Au
lycée,[1] vers la
fin des années soixante,[2] j’avais
au programme de français « Les Caractères » de Jean de La
Bruyère.[3]
C’est
un livre qui ne m’a pas laissé indifférent, et auquel je me suis beaucoup
référé.
J’avais
appris certaines maximes par coeur, et je m’en souviens aujourd’hui encore.[4]
Je
m’y intéressais à ces maximes, même quand je n’y adhérais pas totalement.
En
France par exemple, au début des années soixante dix, peu de temps après avoir rencontré
l’étudiante qui est devenue mon épouse, et qui l’ai encore, je me rappelle très
bien lui avoir envoyé un premier courrier, une carte postale, avec cette maxime :
« Il
y a un goût dans la pure amitié, où ne peuvent atteindre ceux qui sont nés
médiocres ».[5]
BOUAZZA
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