Installé
sur le trône de la république d’Égypte[1] par ses
employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, le tyran Hosni Moubarak[2] qui a
sévi d’octobre 1981 à février 2011,[3] a crevé
aujourd’hui, mardi 25 février 2020.
Cet
employé du système colonialo-impérialo-sioniste était un bon exécutant de
basses œuvres, un bon élément pour piller, s’enrichir, jouir, détruire,
exterminer, sans jamais oublier, comme ses frères des pays dits
« arabo-musulmans » et autres, de veiller aux intérêts de ses
employeurs.
Assoiffé
d’argent, d’horreurs, de vices et de sang, il était, comme ses frères vendus, à
la tête d’un régime qui répandait la pourriture, commettait les crimes les plus
abominables, et les plus nauséabonds, recourait à la torture sous toutes ses
formes, sodomisait et massacrait des hommes, violait, méprisait et humiliait
des femmes, maltraitait des enfants.
Il
avait, comme ses frères sanguinaires, des comptes bancaires partout, des
lingots d’or, des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur, des fermes
modèles, des propriétés immobilières sans nombre, des voitures luxueuses, et
autres.
Tout
ce que le pillage peut rapporter.
Son régime, à la satisfaction de ses employeurs,
salissait, souillait, recourait à la corruption, à la dépravation, à la
censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux falsifications, aux
trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux enlèvements, aux
séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux liquidations, aux
tueries, aux massacres et autres.
Les employeurs n’hésitent pas à se débarrasser parfois
des employés de ce genre lorsqu’ils ne peuvent pas faire autrement, pour les
remplacer par leurs semblables en ayant recours à un « autre »
discours destiné à maintenir la confusion, la manipulation, l’imposture.
Ces
employeurs connaissent mieux que quiconque leurs employés, et n’ignorent rien
de leurs crimes qu’ils entretiennent et qu’ils couvrent de mille et une
manières afin de continuer la tyrannie.
Je
connais les trahisons, les mensonges, les arrières pensées des imposteurs
d’hier et d’aujourd’hui, la corruption, la servilité, les compromissions, les
viols, les crimes, les tortures du présent et du passé, les êtres fracassés,
anéantis, les rêves détournés, les espoirs évanouis, les esprits souillés.
Mais
cela ne m’empêche pas de me réjouir chaque fois qu’un salaud crève.
Les
mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les
pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les
destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les
perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les
camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les
viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, n’élimineront
jamais la résistance des populations.
« Et ne crois pas qu’Allaah soit inattentif à ce
que font les injustes. Il ne fait que les retarder pour un jour où les regards
se figeront ».[4]
BOUAZZA
Et ne crois
pas qu’Allaah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que les
retarder pour un jour où les regards se figeront.
Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14),
Ibraahiime (le « r » roulé), Abraham, ayate 42 (verset 42).
[1]
Miçr (le ʺrʺ roulé).
[2]
Hosnii Mobaarak (le ʺrʺ roulé).
[3]
Selon le calendrier dit grégorien.
[4]
Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14), Ibraahiime (le « r »
roulé), Abraham, aayate 42 (verset 42).
Voir:
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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