lundi 14 mars 2022

COMMENT ILS SONT APPELÉS ?

« Bougnoules » fait partie des mots mis sur le marché par les colonialistes français pour désigner les « arabes », ce qui veut dire pour eux, les « musulmans ».[1]
Ce mot qui a toujours cours, désigne en métropole des personnes généralement issus du processus migratoire.
Les mots « beurs » et « beurettes » ont été mis sur le marché en France pour désigner, « grosso modo », une « nouvelle génération » estampillée pour être « intégrée », « assimilée »[2] et par conséquent « déislamisée ».
Le « mérite » de ce « produit » revient à la gauche, aux socialistes du temps de leur tonton François Mitterrand et de sa création dite « touche pas à mon pote ».[3]
« Ils ne cesseront pas de vous combattre jusqu’à ce qu’ils vous détournent de votre religion[4] s’ils peuvent».[5]
Dans les agressions contre les croyants et les croyantes,[6] de multiples moyens sont mis en oeuvre et les mots en font partie bien entendu.
Les mots « beurs » et « beurettes », supposés vouloir dire « arabes » en verlan, visent en fait à continuer à porter atteinte à la mémoire de personnes originaires de la colonie « arabo-musulmane ». 
Ils visent à entretenir la confusion.[7]
Des « beurs » et des « beurettes » sont mis en scène.[8]
Les médias[9] y participent évidemment: encensement de l’emballage, maquillage, tours de passe-passe et tout le toutim.
Dans un dîner au champagne par exemple, une « beurette », cheveux sexy, « vêtement » suggestif, talons aiguilles, maquillage excitant, est chargée de faire une déclaration devant les caméras.[10]
Les parents de la « beurette », installés, pour la circonstance, avec les « grands », ne la reconnaissent pas.
D’ailleurs la « beurette » elle-même, en se voyant dans une glace, a du mal à savoir qui elle est.
Relookée.
Remodelée.
« Intégmilée » !
Dans un décor « universel » et au son d’une musique « universelle », les caméras, toutes tendances « politiques » confondues, sont braquées sur la représentante de la « libération ».
La représentante fixe la caméra principale dans l’oeil et déclare :
« Ni vendues ni achetées, nous sommes des personnes qui venons de partout et qui sommes, comme vous le savez, attachées à la « liberté ».
Les « beurs » et les « beurettes » de ce genre, sont de plus en plus « sollicités » !
Ces « intégmilés » participent aux agressions contre l’Islaam, tout en prétendant militer pour la « renaissance » qui fera triompher un « islam cartésien », « rationnel », « civilisé ».
Leurs maîtres, « français de souche » [11] leur ouvrent les médias qui « comptent », les maisons d’édition « sérieuses », les cercles de « qualité ».[12]
Ils leur balisent le parcours, afin qu’ils empruntent de « nouveaux sentiers ». 
À la télévision, dans les locaux d’autres médias, dans ceux du B.A.I.,[13] des services de renseignements, d’espionnage, de contre-espionnage, de suivi des « mouvances islamistes », La haine de l’Islaam dégouline de partout.
Celle contre le « voile »[14] n’arrête pas.
L’argent provient de multiples officines pour financer des insanités, ressasser d’interminables insultes et entretenir l’imposture.
Les « intégmilés » sont satisfaits des os de porc à ronger qui leur sont jetés.
Ils sont incités bien entendu à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os.
Ils sont « évolués », mangent du « couscous au saucisson »,[15] boivent de l’« alcool à la menthe »[16] et sont adeptes de la fornication, de l’adultère et autres, « afic dii bites miou qu’ou blid ».[17]
Il n’y a pas longtemps, un « instruit »[18] parmi eux a déclaré :
─ « Voyez-vous, la broublimatic[19] de lisse-lame[20] est à situer dans le con-texte[21] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et autres.
Sou finoumin[22] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumi digri[23] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[24] ce que le con-frère[25] appelle, en usant d’une sémantique conne-nue,[26] les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[27] ».
Une conne soeur[28] cul-tivée,[29] bien introduite, insiste sur la « tôle errance »[30] et parle de « pet ».[31]
Elle connaît « les quartiers ».[32]
Elle jouit, dans un logement de fonction d’où elle peut apercevoir la Tour Eiffel.
Elle est née en métropole et fait tout « pour être à la hauteur ».
Elle est issue du processus migratoire né du colonialisme.
C’est un produit de la « colopole ».[34]
Du viol de la colonie[35] par la métropole.
Utilisée, comme d’autres, mâles et femelles d’une « nouvelle génération », elle recourt à des travers de la métropole, la société dite « d’accueil », les accentue et y ajoute celles de la colonie, la société dite d’origine,[36] développant des comportements orientés contre l’Islaam.[37]
Ces mâles et ces femelles d’une « nouvelle génération », comment ils sont appelés ?[38] 
 
BOU’AZZA

[1] Almoslimoune.
C’est à l’époque où je suis arrivé du Maroc en France pour des études universitaires, que j’ai appris les appellations de bougnoules, melons, sales arabes et autres.
J’ai commencé alors à vouloir comprendre les divers aspects du colonialisme et partant, du processus migratoire auquel je ne connaissais rien.
Je me suis donc lancé dans les ʺarcanesʺ de ces phénomènes concernant les africains et plus particulièrement les africains du Nord., les ʺbougnoulesʺ.
Et au long des années, j’ai compris, de mieux en mieux, comment le colonialisme français a imposé dans les colonies à des populations entières de chercher des moyens de subsistance dans des conditions inimaginables.
Beaucoup parmi elles, rurales, se sont trouvées dans des faubourgs de villes nouvelles colonialistes, contraintes de s’adapter à des modes de survie dans des bidonvilles.
Ces populations ont connu l’oppression et l’exploitation féroces, la transplantation forcée dans leur pays d’origine,  avant qu’elles ne soient obligées de le quitter parfois.
Les régimes mis en place dans les colonies par la suite et qui sévissent toujours, ont accéléré les migrations pour répondre aux exigences de la métropole et pour en faire un trafic qui rapporte.
C’est dire que le processus migratoire lié au colonialisme français, ne peut pas être compris en occultant l’histoire de la transplantation d’êtres de sociétés rurales, d’êtres colonisés, maintenus dans l’ignorance et la misère, dépossédés et sans moyens dans des sociétés industrialisées.
La France a eu recours à la main d’œuvre colonisée et transplantée en métropole et il a fallu de longues années pour que des travailleurs immigrés, dans le cadre dit du regroupement familial, puissent entreprendre des démarches afin de demander l’autorisation de faire venir leurs femmes et leurs enfants.
Les immigrés des colonies ne cessent de faire face à de multiples injustices et agressions, qui n’épargnent pas ceux et celles qui ont obtenu la nationalité française.
Le processus migratoire a bien entendu divers ʺvisagesʺ que beaucoup s’acharnent à défigurer, afin de masquer ce qu’ils veulent cacher.
Il importe donc d’essayer sans cesse d’en saisir les développements, les modifications, les changements et autres.
[2] Des ʺ intégmilésʺ, contraction des termes "intégrés" et "assimilés".
[3] S.O.S. racisme.
[4] L’Islaam.
[5] Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ʺrʺ roulé), La Vache, aayate 217 (verset 217).
[6] Almouminoune wa almouminaate.
[7] Ceux et celles qui conduisent ces agressions, gonflés d’orgueil et d’arrogance, donnent des leçons qu’ils ne s’appliquent pas à eux-mêmes, sèment le faux et répandent les horreurs selon l’étable (les tables) de leur loi, veulent imposer leur ʺHistoireʺ, avec hache majuscule, font semblant de ʺs’offusquerʺ des effets de ce dont ils sont la cause, alimentent et entretiennent l’imposture.
Ils ne comprennent pas les mots en mouvement, les mots qui gomment les chimères, les mots qui éloignent les tentations, les mots qui chassent les illusions les mots qui font voler en éclats les supercheries et autres.
[8] Ils sont présentés comme des ʺartistesʺ, des ʺstarsʺ, des ʺécrivainsʺ, des ʺvedettes de la chansonʺ, des ʺcélébritésʺ auxquels des ʺdistinctionsʺ sont remises avec le tapage habituel.
[9] En traitant des médias, il est nécessaire de ne pas perdre de vue qu’en général, qu’ils soient de droite, de gauche ou autres, ils appartiennent ou sont contrôlés par des fortunés qui font partie des décideurs qui alimentent et entretiennent l’imposture, dans le cadre d’un régime ou d’un système.
C’est dire que les journalistes sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent ces décideurs.
Le discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[10] C'est-à-dire lire le texte préparé à cet effet par les manipulateurs.
[11] Même eux ne savent pas ce que cela veut dire.
[12] Les services spécialisés ont une longue pratique de l’utilisation des "compétences"..
Dans les administrations, les universités, les établissements scolaires, les médias, les entreprises, les organismes de spectacles, de sport, de cultes, les associations et autres, ils continuent d’entretenir un "domaine réservé" où ils placent des "exilés d’opinion", des "réfugiés politiques", des "combattants de la liberté", des "écrivains", des "penseurs", des "philosophes", des "artistes", des "journalistes", des "intervenants" de radio, de télévision, des "militants multi-cartes" gardés parmi les accessoires utilisés et utilisables.
Ces mêmes services spécialisés "aident" les employés mis à la tête des "États" des pays dominés, dans le cadre de "l’indépendance dans l’interdépendance", à transférer en métropole, "lieu sûr", les produits des interminables pillages, malversations et autres.
[13] Bureau des Affaires Indigènes (qui n’existe plus sous cette appellation) à l’idéologie calquée sur le modèle du Bureau des Affaires Indiennes des USA, United States of America, les États Unis d’Amérique, fondés par des européens sur le génocide des Indiens et bâtis sur l’esclavage, les exterminations des populations y compris par l’usage de la bombe atomique, les innombrables massacres et les multiples autres agressions partout dans le monde.
À l’avant-garde du système colonialo-impérialo-sioniste, les USA sont aujourd’hui la première puissance militaire et atomique.
[14] Mot renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux et considéré par des "français de souche" et d’autres comme une atteinte intolérable à la "libération de la femme !
Le terme est utilisé avec des connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, de multiples autres agressions et une arrogance inimaginable.
Des textes ont été mis en place pour interdire le port du foulard., des procès ont été intentés à des femmes pourchassées et renvoyées de leur travail, des filles ont été expulsées des établissements scolaires, y compris pour ʺport de jupe longueʺ.
Dans leur déchaînement, les ennemis du port du foulard par les croyantes continuent de recourir à n’importe quoi pour alimenter et entretenir la haine, éructent, perdent tout sens de la retenue.
[15] C’est moderne !
[16] Le thé à la menthe, c’est nul!
[17] Avec des putes mieux qu’au bled.
[18] Il écrit des livres, sans les « nègres » qu’il ne peut pas encore s’offrir, signe des articles, élargit sa collaboration et "saint tirisse ali riche irch" (et s’intéresse à la recherche).
[19] La problématique.
[20] De l’islam.
[21] Contexte.
[22] Ce phénomène.
[23] Le premier degré.
[24] Soulève.
[25] Confrère.
[26] Connue.
[27] Les terroristes.
[28] Consoeur
[29] Cultivée.
[30] La tolérance, comme celle des maisons du même nom.
[31] Paix.
[32] On dit seulement les quartiers pour ne pas dire les quartiers de la banlieue des exclus où sont parqués les indigènes, comme lorsqu’on dit les territoires pour ne pas dire les territoires qui servent au système colonialo-impérialo-sioniste qui occupe Filistiine (la Palestine), de réserve pour les Palestiniens, comme les réserves pour les Indiens aux USA.
[33] Débats.
[34] Contraction des mots "colonie" et "métropole", qui dans le cas de la France par exemple, rappelle, encore et encore, la continuation des interventions, en Afrique et ailleurs, pour maintenir la domination et entretenir des régimes mis en place par le système colonialo-impérialo-sioniste.
[35] Qui reste pour la France colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de matières premières et de main d’œuvre, un marché pour tout écouler, un point stratégique pour les militaires, un terrain d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres "loisirs touristes" de ce genre, un dépotoir, une décharge d’immondices dans tous les domaines.
Les employés mis à la "tête" des "États" des colonies exécutent les ordres de leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[36] ʺLes indépendancesʺ des colonies sont tout simplement un statut octroyé par les métropole, le système colonialo-impérialo-sioniste, statut qui s’est traduit par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" (dont certains ne sont pas issus des colonies, mais sont au service des métropoles), sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[37] L’Islaam depuis Aadame( Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[38] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé. 


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