le lieu de prière où je me rends
pour l’accomplissement de « salaate aljomo’a »[1]
est fermé.
Il est ouvert pour les autres
prières des journées de la semaine car elles ne rassemblent pas autant de monde
que le vendredi.
C’est une mesure de précaution pour
se prémunir contre la propagation de l’épidémie du coronavirus.[2]
L’Islaam nous enseigne de faire
ce que nous pouvons pour bénéficier des soins nécessaires à notre santé.
Nous devons savoir que pour
chaque mal il y a un remède : « likolli daa-e, dawaa-e ».
Nous sommes responsables des
corps qui nous sont confiés par Allaah, et nous devons par conséquent faire de
notre mieux pour nous en occuper, sans oublier que les soignants soignent, et
que c’est Allaah qui guérit.
Nous prierons, ine chaa-e Allaah,
à domicile,[3] et
ferons des invocations pour qu’Allaah, Le Seigneur des univers, déverse sur
nous Sa miséricorde.[4]
BOU’AZZA
[1]
La prière de vendredi.
Prière
en commun qui remplace celle d’addohr (du début de l’après-midi).
Elle
est de deux cycles d’actes (rak’atayne) au lieu de quatre comme celle d’addohr
(le ʺrʺ roulé), se fait de manière audible, alors que celle d’addohr.
C’est
une prière qui ne se fait qu’en commun et alimaame (l’imam) qui la dirige
assure aussi alkhotba (l’allocution) qui
se fait en deux parties, avant l’accomplissement de la prière.
[2]
COVID 19.
[3] La
prière d’addohr, puisque la prière de vendredi est suspendue pour éviter des
rassemblements susceptibles de contribuer à la propagation de l’épidémie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire