaam.
La République, a-t-il ajouté, c’est aussi, lorsque le
menu est composé de jambon-frites, que ces élèves puissent être éventuellement
autorisés à demander une double ration de frites.
Á gauche, elle doit à Jean Pierre Chevènement par
exemple, d'avoir été conjuguée à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de
l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand.
Son tonton qui soutenait que l’Afrique du Nord c’est
la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman selon les canons de sa
loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Installé sur le trône du Palais de l’Élysée pendant
quatorze ans, le tonton était, bien entendu, un défenseur de la République.
En août 2016, Jean Pierre Chevènement a été désigné
par François Hollande pour être installé à la tête d’un organisme crée en 2005,
dit ʺla Fondation pour l’islam de Franceʺ.
Jean Pierre Chevènement a déclaré qu’il connaît bien
les musulmans parce qu’il est allé au Caire et à Alger.
Il a ʺconseilléʺ aux musulmans la discrétion.
[19]
Homme de la droite, ex-député, ex-président du conseil général des
Hauts-de-Seine, ministre plus d’une fois, ancien président de la République
française de 2007 à 2012, remplacé par son alter ego, le figurant de gauche,
François Hollande, il croyait qu’il pouvait retrouver le trône du palais de
l’Élysée en 2017, mais il a été éjecté dès le premier tour de la primaire.
[20] Filistiine.
[21] Le mercredi 28 septembre
2016.
[22] François Hollande, qui n’a pas été autorisé à briguer
un mandat pour rester encore cinq ans sur le trône.
[23] Nicolas Sarkozy, éjecté
dès le premier tour de la primaire de la droite.
[24] Manuel Valls.
[25] Manuel Valls, éjecté au
deuxième tour de la primaire de la gauche.
[26] Il compte encore.
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