Son égoïsme ?
Son égocentrisme ?
Son nombrilisme ?
Elle ne s’en préoccupait pas, et était allergique à tout
ce qui pouvait la contrarier, ou. remettre en cause son désir de « toute
puissance ».[1]
Tout ce qui était incompatible avec elle, était nul et non
avenu.
Il fallait lui céder sur tout, tout le temps.
L’essentiel dans tout ce qu’elle faisait, était de se faire
remarquer, attirer l’attention.
Ce qui l’intéressait, c’était ce qui la flattait.
Elle pouvait faire n’importe quoi, pour obtenir des
flatteries.
Ses frustrations, ses névroses, son hystérie, ses troubles du
comportement, et autres, faisaient d’elle une personne dissimulatrice, perverse,
vicieuse, malsaine, têtue, butée, bornée, manipulatrice, démagogue, haineuse,
arrogante, irrespectueuse, irréfléchie, immature, irresponsable, immorale, trompeuse,
mauvaise.
Comme d’innombrables autres.[2]
BOUAZZA
[1]
L’expression utilisée par les "psy" s’applique à la personne atteinte de
la pathologie qui consiste à "s’auto-glorifier" quoi qu’il arrive.
[2] Je ne fais que reprendre
ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire