mardi 31 mars 2020

LE REMÈDE


Comme d’innombrables autres, des personnes s’accrochent au virus du faux, aux comportements néfastes, recourent à tout pour attirer l’attention, apprécient de se donner en spectacle, s’agitent dans tous les sens, cherchent à être le centre d’intérêt, alimentent et entretiennent des conflits, ne se gênent pas pour se servir d’autres personnes qui se laissent abuser, s’arrangent pour consolider leur désir de paraître, pour ne faire qu’à leur tête, pour satisfaire leur nombrilisme.
Pour assouvir leur nombrilisme, elles peuvent aller jusqu’à anéantir quelqu’un qui ose s’y opposer.
Elles ne peuvent pas admettre en effet que quelqu’un n’approuve pas leurs agissements, tentent de l’avoir à l’usure, et quand elles n’y arrivent pas, elles se montrent plus arrogantes, plus malveillantes, plus mauvaises, plus malsaines, plus dangereuses.
Elles interprètent tout selon ce qui les arrange, ce qui leur convient, sont dominées par leurs envies, leurs pulsions, leurs impulsions, considèrent toute remarque les concernant comme une agression, n’admettent pas leur responsabilité dans ce qu’elles causent, ne se préoccupent en aucun cas des conséquences de leurs actes, s’en foutent des dégâts occasionnés, recourent à la dénégation, au mensonge, à la simulation, à la manipulation, à la tricherie, à la tromperie, et autres.
Elles sont allergiques à ce qui les contrarie, attitude qui se confond avec la pathologie du sentiment de « la toute puissance ».[1]
Ces personnes, lourdement perturbées, atteintes de troubles du comportement, de troubles mentaux qu’elles refusent d’admettre en croyant être bien guidées, peuvent trouver le remède pour changer, pour se réformer, pour s’améliorer, pour devenir meilleures.
Ce remède c’est l’Islaam. [2]
L’islaam permet en effet à la personne de changer en mieux lorsque la personne le veut.
Et elle ne peut vouloir que si Allaah veut.[3] 

BOU’AZZA



[1] L’expression utilisée par les "psy" s’applique à la personne atteinte de la pathologie qui consiste à "s’auto-glorifier" quoi qu’il arrive.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers (Rabb al’aalamiine).
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
[3] [...] vous ne pouvez vouloir que si Allaah veut.
Alqoraane (Le Coran), sourate 76 (chapitre 76), Alinçaane, L’Homme, aayate 30 (verset 30).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

lundi 30 mars 2020

LA BONNE NOUVELLE AUX ENDURANTS


« Les gens[1] ont-ils pensé qu’on les laisserait dire[2] qu’ils ont cru sans qu’ils ne soient soumis à l’épreuve[3] ? »[4]
« Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim, de réduction des biens, des personnes et des récoltes. Et annonce la bonne nouvelle aux endurants[5]. Ceux qui lorsqu’un malheur les atteint disent : « Nous sommes à Allaah et à Lui nous retournons ».[6]
Les croyants et les croyantes[7] sont éprouvés de multiples manières et dans divers domaines.
L’épidémie du coronavirus[8] fait partie des épreuves :
« Innaa lillaah wa innaa ilauh raaji’oune ».[9]



[1] Annaaçe.
[2] Qu’Allaah les laisserait dire.
[3] Dans sa traduction du Qoraane, Kachriid (le ʺrʺ roulé). note que cette épreuve peut-être aussi bien par le bien que par le mal. Allaah éprouve ainsi l’homme pour voir s’il sait le remercier dans le bonheur en respectant Sa loi et en secourant les pauvres et s’il endure le mal avec patience. C’est en effet dans la joie et dans la peine que l’homme a tendance à perdre la maîtrise de lui-même et seuls les vrais croyants gardent leur égalité d’âme quels que soient les événements extérieurs.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 520.
[4] Alqoraane (Le Coran), sourate 29 (chapitre 29), Al’anekaboute, L’Araignée, aayate 2 (verset 2).
[5] Assaabiriine (le ʺrʺ roulé).
[6] Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate 155 et aayate 156 (verset 155 et verset 156).
ʺInnaa lillaah wa innaa ilauh raaji’ouneʺ.
Kachriid note que ʺla formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle ʺistirjaa’eʺ. Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y trouve en effet une réelle consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand on se rappelle qu’on est entièrement la propriété d’Allaah et que c’est vers Lui que doit se faire notre retour, comment peut-on être écrasé de chagrin devant la perte des biens éphémères de ce monde ? Quand Allaah nous reprend un être cher ou un bien auquel nous sommes attachés, Allaah n’a fait que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure bonté de Sa part et sans aucune contrepartie de la nôtre.
Que pouvons-nous donner à Celui qui possède toute chose en exclusivité totale ?ʺ
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), op.cit, note en bas de la page 30.
[7] Almouminoune wa almouminaate.
[8] Covid 19.
[9] [9] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
http://alforqaane.blogspot.com

dimanche 29 mars 2020

LE SEIGNEUR DES UNIVERS


« Et lorsque ton Seigneur tira des reins des fils d’Aadame[1] leur progéniture et les fit témoigner contre eux-mêmes : ″Ne suis-Je pas votre Seigneur ?″ Ils dirent : ″Si, nous en témoignons″ ».[2]
« Il s’agit du fameux pacte pris par Allaah sur la race humaine dès sa création. C’est un acte de foi et d’allégeance selon lequel les enfants d’Adam sur lui la bénédiction et la paix, reconnaissent et attestent qu’Allaah est leur Seigneur-et-Maître en exclusivité et sans restriction aucune.
Donc chaque être humain est lié à sa naissance par ce pacte et s’il renie son Seigneur-et-Maître ou Lui donne quelque associé, il a manqué à son engagement et commis la plus grosse injustice ».[3]
Ainsi, l’histoire de l’être humain a commencé avant son apparition ici-bas, par l’adhésion à la croyance à Allaah.
Un fabuleux don du Seigneur des univers,[4] qui fait que le plus important est en chaque personne qui  bénéficie d’une disposition à la foi.[5]
L’être humain[6] naît croyant.[7]
C’est « alfitra »,[8] la nature conformément à laquelle l’être est créé avec la croyance à Allaah.
Toutefois, cela n’empêche pas que des personnes nient l’engagement par lequel elles ont reconnu qu’Allaah est leur Seigneur.
Des changements interviennent en effet tout au long de l’existence ici-bas.
Les uns gardent cette croyance, les autres la perdent, et certains, selon des modalités différentes, des cheminements divers et des voies multiples y retournent.[9]
Il est important de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler.[10]


[1] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Alqoraane (Le Coran), sourate 7 (chapitre 7), sourate Ala’raaf (le ʺrʺ roulé), L’Enceinte du Paradis, Les Limbes, aayate 172 (verset 172).
[3] Salah Eddine Kechrid (Salaah Addine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 221.
[4] Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
[5] Aliimaane.
[6] C’est de lui qu’il s’agit ici.
[7] Moumine.
[8] Le ʺrʺ roulé.
[9] Et lorsqu’une personne après des errements retourne à la croyance à Allaah, c’est le "retour du cœur dans sa patrie" comme le dit pour ce qui le concerne Léopold Weiss, qui a choisi de s’appeler Muhammad Asad (Mohammad Açad).

samedi 28 mars 2020

UNE PARABOLE NOUS EST PROPOSÉE


« Ô humains ![1] une parabole vous est proposée, écoutez-la. Ceux que vous invoquez en dehors d’Allaah ne créeront pas une mouche même s’ils s’y mettent tous ensemble et si la mouche leur enlève quelque chose ils ne peuvent le lui reprendre ».[2]


[1] Yaa ayyohaa annaaçe.
[2] Alqoraane (Le Coran), sourate 22 (chapitre 22), Alhajj, Le Pèlerinage, aayate 73 (verset 73).
J’ai déjà cité cette parabole.
Voir:
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

vendredi 27 mars 2020

NOUS FUYONS DE CE QU’ALLAAH DESTINE À CE QU’ALLAAH DESTINE

L’isolement sanitaire, le confinement est une mesure qui s’impose face à une épidémie, afin de limiter la propagation du fléau.
C’est aujourd’hui le cas, un peu partout, en raison du coronavirus.[1]
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a condamné le fait d’accéder à une contrée où sévit une épidémie, ou de la quitter.
En se rendant à Chchaame,[2] ‘omar[3] Ibn Alkhttaab[4] a été informé que la peste y sévit.
Après consultation et échanges avec des compagnons, la décision a été prise de rebrousser chemin et de retourner à Almadiina.[5]
Il lui a été demandé alors :
Est-ce fuir le destin ?[6]
Dans sa réponse il a dit :
Nous fuyons de ce qu’Allaah destine, à ce qu’Allaah destine.[7] 

BOU’AZZA



[1] Covid 19.
[2] Châm, Syrie.
[3] La première lettre du prénom ‘omar c’est la lettre ‘ (‘iine) qui n’existe pas dans l’alphabet français, et non la lettre o (qui n’est donc pas écrite ici en lettre majuscule).
ʺRʺ roulé.
[4] Al khattab.
À la mort de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, Abou Bakr Assidiiq (le ʺrʺ roulé) qu’Allaah le bénisse, a été désigné à la tête de la communauté  des croyants et des croyantes (almouminoun wa almouminaate).
Lorsqu’il est décédé, ‘omar Ibn Alkhttaab qu’Allaah le bénisse, a été désigné pour lui succéder à la tête de la communauté des croyants et des croyantes.
Après Abou Bakr Assidiiq et‘omar Ibn Alkhattaab, il y a eu ‘othmaane Ibn ‘affaane (Ottman Ibn Affan) et ‘aliyy Ibn Abii Taalib (Ali Ibn Abi Taleb), qu’Allaah les bénisse.
Ce sont les quatre chefs de l’État des croyants et des croyantes, dits alkholafaa-e arraachidoune(les successeurs bien guidés).
Ils étaient des compagnons de Mohammad, l’ultime  Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
[5] Médine.
[6] ʺAfiraarone mine qadari Allaah ?ʺ
Les ʺrʺ roulés.

mercredi 25 mars 2020

LA DÉCISION APPARTIENT À ALLAAH


« Et si Allaah te touche d’un mal, nul ne peut l’écarter en dehors de Lui, et s’il te veut un bien, nul ne peut détourner Sa générosité ».[1]



Allaah.
[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 10 (chapitre 10), Youns, Jonas, aayate 107 (verset 107).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com



mardi 24 mars 2020

ALLAAH EST AVEC LES ENDURANTS

« Ô vous qui croyez ! Aidez-vous par l’endurance et la prière. Allah est avec les endurants[1] ».[2]



[1] Assaabiriine (le ʺrʺ roulé).
[2] Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate 153 (verset 153).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

lundi 23 mars 2020

NOUS SOMMES À ALLAAH ET À LUI NOUS RETOURNONS


« Innaa lillaah wa innaa ilayh raaji’oune ».[1]
Dans sa traduction du Qoraane,[2] Kachriid[3] note que « la formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle « istirjaa’e ».[4]
Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y trouve en effet une réelle consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand on se rappelle qu’on est entièrement la propriété d’Allaah et que c’est vers Lui que doit se faire notre retour, comment peut-on être écrasé de chagrin devant la perte des biens éphémères de ce monde ? Quand Allaah nous reprend un être cher ou un bien auquel nous sommes attachés, Allaah n’a fait que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure bonté de Sa part et sans aucune contrepartie de la nôtre.
Que pouvons-nous donner à Celui qui possède toute chose en exclusivité totale ? »[5]



Allaah.
[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″ roulé), La Vache, aayate 156 (verset 156).
[2] Le ʺrʺ roulé.
[3] Le ʺrʺ roulé.
[4] Le ʺrʺ roulé.
[5] Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 30.
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
[5] Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

dimanche 22 mars 2020

OCCIRIENT


« Mes os se sont affaiblis et ma tête s’est enflammée de cheveux blancs ».[1]
Flots de pensées.
Averses d’images.
Afflux de sensations.
« Et voici : j’étais issu de l’Orient et des traditions de l’Orient. J’avais été instruit et éduqué dans les écoles d’Occident. Et non seulement la greffe avait pris, mais l’arbre n’avait jamais donné autant de fruits. Je l’ai pris alors à deux bras et je suis parti vers cet Occident d’où venaient toutes sortes de greffes. Et voici : c’était comme si j’avais transporté avec moi tout un lambeau de terre, tout un monde. Et le monde vers lequel je me dirigeais m’a semblé froid, fermé et hostile. […]
J’ai vu l’Occident prôner l’humanisme et agir en cruautés. Et assis entre deux portes fermées, j’ai tant crié à la fraternité humaine et à la connaissance mutuelle que j’en suis devenu malade, insomniaque et tressautant au vol d’une simple mouche. […]
Longtemps, longtemps, j’avais lutté dans un souterrain, parlant à tort et à travers d’Orient et d’Occident. »[2]
«Fils du Levant et de la Berbérie écoutez : l’Orient est en voie de mort. Il est derrière votre dos avec ses Damas, ses Baghdad et ses divisions sans fin qui ensanglantent la terre et dénaturent la parole de Dieu.[3] Plus jamais vous n’y retournerez. Vous êtes ici à présent, en Occident, et c’est comme si vous veniez d’y naître. Parce que, moi, je vous dis que c’est ici, en Occident, que se lèvera désormais le soleil du monde !»[4]
Des larmes.
« Sont-elles des perles de la pensée, comme la rosée après une nuit noire : l’ultime de ce qu’un homme a pu ressentir et penser et que sa plume n’a pas pu traduire en mots ? »[5]
Encore des larmes.
J’aimerais tant qu’elles participent à l’irrigation de ma Foi pour que les fleurs continuent de s’épanouir.[6]
« Allaah Est la Lumière des cieux et de la terre.[7] Sa Lumière est semblable à une niche où se trouve une lampe.[8] La lampe est dans un verre.[9] Le verre est comme un astre resplendissant ; son combustible vient d’un arbre béni, un olivier ni oriental ni occidental ; son huile éclairerait presque même sans avoir été touchée par le feu.[10] Lumière sur Lumière.[11] Allaah guide vers Sa Lumière qui Il veut.[12] Allaah propose aux humains des paraboles.[13] Et Allaah Est Omniscient ».[14]
Toujours des larmes.
Des larmes d’Amour.[15]  

BOU’AZZA



[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 19 (chapitre 19), Mariame (le "r" roulé), Marie, aayate 4 (verset 4).
[2] Driss Chraïbi, Succession ouverte, Paris, Denoël, 1962, pages 180-182.
Idriis Achchraaïbii (le "r" roulé).
Écrivain d’origine du Mghrib (Maroc) arrivé en France en 1945 (selon le calendrier dit Grégorien) pour faire des études universitaires. Il n’avait pas encore vingt ans. Il s’est installé dans ce pays et y a vécu jusqu’à la fin de son existence ici-bas survenue le premier avril 2007 à l’âge de 81 ans (toujours selon le calendrier dit Grégorien). Il était dans la Drôme (à Crest) lorsqu’il a rejoint l’au-delà. Son corps a été ramené au Maroc et enterré à Ddaar lbidaa (Casablanca).
Occirient, contraction des mots Occident et Orient.
[3] Allaah.
[4] Driss Chraïbi, Naissance à l’aube, Paris, éditions du Seuil, 1986, P.55-56.
J’ai déjà cité ces lignes, en bas de page du texte intitulé "Les signes" et je les ai reprises pour en faire le texte intitulé "Moi je vous dis".
[5] Driss Chraïbi, L’Homme du Livre, Balland-Eddif (Eddif, Maroc, 1994, Balland, France, 1995), p. 85.
[6] Se reporter à mon texte intitulé "Sillon".
[7] Allaah Nour assamaawaate wa alard.
[8] Mathal Nourih kamichkaate fiiha misbaah.
[9] Almisbaah fii zojaaja.
[10] Azzozaaja kaannahaa kawkab dorriyy youqade mine chajara mobaaraka, zaytouna laa charqiyya wa laa gharbiyya, yakaade zaytohaa yodii-e wa law lam tamçasho naar.
[11] Nour ‘alaa Nour (le "r" roulé).
[12] Yahdi Allaah linourih mane yachaa-e.
[13] Wa yadrib Allaah alamthaal linnaas.
[14] Bikoll chay-e ‘aliim.
Et Allaah a parfaitement la science de toute chose.
Alqoraane (Le Coran), sourate 24 (chapitre 24), Annour (le "r" roulé), La Lumière, aayate 35 (verset 35).
[15] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.