samedi 29 février 2020

IL CRAINT LA GÉNÉROSITÉ

L’ennemi d’Allaah, achchaytaane,[1] préfère un croyant et une croyante avares, à un non-croyant et à une non-croyante généreux.
En renforçant en eux l’avarice, achchaytaane, l’ennemi de l’Islaam, peut arriver à détourner le croyant et la croyante avares de la Voie d’Allaah.
S’agissant du non-croyant et de la non croyante généreux, achchaytaane craint que la générosité ne les pousse à retrouver l’Islaam.
Qu’Allaah nous éloigne de l’avarice et des pratiques blâmables, pardonne nos fautes, nous aide à résister à achachaytaane, à ceux et à celles qui suivent sa voie, nous éclaire et nous couvre de Sa miséricorde, nous guide pour continuer la marche afin que nous soyons parmi les heureux ici-bas[2] et dans la vie dernière.[3] 

BOUAZZA



[1] Il s’agit de satan.
[2] Addonyaa.
[3] Alaakhira (le ʺrʺ roulé), l’au-delà.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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vendredi 28 février 2020

UNE FIN HEUREUSE


Une fin heureuse pour moi serait de quitter la vie ici-bas,[1] pour rejoindre la vie dernière[2] en témoignant qu’il n’y a d’Allaah qu’en Allaah l’Unique,[3] et que Mohammad[4] est le Messager d’Allaah.
C’est partir en espérant être accueilli par cette aaya[5] « Ô âme sereine. Retourne à ton Seigneur satisfaite et donnant satisfaction.[6] Entre parmi Mes serviteurs. Et entre dans Mon Paradis ».[7]
  
BOUAZZA



Allaah.
[1] Addoniaa, l’existence ici-bas.
[2] Alaakhira (le ʺrʺ roulé), l’au-delà.
[3] Laa Ilaah illaa Allaah, il n’y a d’Ilaah qu’Allaah.
[4] L’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
[5] Signe, verset.
[6] Raadiya mardiya (les r roulés).
[7] Alqoraane (Le Coran), sourate 89 (chapitre 89), Alfajr (le r roulé), L’Aube, aayate 27 à aayate 30 (verset 27 au verset 30).
Voir :
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jeudi 27 février 2020

ISTAMBUL, ISTAMBUL


Il était interne comme moi à Faas.[1]
Nous avons fait les trois années au lycée ensemble.[2]
Il venait d’Oujda.[3]
Lorsque nous avions un moment de libre dans une salle de cours par exemple, je lui demandais souvent de nous chanter « Istambul, Istambul ».[4]
Tous les camarades aimaient qu’il la chante, et lui aimait nous faire plaisir.
Il commençait par tambouriner sur la table, lançait des notes de musique avec sa voix chaude, qui nous transportait par « Istambul, Istambul, j’ai soif de tes baisers ».
L’émotion m’étreignait, mon coeur était tout ouï, et entendait un autre temps, un autre espace.
Parfois, je suis saisi par une sorte de nostalgie en pensant à ces années.
Que sont mes camarades devenus ?
Se souviennent-ils de ces moments et d’autres ?
Avais-je eu une pensée pour eux lorsque je m’étais rendu à Istambul ?
Sont-ils encore tous de ce monde ?
Qu’Allaah déverse sur nous Sa miséricorde.[5] 

BOUAZZA

mercredi 26 février 2020

ÉPOUSE ET MÈRE


- Tu n’as pas compris pourquoi tu t’es mariée.
- Comme d’innombrables autres.
- Être épouse et mère ne t’a pas permis de comprendre ce qu’est le mariage.
- Comme d’innombrables autres.
- Tu ne cherchais pas à comprendre.
- Comme d’innombrables autres.
- Ne faire qu’à sa tête, et s’en foutre des conséquences.
- Comme d’innombrables autres. [1] 

BOUAZZA

mardi 25 février 2020

UN TYRAN D’ÉGYPTE A CREVÉ AUJOURD’HUI


Installé sur le trône de la république d’Égypte[1] par ses employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, le tyran Hosni Moubarak[2] qui a sévi d’octobre 1981 à février 2011,[3] a crevé aujourd’hui, mardi 25 février 2020.
Cet employé du système colonialo-impérialo-sioniste était un bon exécutant de basses œuvres, un bon élément pour piller, s’enrichir, jouir, détruire, exterminer, sans jamais oublier, comme ses frères des pays dits « arabo-musulmans » et autres, de veiller aux intérêts de ses employeurs.
Assoiffé d’argent, d’horreurs, de vices et de sang, il était, comme ses frères vendus, à la tête d’un régime qui répandait la pourriture, commettait les crimes les plus abominables, et les plus nauséabonds, recourait à la torture sous toutes ses formes, sodomisait et massacrait des hommes, violait, méprisait et humiliait des femmes, maltraitait des enfants.
Il avait, comme ses frères sanguinaires, des comptes bancaires partout, des lingots d’or, des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur, des fermes modèles, des propriétés immobilières sans nombre, des voitures luxueuses, et autres.
Tout ce que le pillage peut rapporter.
Son régime, à la satisfaction de ses employeurs, salissait, souillait, recourait à la corruption, à la dépravation, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres.
Les employeurs n’hésitent pas à se débarrasser parfois des employés de ce genre lorsqu’ils ne peuvent pas faire autrement, pour les remplacer par leurs semblables en ayant recours à un « autre » discours destiné à maintenir la confusion, la manipulation, l’imposture.
Ces employeurs connaissent mieux que quiconque leurs employés, et n’ignorent rien de leurs crimes qu’ils entretiennent et qu’ils couvrent de mille et une manières afin de continuer la tyrannie.
Je connais les trahisons, les mensonges, les arrières pensées des imposteurs d’hier et d’aujourd’hui, la corruption, la servilité, les compromissions, les viols, les crimes, les tortures du présent et du passé, les êtres fracassés, anéantis, les rêves détournés, les espoirs évanouis, les esprits souillés.
Mais cela ne m’empêche pas de me réjouir chaque fois qu’un salaud crève.
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, n’élimineront jamais la résistance des populations.
« Et ne crois pas qu’Allaah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que les retarder pour un jour où les regards se figeront ».[4] 

BOUAZZA



Et ne crois pas qu’Allaah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que les retarder pour un jour où les regards se figeront.

Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14), Ibraahiime (le « r » roulé), Abraham, ayate 42 (verset 42).
[1] Miçr (le ʺrʺ roulé).
[2] Hosnii Mobaarak (le ʺrʺ roulé).
[3] Selon le calendrier dit grégorien.
[4] Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14), Ibraahiime (le « r » roulé), Abraham, aayate 42 (verset 42).
Voir:
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CELA M’ARRIVE ENCORE


Pourquoi il m’arrive encore de ne pas bien faire ?
Est-ce que je fais de mon mieux pour changer, pour me corriger, pour m’améliorer, pour devenir meilleur ?
Est-ce que je fais ce que je peux, avec humilité,[1] sans ostentation,[2] pour apprendre et transmettre ?
Je ne peux pas répondre.
L’ego en effet est une pathologie persistante qui prend mille et une formes, et dont il n’est pas simple de se défaire.
Il se niche partout.
Peu de personnes ont la chance de bénéficier de la guérison.
C’est Allaah qui guérit.
Qu’Allaah me guérisse.
Qu’il remplisse mon coeur de Sa crainte.
Qu’Il déverse sur moi Sa miséricorde.[3] 

BOUAZZA



[1] Tawaadho’e.
[2] Bidoune riyaae (Le r roulé).

lundi 24 février 2020

COMME D’INNOMBRABLES AUTRES

Elle ne faisait qu’à sa tête, et s’en foutait des conséquences.
Son égoïsme ?
Son égocentrisme ?
Son nombrilisme ?
Elle ne s’en préoccupait pas, et était allergique à tout ce qui pouvait la contrarier, ou. remettre en cause son désir de «  toute puissance ».[1]
Tout ce qui était incompatible avec elle, était nul et non avenu.
Il fallait lui céder sur tout, tout le temps.
L’essentiel dans tout ce qu’elle faisait, était de se faire remarquer, attirer l’attention.
Ce qui l’intéressait, c’était ce qui la flattait.
Elle pouvait faire n’importe quoi, pour obtenir des flatteries.
Ses frustrations, ses névroses, son hystérie, ses troubles du comportement, et autres, faisaient d’elle une personne dissimulatrice, perverse, vicieuse, malsaine, têtue, butée, bornée, manipulatrice, démagogue, haineuse, arrogante, irrespectueuse, irréfléchie, immature, irresponsable, immorale, trompeuse, mauvaise.
Comme d’innombrables autres.[2] 

BOUAZZA



[1] L’expression utilisée par les "psy" s’applique à la personne atteinte de la pathologie qui consiste à "s’auto-glorifier" quoi qu’il arrive.

dimanche 23 février 2020

« JE LUI PARDONNE »

À sa sortie de l’hôpital où il a eu des soins suite à des coups de couteau, un septuagénaire, « moaddine »[1] d’une mosquée[2] près de Regent’s Park à Londres, en Grande-Bretagne, a déclaré :
« Je lui pardonne ».
Il parlait du jeune de vingt neuf ans qui lui a causé des blessures graves le jeudi 21 février 2020,[3]  parce qu’il est « moslim ».[4]
L’agresseur a été appréhendé par des fidèles, et livré à la police. 

BOUAZZA



[1] Personne chargée d’appeler à la prière (muezzin en français).
[2] ʺMasjidʺ, prosternatoire, du verve ʺsajadaʺ qui signifie se prosterner.
[3] Selon le calendrier dit grégorien.
[4] Musulman.

samedi 22 février 2020

CONTRE L’ISLAAM, L’INVRAISEMBLABLE EST SOUTENU


À l’approche de chaque élection,[1] la haine de l’Islaam[2] s’affiche avec plus d’hystérie encore, pour attirer des électeurs et des électrices.
En France, par exemple, dans ce domaine, la gauche et la droite, avec leurs « diverses variantes », sont interchangeables.
Les vexations, les hostilités, les insultes, l’arrogance, le mépris, la haine et autres sont d’actualité.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Les agressions ne se comptent plus.
Les hostilités ne s’arrêtent pas.
La désinformation ne recule devant rien.
Les amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la règle.
Les pires tromperies sont à l’oeuvre.
L’imposture inonde tout.
L’invraisemblable est soutenu.
Et ce n’est un secret pour personne que l’opposition à l’Islaam en France, est très ancrée et s’est toujours confondue, se confond toujours, avec le mépris des « arabes ».[3]
Les opposants à l’Islaam calomnient, travestissent, dénigrent, diffament, salissent, humilient, maltraitent, écrasent, détruisent, éliminent, exterminent.
Ils ont toujours voulu, veulent toujours, et voudront en finir avec le Message d’Allaah.
Aujourd’hui, ils continuent de semer le faux, la confusion, les alimentent, les entretiennent, les répandent.
La propagande concernant leur oeuvre est diffusée, entre autres, par des serviteurs de magnats de médias,[4] qui l’ont déversée, la déversent et la déverseront en mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds, pour grossir le flot des maux qui ont dégouliné, dégoulinent et dégoulineront de partout, au service de l’imposture.
Toujours arrogants et gonflés d’orgueil, ces opposants à l’Islaam ne cessent de débiter des insultes, des bassesses, des mensonges contre les croyants et les croyantes,[5] qu’ils accusent de tout.
Ils éructent, sèment la souillure, la pourriture, la puanteur, perdent tout sens de la retenue, usent de toutes les insanités.
Parmi ces opposants à l’Islaam, ceux et celles qui se disent « musulmans »[6] et « musulmanes »[7] ne manquent pas.
Ils ressortent ce qu’ils ont ingurgité, l’utilisent pour se donner une contenance dite de « civilisés », d’« évolués », de « cultivés », de « modernes », conformément aux désirs de leurs maîtres.
Des serpillières adorant les semelles qui les foulent.
Les croyants et les croyantes n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir sur les publications, pas de pouvoir cinématographique, pas de pouvoir artistique, ou autres.
Ils ont le pouvoir de poursuivre la résistance, de résister jusqu’à la fin de l’existence ici-bas, avec le soutien d’Allaah, Le Seigneur des univers.[8]
Les croyants et les croyantes font ce qu’ils peuvent pour suivre le Vrai.
Le ciel et la terre se rejoignent, se mélangent, font jaillir d’autres images, d’autres couleurs, d’autres formes, d’autres mouvements, d’autres sensations.
Les croyants et les croyantes savent d’où ils viennent et où ils vont.
Au delà du temps et de l’espace, ils avancent, se replient, puis avancent.
Ils marchent.
Depuis combien de temps marchent-ils ?
Quelle distance ont-ils parcouru ?
Pour eux, le temps ne compte pas et ils ne mesurent pas l’espace.
Un immense souffle est en eux.
Le souffle de l’enfant qui naît semble être l’écho de ce souffle qui est en eux.
Le but est dans leur cœur.
« Et l’avenir est à la piété ».[9] 

BOUAZZA



 Quiconque prend le droit chemin le prend pour lui-même et quiconque s’égare, s’égare à son propre détriment.

Alqoraane (Le Coran), sourate 17 (chapitre 17), Alisraa-e, Le Voyage Nocturne, aayate 15 (verset 15).
[1] Les élections municipales sont prévues le dimanche 15 mars et le dimanche 22 mars 2020 (selon le calendrier dit grégorien).
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
[3] Parmi lesquels ceux installés en France, issus du processus migratoire, originaires pour la plupart d’Afrique du Nord, objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations et autres déconsidérations et dont les pays d’origine sont pour la France colonialo-impérialo-sioniste, des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres"loisirs touristes" de ce genre, des dépotoirs multiples et variés, des décharges d’immondices dans tous les domaines.
Les pourris, mis à la "tête" des "États" de ces pays exécutent les ordres de leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[4] Ces médias appartiennent à des fortunés qui font partie de ceux et de celles qui alimentent et entretiennent l’imposture.
Les journalistes et autres employés, sont  tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
C’est ainsi, et le bavardage sur le journaliste au service de la vérité par exemple, est une imposture.
[5] Almouminoune wa almouminaate.
[6] Moslimoune.
[7] Moslimaate.
[8] Rabb al’aalamiine (le r roulé).
[9] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :

vendredi 21 février 2020

CE N’EST PAS IMPOSSIBLE EN ISLAAM

C’est quelqu’un qui s’obstine, avec un terrible entêtement, à pousser à la crise de nerfs, la personne qui ne cède pas à ses caprices.
Qui ne cesse d’inverser les rôles, de se lancer des fleurs, de s’attribuer des mérites.
Parler de son égoïsme, de son égocentrisme, de son nombrilisme, ne l’incite pas à se réformer.
Il faut lui céder tout le temps, pour ne pas se taper la tête contre le mur ou pire encore.
Paraître est sa préoccupation fondamentale.
Á cet effet, s’aplatir, faire de la lèche, mettre en relief le côté bonne poire, ne le gêne pas, si la flatterie suit.
C’est quelqu’un de mauvais, de pervers, de vicieux, de malsain, de nuisible, de dangereux, de fourbe, de mesquin, de pernicieux, de débauché, de magouilleur, de buté, de borné, de taré, de menteur, de manipulateur, de démagogue, de haineux, d’arrogant, d’irrespectueux, d’irréfléchi, d’immature, d’irresponsable, et pire encore …
Un concentré des agissements d’une personne gâtée, narcissique, prête à n’importe quoi pour se faire remarquer.
Une personne de ce genre peut-elle changer, devenir meilleure ?
Ce n’est pas impossible en Islaam.[1] 

BOUAZZA



[1] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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mercredi 19 février 2020

DE LUC-SUR-MER À AULT


Avec les « amigos »,[1] j’ai pris l’habitude de me rendre pour quelques jours l’été, à Luc-sur-Mer en Normandie.
Cet été, ine chaa-e Allaah,[2] c’est à Ault, dans le département de la Somme[3] que nous profiterons un peu des bienfaits de la mer.
D’ici l’été, mon fils cadet et son épouse auront achevé, ine chaa-e Allaah, les formalités pour l’acquisition d’un logement dans cette commune de la Région des Hauts-de-France.
« Située au bord de la Manche, Ault est un point de transition côtière entre les falaises de craie commençant à Ault où elles surplombent une plage de galets, et se continuant vers le sud sans interruption jusqu'à l'estuaire de la Seine ; et, en direction du nord, une côte basse de galets (et de sableà marée basse) jusqu'à l'embouchure de la Somme, puis de sable au-delà. La falaise se termine au niveau de la plage d'Onival-sur-Mer qui dépend aussi de la commune d'Ault.
Immédiatement au nord d'Onival, on trouve le Hâble-d’Ault, espace naturel protégé composé principalement de terrains sédimenteux aux espaces enherbés plutôt marécageux, gagnés sur la mer et riches en espèces d'oiseaux diverses. En effet, le Hâble d’Ault est à la limite sud de l'ancienne baie de la Somme, autrefois beaucoup plus étendue qu'aujourd'hui. À l'époque romaine, elle allait d'Ault au sud jusqu'à Quend au nord. Elle comportait des îlots qui ont permis l'installation de quelques foyers, donnant naissance ensuite à des villages (Cayeux, Le Crotoy). Ces îlots ont ensuite été reliés les uns aux autres par les dépôts d'alluvions, réduisant ainsi la surface de la baie. Cette évolution se poursuit de nos jours et semble même s'accélérer avec l'ensablement progressif de la baie.
Au sud de la commune se trouve un grand bois résidentiel, le Bois de Cise, dans une valleuse qui donne sur le littoral et possède son propre accès à la mer.
En 1837, quand Victor Hugo passe pour la première fois dans le bourg, il est impressionné par la beauté du site et de la falaise qui lui inspireront « quelques » vers. Il raconte aussi les vestiges de l'ancien Ault : « Il n'était resté debout dans l'inondation qu'une ancienne halle et une vieille église dont on voyait encore le clocher battu des marées quelques années avant la Révolution ». Séduit par les lieux, il y reviendra en 1843 et1849.
Victor Hugo a peut-être vu l’épi financé en 1834 par Louis Philippe qui accorde alors « un secours de 300 francs pour exécuter des travaux qui doivent mettre la commune à l'abri des envahissements de la mer ». L'épi est formé de galets accumulés. Mais en peu d'années la mer l'a déjà partiellement détruit.
Les années 1970 et 1980 voient un certain déclin du tourisme balnéaire en raison de l'attrait de destinations plus lointaines et réputées plus ensoleillées ».[4]
Avec les « amigos », nous savons déjà qu’à Ault, comme à Luc-sur-Mer, le pain au chocolat du matin, et la glace de la fin de l’après-midi, ne sont pas négociables.
Nous écouterons les vagues, ine chaa-e Allaah.
Flux et reflux.
« Une autre vague vient par-dessus la première et fulgure. Etincelle et ruisselle d’une vie nouvelle. Sans nombre, débordant par-delà les rives du temps, de l’éternité à l’éternité d’autres vagues naissent et meurent, se couvrant et se renouvelant, ajoutant leur vie à la vie. D’aussi loin qu’on les entende, toutes ont la même voix, répètent le même mot : paix, paix, paix … »[5] 

BOUAZZA


[1] J’appelle ainsi mes petits-fils pour dire mes amis, et ça leur plaît.
Ils m’appellent Bagui et ça me fait plaisir.
[2] Si Allaah veut.
[3] Département désigné par le nombre 80.
[4] Wikipédia.
[5] Driss Chraïbi, La Civilisation ma Mère !..., Paris, Editions Denoël, 1972, p. 14.
Idriis Achchraaïbii (les ʺrʺ roulés).