Innombrables
sont les personnes qui ne font qu’à leur tête, qui n’écoutent que leurs
pulsions, leurs impulsions, qui s’en foutent des conséquences de leurs
comportements néfastes, qui n’admettent aucun reproche, qui s’attribuent des « circonstances
atténuantes » quand elles veulent, comme elles veulent par des mots creux,
vides, sans consistance, faux.
Des
mots abîmés, falsifiés, contaminés, détournés,
souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds.
Des mots des circonstances aggravantes.[1]
BOU’AZZA
[1]
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire