« Bougnoules » fait partie des mots mis sur
le marché par les colonialistes français pour désigner les
« arabes », les « musulmans ».[1]
Ce mot qui a toujours cours, désigne en métropole des
personnes généralement issus du processus migratoire.
Aujourd’hui, le mot serait peut-être
« adapté »[2] à une
application aux « beurs » et aux « beurettes »,[3] et à
leurs semblables dans les colonies « arabo-musulmanes » dites
« indépendantes », qui se prêtent,[4] à des
manipulations destinées à poursuivre les agressions contre les croyants et les
croyantes.
Les mots « beurs » et
« beurettes » ont été mis sur le marché en France pour désigner,
« grosso modo », des « arabes »,[5] dits
« musulmans » estampillés pour être « intégrés »,
« assimilés »[6] et
par conséquent « déislamisés ».[7]
Le
« mérite » de ce « produit »
revient à la gauche, aux socialistes du temps de leur tonton François
Mitterrand et de l’équipe de propagande sioniste dite « touche pas à mon
pote ».[8]
Dans
les agressions contre les croyants et les croyantes,[9] de
multiples moyens sont mis en oeuvre, et les mots en font partie bien entendu.
Les
mots « beurs » et « beurettes », supposés vouloir dire
« arabes » en verlan, visent en réalité à continuer à porter atteinte
à la mémoire de personnes originaires de la colonie dite
« arabo-musulmane ».
Ils
visent à entretenir la confusion.[10]
Sous
couvert de « Ré-pub-lique » et de « laïcité » par exemple,
des « beurs » et des « beurettes » dites
« intégmilées »,[11] sont
brandis comme des trophées.
Une
manière de continuer les agressions contre l’Islaam,[12] tout en
faisant semblant d’admettre
ce
qui est appelé « lisse-lame-la-hic ».[13]
Des « beurs » et des « beurettes »
sont mis en scène.[14]
Les
médias[15] y
participent évidemment: Encensement de l’emballage, maquillage, tours de
passe-passe, et tout le toutim.
De
multiples « manifestations cul-turelles » sont organisées au nom de
« la Ré-pub-lique » et de la « laïcité », pour
« vanter » les plaisirs de « la diversité ».
Les
coups les plus inimaginables sont montés.
Les
manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les
mensonges les plus éhontés sont servis.
Dans
un dîner au champagne par exemple, une « beurette laïque », cheveux
sexy, « vêtement » suggestif, talons aiguilles, maquillage excitant,
est chargée de faire une déclaration devant les caméras.[16]
Les
parents de la « beurette laïque », installés, pour la circonstance,
avec les « grands », ne la reconnaissent pas.
D’ailleurs
la « beurette laïque » elle-même, en se voyant dans une glace, a du
mal à savoir qui elle est.[17]
Relookée.
Remodelée.
« Intégmilée » !
Dans
un décor « universel » et au son d’une musique de la
« Ré-pub-lique »[18] et de
la « laïcité », les caméras, toutes tendances
« politiques » con-fondues, sont braquées sur la représentante de « lisse-lame-la-hic ».
La
représentante fixe la caméra principale dans l’oeil et déclare :
« Ni
vendues ni achetées, nous sommes des personnes qui venons de partout, et qui
sommes, comme vous le savez, attachées à la « Ré-pub-lique et à la
« laïcité ».
Á la
« fran-cité ».[19]
Pour
nous, « lisse-lame-la-hic » est un mariage d’amour de la
« di-fir-cité »[20] et de
la « francité » justement.
Ce
mariage, c’est la marche qui continue, sous les hospices[21] de la
« Ré-pub-lique ».
Le
vacarme des applaudissements a fait croire à l’explosion d’une « bombe
islamiste », et les lieux ont été évacués, con-formément au « plan
mis en place à cet effet ».[22]
Les
« beurs » et les « beurettes » de ce genre, sont de plus en
plus « solli-cités » ![23]
Ils
déclament sur tous les tons et conjuguent à tous les temps leur allégeance à
« la Ré-pub-lique » et à la « laïcité ».
Avec
la « Ré-pu-lique » « laïque » rejetant l’Islaam et le
combattant depuis toujours ─ et encore plus en ces temps où tout est mis en
oeuvre pour s’attaquer partout aux croyants et aux croyantes accusés de tous
les maux ─ l’occasion leur est « offerte », en leur qualité de
« musulmans », de s’exprimer et de soutenir que « le déclin des
musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de
participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les
peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de
l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour
eux-mêmes et pour le reste du monde… »[24]
Ces
« intégmilés » participent aux agressions contre l’Islaam, tout en
prétendant militer pour la « renaissance » qui fera triompher un
« islam modéré », « cartésien », « rationnel »,
« civilisé », « laïc ».
Leurs
maîtres, « français de souche » [25] leur
ouvrent les médias qui « comptent », les maisons d’édition
« sérieuses », les cercles de « qualité » et les voilà qui
veulent en finir avec « les islamistes », pour renforcer la
« libération de la femme » ![26]
Ils
leur balisent le parcours, afin qu’ils empruntent de « nouveaux
sentiers ».
À la télévision, dans les locaux
d’autres médias, dans ceux du B.A.I.,[27] des
services de renseignements, d’espionnage, de contre-espionnage, de suivi des
« mouvances islamistes », la haine dégouline de partout.
Celle
contre le « voile »[28] n’arrête
pas de couler.
L’argent
provient de multiples officines pour financer des insanités, ressasser
d’inter-minables insultes et entretenir l’imposture.
Les
« intégmilés » sont satisfaits des os de porc à ronger qui leur sont
jetés.
Ils sont incités bien entendu à se combattre
mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la
« Ré-pub-lique », de ses organisations de toutes sortes et de tout ce
qui con-tribue à la tambouille de la « di-fir-cité ».
Ils
sont « évolués », mangent du « couscous au saucisson »,[29] boivent
de l’« alcool à la menthe »,[30] et sont
adeptes de la fornication et de l’adultère,[31]
« afic dii bites miou qu’ou blid ».[32]
Il
n’y a pas longtemps, un « instruit »[33] parmi
eux a déclaré :
─
« Voyez-vous, la broublimatic[34] de
lisse-lame est à situer dans le con-texte[35]
économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les
caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et
autres.
Sou
finoumin[36]
où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs
degrés.
Li
broumi digri[37]
se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le
premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[38] ce que
le con-frère[39]
appelle, en usant d’une sémantique conne-nue,[40] les
« hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[41]… ».
Une
conne soeur[42]
cul-tivée,[43]
bien introduite, insiste sur la « tôle errance »[44] et
parle de « pet ».[45]
Elle
connaît « les quartiers ».[46]
Elle
a une « attribution » au service de la « Ré-pub-lique » et
de la « laïcité », et jouit, dans un logement de fonction, avec vue
sur la Tour Eiffel.
Elle
jouit ailleurs aussi, avec vue sur autre chose, et toujours grâce à la
« Ré-pub-lique » et à « la laïcité »[47] qui lui
ont permis, répéte-t-elle, de s’ouvrir à tout.
Elle
est souvent présentée à des chro-niqueurs et à des chro-niqueuses pour
participer à des ébats,[48] et
con-solider « la libération de la femme » !
Elle
est née en métropole, et fait tout « pour
être à la page » ![49]
Elle
est originaire d’Afrique du Nord, issue du processus migratoire né du
colonialisme.
C’est un produit de la « colopole ».[50]
Du viol de la colonie[51]
par la métropole.
Elle
est ravie d’adopter des travers de la métropole, la société dite
« d’accueil », de les accentuer, et d’y ajouter celles de la colonie,
la société dite d’origine.[52]
Dans
les colonies « arabo-musulmanes » dites « indépendantes »,
des reproductions de « beurs » et de « beurettes »,
désignées autrement, se prêtent à tout ce qui entretient la haine contre
l’Islaam.
Ainsi, c’est dans cette optique que le terme
« bougnoules » peut paraître « adapté » pour s’appliquer à
des marionnettes, utilisées ici et là-bas, pour con-tinuer l’imposture.[53]
BOUAZZA
[1] C’est
à l’époque où je suis arrivé du Maroc en France pour des études universitaires,
que j’ai appris les appellations de bougnoules, melons,sales arabes et autres.
J’ai
commencé alors à vouloir comprendre les divers aspects du colonialisme, et
partant du processus migratoire auquel je ne connaissais rien.
Je
me suis donc lancé dans les ʺarcanesʺ de ces phénomènes concernant les
Africains, et plus particulièrement les Africains du Nord., les ʺbougnoulesʺ.
Et
au long des années, j’ai compris, de mieux en mieux, comment le colonialisme
français a imposé dans les colonies à des populations entières de chercher des
moyens de subsistance dans des conditions inimaginables.
Beaucoup
parmi elles, rurales, se sont trouvées dans des faubourgs de villes nouvelles
coloniales, contraintes de s’adapter à des modes de survie dans des
bidonvilles.
Ces
populations ont connu l’oppression et l’exploitation féroces, la
transplantation forcée dans leur pays d’origine, avant qu’elles ne soient obligées de le
quitter parfois.
Les
régimes mis en place dans les colonies par la suite et qui sévissent toujours,
ont accéléré les migrations pour répondre aux exigences de la métropole, et
pour en faire un trafic qui rapporte.
C’est
dire que le processus migratoire lié au colonialisme français, ne peut pas être
compris en occultant l’histoire de la transplantation d’êtres de sociétés
rurales, d’êtres colonisés, maintenus dans l’ignorance et la misère, dépossédés
et sans moyens dans des sociétés industrialisées.
La France a eu recours à la main d’œuvre colonisée et
transplantée en métropole et il a fallu de longues années pour que des
travailleurs immigrés, dans le cadre dit du regroupement familial, puissent
entreprendre des démarches afin de demander l’autorisation de faire venir leurs
femmes et leurs enfants.
Les
immigrés des colonies ne cessent de faire face à de multiples injustices et
agressions, qui n’épargnent pas ceux et celles qui ont obtenu la nationalité
française.
Le
processus migratoire a bien entendu divers ʺvisagesʺ que beaucoup s’acharnent à
défigurer, afin de masquer ce qu’ils veulent cacher.
Il
importe donc d’essayer sans cesse d’en saisir les développements, les
modifications, les changements, et autres.
[2] La signification est autre
bien sûr.
[3] Réponse du berger à la
bergère, comme dirait ʺl’autreʺ ?
[4] En le sachant ou pas.
[5] Mâles et femelles.
[7] Désintégrés en tant
qu’êtres susceptibles de s’attacher à l’Islaam.
[8] S.O.S. racisme.
[9] Almouminoune wa
almouminaate.
[10] Ceux et celles qui conduisent ces agressions, gonflés
d’orgueil et d’arrogance, donnent des leçons qu’ils ne s’appliquent pas à
eux-mêmes, sèment le faux et répandent les horreurs selon l’étable (les tables)
de leur loi, veulent imposer leur ʺHistoireʺ, avec hache majuscule, font
semblant de ʺs’offusquerʺ des effets de ce dont ils sont la cause, alimentent
et entretiennent l’imposture.
Ils ne comprennent pas les mots en mouvement, les mots
qui gomment les chimères, les mots qui éloignent les tentations, les mots qui
chassent les illusions les mots qui font voler en éclats les supercheries et
autres.
[11] Deux ou trois ministres, deux ou trois députés, deux
ou trois sénateurs, quelques présidents d’associations, des artistes, des
écrivains, des journalistes, des élus municipaux, départementaux, régionaux, et
peut-être bientôt deux ou trois maires, deux ou trois présidents de conseils
généraux et autres.
[12] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du
Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane
est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah
‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna
a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction
et la paix.
Lorsqu’on
parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été
rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur
lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane
n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna
procède d’Alqoraane.
L’Islaam
se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité)
qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la
Prière (assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur (azzakaate), le
jeûne du mois de ramadaane (assawme) et le pèlerinage (alhajj) à la Maison
Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise Alka’ba, la Kaaba à
Makka, à la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait
(alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses
Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier (la Résurrection) et à la Prédestination
qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le
voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu
de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe
rapporté dans ″Sahiih Moslime″ (Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les
croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les
endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs
d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens
de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les
invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il
n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son
Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon
d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un
égarement évidentʺ.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et
aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des
lustres, l’État (ou une institution semblable, appelée autrement) des
croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les
ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques,
les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations
arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations
répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les
propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes,
les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les
entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour
entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[13]
L’Islaam laïc.
[14] Ils sont présentés comme des ʺartistesʺ, des ʺstarsʺ,
des ʺécrivainsʺ, des ʺvedettes de la chansonʺ, des ʺcélébritésʺ auxquels des
ʺdistinctionsʺ sont remises avec le tapage des médias aux ordres, parce qu’ils
sont utilisés dans les agressions contre les croyants et les croyantes.
Ils sont ʺhonorésʺ d’être des gigolos, des étalons pour mâles et
femelles, des homosexuels, des lesbiennes, et autres.
[15] En
traitant des médias, il est nécessaire de ne pas perdre de vue qu’en général,
qu’ils soient de droite, de gauche ou autres, ils appartiennent ou sont
contrôlés par des fortunés qui font partie des décideurs qui alimentent et
entretiennent l’imposture, dans le cadre d’un régime ou d’un système.
C’est
dire que les journalistes sont des employés tenus de se soumettre à ce que
veulent ces décideurs.
Le
discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe
que ceux et celles qui le veulent bien.
[16] C'est-à-dire lire le
texte préparé à cet effet par les manipulateurs.
[17] Prenons l’Islaam, dit le
con-seiller au Palais de l’Élysée.
Dans
le cadre du marché dit politique, le produit ʺintégration-assimilationʺ,
désintégrera ceux et celles qui continuent à ne pas vouloir oublier cette
croyance.
La
ʺdésislamisationʺ, c’est à dire ʺl’intégration-assimilationʺ ira de l’avant.
Des ʺbeursʺ et des ʺbeurettesʺ vont se surpasser
ʺpour être à la pageʺ.
Chacun
d’eux est con-vaincu que la ʺdéislamisationʺ le ʺvaloriseʺ, et comprend qu’il
ne peut pas être ʺun bon françaisʺ, s’il ne rejette pas ʺle resteʺ.
[18] Lors
d’un meeting le 7 novembre 2016 à Neuilly dont il était le maire de 1983 à
2002, Nicolas Sarkozy (Homme de la droite, ex-député, ex-président du conseil
général des Hauts-de-Seine, ex-ministre plus d’une fois, ancien président de la
République française de 2007 à 2012, remplacé par son alter ego, le figurant de
gauche, François Hollande, il a mené, sans succès, campagne lors de la primaire
de la droite afin d’être candidat à l’élection présidentielle, pour retrouver
en mai 2017 son rôle de figurant, et être réinstallé sur le trône du palais de
l’Élysée)
a expliqué que la République c’est le refus
d’envisager un menu de substitution dans les cantines scolaires, pour les
élèves ne mangeant pas de porc en raison de son interdiction à la consommation,
par l’Islaam.
La République, a-t-il ajouté, c’est aussi, lorsque le
menu est composé de jambon-frites, que ces élèves puissent être éventuellement
autorisés à demander une double ration de frites.
Il
faut rappeler ici que la République, institution dont se réclament pratiquement
tous les « États » du monde, est présentée en France, comme un
immense privilège réservé à ce seul pays!
Á gauche, elle doit à Jean Pierre Chevènement par
exemple, d'avoir été conjuguée à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de
l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand.
Son tonton qui soutenait que l’Afrique du Nord c’est
la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman selon les canons de sa
loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Installé sur le trône du Palais de l’Élysée pendant
quatorze ans, le tonton était, bien entendu, un défenseur de la République.
En août 2016, Jean Pierre Chevènement a été désigné
par François Hollande pour être installé à la tête d’un organisme crée en 2005,
dit ʺla Fondation pour l’islam de Franceʺ.
Jean Pierre Chevènement a déclaré qu’il connaît bien
les musulmans parce qu’il est allé au Caire et à Alger.
Il a ʺconseilléʺ aux musulmans la discrétion.
[19] Elle pense peut-être à la ʺcitéʺ, lieu dit
d’habitation pour personnes reléguées.
[20] Il arrive à sa langue de
ʺfourcherʺ.
Elle veut dire diversité.
[21] Auspices.
[22] Plan dit
ʺanti-terroristeʺ.
[23] Sollicités.
[24]
Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177
(l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et de
celles qui ont combattu, combattent et combattront les croyants et les croyantes).
[25] Même eux ne savent pas ce
que cela veut dire !
[26] Les
services spécialisés ont une longue pratique de l’utilisation des "compétences" des "arabes
de service".
Dans
les administrations, les universités, les établissements scolaires, les médias,
les entreprises, les organismes de spectacles, de sport, de cultes, les
associations et autres, ils continuent d’entretenir un "domaine
réservé" où ils placent des "exilés d’opinion", des
"réfugiés politiques", des "combattants de la liberté", des
"écrivains", des "penseurs", des "philosophes",
des "artistes", des "journalistes", des "intervenants"
de radio, de télévision, des "militants multi-cartes" gardés parmi
les accessoires utilisés et utilisables.
Ces
mêmes services spécialisés "aident" les employés mis à la tête des
"États" des pays dominés, dans le cadre de "l’indépendance dans
l’interdépendance", à transférer en métropole, "lieu sûr", les
produits des interminables pillages, malversations et autres.
[27] Bureau des Affaires
Indigènes (qui n’existe plus sous cette appellation) à l’idéologie calquée sur
le modèle du Bureau des Affaires Indiennes des USA.
United
States of America, les États Unis d’Amérique, fondés par des européens sur le
génocide des Indiens et bâtis sur l’esclavage, les exterminations des
populations y compris par l’usage de la bombe atomique, les innombrables
massacres et les multiples autres agressions partout dans le monde.
À l’avant-garde du système
impérialo-sioniste, les USA sont aujourd’hui la première puissance militaire et
atomique, à la tête des massacres des croyants et des croyantes dans le monde
entier.
[28] Mot
renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux et
considéré par des "français de
souche" et d’autres comme une atteinte intolérable à la "libération de la femme″ !
Le terme est utilisé avec des connotations de mépris,
des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des
mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des
humiliations, des marginalisations, des menaces, de multiples autres
agressions, et une arrogance i-ni-ma-gi-nable.
L’un des colonisés de service de la gauche, qui a fait
ses classes au sein de l’équipe sioniste dite ″touche
pas à mon pote″, avant d’être installé sur des fauteuils plus
moelleux, a été chargé par ses maîtres, il y a déjà un certain temps, de
prédire la victoire du ʺjeansʺ contre ″le voile″.
Des textes ont été mis en place pour interdire le port
du foulard dans des lieux dits publics de la ʺRé-pub-liqueʺ, des procès ont été
intentés à des femmes pourchassées et renvoyées de leur travail, des filles ont
été expulsées des établissements scolaires, y compris pour ʺport de jupe
longueʺ.
Dans leur déchaînement, les ennemis du port du foulard
par les croyantes continuent de recourir à n’importe quoi pour alimenter et
entretenir la haine, éructent, perdent tout sens de la retenue.
[29] C’est moderne !
[30] Le thé à la menthe, c’est
nul!
[31] La difirsiti, ci soubir
(la diversité, c’est super) !
[32] Avec des putes mieux
qu’au bled.
[33] Il
écrit des livres, sans les ʺnègresʺ qu’il ne peut pas encore s’offrir, signe
des articles, élargit sa collaboration et "saint
tirisse ali riche irch" (et
s’intéresse à la recherche).
[34] La problématique.
[35] Contexte.
[36] Ce phénomène.
[37] Le premier degré.
[38] Soulève.
[39] Confrère.
[40] Connue.
[41] Les terroristes.
[42] Consoeur
[43] Cultivée.
[44] La
tolérance, comme celle des maisons du même nom.
[45] Paix.
[46] ″On″
dit seulement ″les quartiers″ pour ne pas dire les quartiers de
la banlieue des exclus où sont parqués les indigènes, comme lorsqu’″on″
dit ″les territoires″ pour ne pas dire les territoires
qui servent à l’impérialo-sionisme qui occupe Filistiine (la Palestine), de
réserve pour les Palestiniens, comme les réserves pour les Indiens aux USA.
[47] Que beaucoup traduisent, ici et maintenant, par rejet
de l’Islaam et haine des croyants et des croyantes.
[48] Débats.
[49] Ce qui se traduit chez elle par mal élevée,
irrespectueuse, parlant à tort et à travers, capricieuse, vaniteuse, sournoise,
arrogante, désagréable, têtue et se dissimulant derrière des masques trompeurs,
afin de mener certaines actions nuisibles, y compris contre des personnes avec
qui elles a des liens familiaux.
Elle cultive, de manière maladive, les tendances à
l’opposition stérile, au nombrilisme aigu, et ce qui la pousse à n’importe quoi
pour attirer l’attention et se mettre en ʺvaleurʺ.
Elle a recours à de multiples ʺtours de passe-passeʺ
pour refuser d’écouter ce qui ne fait pas frétiller son ego et pour continuer à
se comporter n’importe comment.
Elle interprète les faits à sa convenance afin de
s’attribuer ʺle beau rôleʺ et maintenir la confusion qui lui permet de
s’accaparer de tout ce qu’elle peut.
Mesurer la gravité et les conséquences de ses actes ne
l’effleure pas, ne fait pas partie de
ses préoccupations.
[50] Contraction des mots "colonie" et
"métropole", qui dans le cas de la France par exemple, rappelle,
encore et encore, la continuation des interventions, en Afrique et ailleurs,
pour maintenir la domination et entretenir des régimes mis en place par le
système colonialo-impérialo-sioniste.
[51] Qui
reste pour la France colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de matières
premières et de main d’œuvre, un marché
pour tout écouler, un point stratégique pour les militaires, un terrain
d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres "loisirs touristes" de ce genre, un dépotoir, une
décharge d’immondices dans tous les domaines.
Les
employés mis à la "tête" des "États" des colonies exécutent les ordres de
leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et souillent
tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la
débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux
mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux
tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux
emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries,
aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la
décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[52] ʺLes
indépendancesʺ des colonies sont tout simplement un statut octroyé par les
métropole, le système colonialo-impérialo-sioniste, statut qui s’est traduit
par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus
ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des
métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" (dont certains ne
sont pas issus des colonies, mais sont au service des métropoles), sont fondés
sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice,
la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression,
l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de
l’être humain.
[53] Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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