J’avance dans l’impermanence d’ici-bas, vers la permanence
de l’au-delà.
La marche vers la certitude.[1]
Les épreuves à travers le temps et l’espace.
Flots
de pensées.
Averses
d’images.
Afflux
de sensations.
Larmes.
Ces « larmes sont-elles des perles de la pensée,
comme la rosée après une nuit noire : l’ultime de ce qu’un homme a pu
ressentir et penser et que sa plume n’a pas pu traduire en mots ? »[2]
BOUAZZA
[1]
Alyaqiine, le mot en langue arabe désigne aussi la fin de l’existence ici-bas,
la mort.
[2] Driss
Chraïbi (Driis chraaïbii), l’Homme du Livre, Balland-Eddif (Eddif,
Maroc, 1994, Balland, France, 1995), p. 85.
Je ne fait que reprendre ce dont
j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire