D’autres
femelles, parfois épouses, mères, s’adonnent au sexe sans frontières, et tiennent
à dire qu’elles ne sont pas des putes, parce qu’elles baisent gratuitement, pour
le triomphe de la « liberté sexuelle », et de « la libération de
la femme ».
Les fournisseurs
de bites, les fornicateurs, les proxénètes, les gigolos et autres débauchés les
soutiennent « moralement ».
Le
soir aux « informations », le « journaliste » ne pouvait
pas trop s’étendre sur ces femelles, car il devait consacrer la majeure partie
du journal télévisé à lire ce qui avait trait au virus.[1]
Mais
rassurez-vous, les « pouvoirs publics » veillent.
Vous
êtes protégés.
Quels
que soient les noms donnés à leurs activités et quels que soient les discours
utilisés à travers le temps et l’espace, les imposteurs seront toujours des
imposteurs.
Avec
« la problématique du virus », ils se drapent, encore une fois, dans
la parure du « bien de l’humanité », et veulent, encore une fois, par
des mots trahis, dépouillés, brouillés, souillés, faire croire qu’ils s’en
préoccupent.
Ces
imposteurs propagent partout, et depuis longtemps, les germes de la
contamination.
Les
populations sont, depuis longtemps, assaillies, cernées, encerclées,
terrorisées, par le faux, la perversion, l’avilissement, l’abjection, la
corruption, la pourriture, la putréfaction.
Ces
imposteurs recourent, depuis longtemps, à tous les crimes, aux pillages, aux
viols, aux tortures, aux humiliations, aux massacres, aux carnages, aux
destructions, et autres.
Ces
imposteurs perpétuent, depuis longtemps, des pratiques esclavagistes,
colonialistes, répandent les horreurs impérialo-sionistes.
Ces
imposteurs sont, depuis longtemps, le virus des ténèbres qui ne cesse d’étendre
ses ravages.
Les
croyants et les croyantes[2] ont
résisté, résistent, et résisteront au virus.
Ils
avancent dans le Vrai, dans la Lumière d’Allaah.
Ils
savent qui ils sont.
Ils
savent d’où ils viennent.
Ils
savent où ils vont.
Depuis
toujours.
La
voix d’un homme retentit.
«Ce
qu’il chanta [...] c’était la fin de nos maux et de nos pauvres petits
problèmes, la nostalgie douloureuse et sereine à la fois de cette autre vie qui
était la nôtre et vers laquelle nous étions destinés à retourner tous,
vainqueurs et vaincus, accomplis ou à l’état larvaire, fidèles et athées, de
par la Toute Miséricorde de Dieu. C’était cela qu’il y avait dans la voix de
cet homme qui chantait. [...]. Quand il arrivait à la fin d’un verset, il marquait
une pause –et cela était ainsi : une explosion de ferveur. Et, tant qu’il
chantait, c’était ainsi : un désert où un homme chantait sa foi. Et la
voix modulait, montait, changeait de registre, devenait tragique, devenait un
élan, puis tombait sur nos têtes comme un vol de mouette, légère et paisible,
presque un souffle. [...]. La paix, la vérité de toujours étaient en lui, dans
sa voix – alors que tout croulait autour de lui et sur les continents».[3]
BOUAZZA
[1] Coronavirus, covid-19.
[2] Almouminoune wa
almouminaate.
[3] Driss
Chraïbi, succession ouverte, Paris,
Denoël, 1962, p. 78, 79, 80.
Idriis
Achchraaïbii (le ʺrʺ roulé).
[3] Je ne
fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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